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Vues: 3389 Created: 2007.08.09 Mis à jour: 2007.08.09

Comment J'ai Soigné Le Pere Noel

Comment J'ai Soigné Le Pere Noel

Author: procyonlotor

Licenciement, divorce, chômage, pré-retraite, finalement je ne m'en sort pas trop mal, et maintenant je peux exercer mon art en toute sérénité, ce qui arrondi des fins de mois pas si mauvaise que cela. Je suis donc une jeune retraitée qui dessine des caricatures dans des soirées plus ou moins branchées. Cela permet des rencontres parfois surprenantes.

En ce mois de décembre, je me retrouve dans la soirée d'un comité d'entreprise ou avec deux semaines d'avance le personnel se retrouve à fêter Noël avec remise de cadeaux pour les enfants. J'arrive toujours un peu en avance pour repérer les lieux, ce qui me permet de faire connaissance avec un autre intervenant qui bien que n'étant pas encore costumé, ne peut guère dissimuler sa fonction. Il est à peu près de mon age, et son imposante barbe blanche laisse supposer que c'est lui qui remettra les cadeau aux enfants.

Alors qu'il enfile sa tenue réglementaire, il m'explique qu'avec son look, il fait plusieurs galas par jour, qu'il vient d'assez loin, et qu'à force de distribuer des bises à tout ces moutards, il repart avec les microbes de tout le monde, et il se demande s'il ne couve pas une bonne crève.

Les invités arrivent, je prends mon matériel de dessin et je vais croquer quelques tronches représentatives. Lui aussi est prêt, mais il doit attendre le signal pour apparaître et distribuer les cadeaux des enfants. Une heure et demi plus tard, les invités passent à table, le Père Noël a fini sa distribution. Cela nous permet de faire une pose, et d'aller nous restaurer.

Je retrouve le bonne homme en rouge qui lui à terminer sa prestation, mais il ne va pas fort, vers la fin du repas son nez se met à couler comme une fontaine, et en quelques minutes son mouchoir n'est plus qu'une serpillière trempée. L'homme est sympathique, mais accablé par une grippe qu'il est en train de déclarer. Il est inquiet parce qu'il doit faire cent cinquante kilomètres pour rentrer chez lui, et comble de l'ironie, sa prestation de demain est à côté d'ici. Je le prend en pitié, je lui propose de lui offrire le gîte pour la nuit, cela lui évitera trois cent bornes sur des routes difficiles en cette saison, et j'ai de quoi le soigner à la maison. Quand j'ajoute qu'il faut moins de dix minutes pour être cher moi, il choisi vite de se blottir dans un coin tranquille pendant l'heure et demie qui me reste à faire, pour me suivre jusqu'à mon domicile.

Le reste de la soirée, tout en faisant mes caricatures je me surprend de l'audace dont j'ai fais preuve pour le retenir, il faut reconnaître que voilà bien longtemps qu'un homme n'a pas dormi sous mon toit. Après tout, je ne le connaissais pas il y a seulement quatre heures, et nous n'avons même pas parlé une heure en tout. C'est vrai que je prends des risques... Mais il est si mal en point... Il ne peut guère être méchant... Et puis c'est le Père Noël... si petite fille on m'avait dit que le Père Noël viendrait dormir à la maison, c'est sûr que je lui aurais fait un gros câlin...

La soirée se termine pour moi aussi, mon invité est prêt, et dans le quart d'heure qui suit je le conduis sans appréhension à mon logis. Je l'invite à aller prendre une bonne douche le temps que je trouve de quoi le soigner. Voyons qu'est ce que je vais pouvoir lui donner ? Je réalise que n'étant pratiquement jamais malade, j'ai assez peu de médicament en réserve. Mais que me donnait donc Maman lorsque j'étais petite et que j'avais un bon rhume avec le nez qui coule ? Un bon grog, avec de l'aspirine, mais elle avait surtout une méthode particulièrement efficace que je vais tester sur mon invité...

J'installe mon Père Noël dans ma chambre d'amis, il est en peignoir de bain. Je lui demande de bien vouloir prendre sa température, je lui fourni un bon vieux thermomètre médicale à mercure, et j'insiste pour qu'il la prenne par la voie rectale... Ce qui éveille si non des protestations, du moins quelques grimaces. 38,2°c, ce n'est pas une forte fièvre, mais cela mérite tout de même des soins sérieux. Je propose à mon invité de lui donner un bon grog avec de l'aspirine, en attendant mieux. Et tandis qu'il sirote son bol brûlant et généreusement pourvu en rhum, je part à la salle de bain préparer la pièce maîtresse du traitement que je lui réserve, car voyez-vous, j'ai un vieux compte à régler avec le gentil vieillard.

C'était surtout à l'entrée de l'hiver que je m'enrhumais, quand j'étais gamine, les premiers froids, l'humidité, je n'avais pas encore développé mes défenses naturelles et les microbes avaient facilement raison de moi. Maman, avait une méthode simple et radicale pour chasser ces indésirables hors de mon corps : Elle me faisait un bon lavement... « C'est pour chasser toute cette vermine, et les suppositoires seront bien plus efficace ensuite. » Si je protestais que je n'en voulais pas, la réponse était toujours la même et sans appel : « Si tu ne te laisse pas faire gentiment, tu serras encore malade à noël, et le Père Noël ne passe pas voir les enfants qui ne veulent pas se laisser soigner ! » Je ne savais jamais si noël était dans deux mois ou dans deux semaines, mais je me laissais faire gentiment, pour rester bien avec le vieux bon homme.

Quand le Père Noël me voit revenir avec le bock à lavement, il me regarde sans rien dire ne sachant pas comment il doit prendre la chose. Je lui explique gentiment mon histoire, en insistant bien sur le fait que ma bonne mère avait bien raison, au moins sur la qualité de ses soins, mais puisque le Père Noël cautionnait les lavements que j'ai reçu, il a intérêt à me montrer que lui aussi sait les prendre sagement. D'ailleurs, s'il veut être en forme pour demain, il n'a pas le choix. Un silence, de quelques longues secondes d'éternités, et doucement il se place sur la serviette que je viens d'installer sur le lit, il se tourne les fesses vers moi, il n'en mène pas large... Je me rends compte que mon scénario était plutôt mal ficelé, et je suis surprise de ne pas avoir dû être plus persuasive...

Sans traîner pour ne pas lui laisser le temps de se raviser, je lui graisse l'anus, et y enfonce délicatement la canule. J'ai choisi la grande canule vaginale qui glisse beaucoup plus facilement. J'ouvre doucement la vanne, et élève le bock modérément. L'eau coule dans son rectum, assurément, il commence à gémir légèrement. Comme tout ceux qui se font cueillir par un lavement imprévu, il fait tout ce qu'il peut pour ne pas bouger... Pour le moment...Ma main qui maintien la canule bien en place, se rend compte que déjà l'anus est bien crispé autour. Pour le moment il n'a pris qu'un demi litre, et je lui en ais préparé deux litres... maintenant le liquide fait sa place dans son colon avec des borborygmes impressionnants, nous arrivons à la moitié du traitement. A, je savais bien qu'il allait finir par se tortiller un peu, il me demande s'il en reste encore beaucoup, il pense qu'il en a déjà pris largement suffisamment, que de toute façon il n'est jamais constipé, que ... Je lui autorise une pose, mais il doit tout prendre en une seule fois, si non il m'obligerait à tout recommencer depuis le début. L'arrêt de l'écoulement lui permet de se décontracter un peu et le lavement peut se répartir plus profondément dans son boyau. J'envois le reste du liquide, doucement, sans brusquer les choses, mais sans en oublier. Cette fois, il gigote bien des fesses mon malade. Enfin le gargouillis final vient annoncer la fin du bock. Je prend tout mon temps pour refermer la vanne de la canule, mais ne la retire pas immédiatement. C'est toujours plus efficace si on le garde quelques minutes de plus. Lorsque enfin je libère mon patient de son tuyau d'entre les fesses, il n'est pas long à s'enfuire vers les toilettes... J'ai tout juste le temps d'apprécier le joli petit ventre bien rond que je viens de lui faire, et qui va somme toute très bien avec son personnage.

Il lui faudra bien un gros quart d'heure pour se vider totalement, longue opération, ponctuée de bruits de cataracte, de soupires, de pets, de gémissements... Enfin, lorsque je le récupère, il est beaucoup plus calme, et souriant :

« C'est violant, mais je dois reconnaître que ça fait du bien...

- Ce serra encore meilleure avec un suppositoire »

Il tend gentiment la main pour prendre le suppositoire promis, mais je préfère le mettre moi-même en bonne place.

« Voilà, un gramme de Paracétamol, c'est très bon pour le Père Noël, et très mauvais pour la grippe ! »

Il ne me reste plus qu'a border mon invité dans son lit et d'aller à mon tour me coucher.

Le matin suivant, je ne me lève pas trop tard car je n'en ai pas fini avec mon malade. Je commence par préparer une grande casserole d'une décoction de thym, de sauge, et de sarriette. Ensuite quelques glaçons pour refroidir rapidement le bouillons que je verse dans le bock évidemment. Et je par prendre des nouvelles du Bon homme...

J'entre dans la chambre, et lorsqu'il entrouvre les yeux, c'est pour me voire accrocher le bock au mur au dessus du lit.

« Si vous noyé le Père Noël, il est plus que probable que vous n'aurez pas de cadeaux le 25 décembre...

- Allons, un bon lavement n'a jamais noyé personne, vous allez me le prendre aussi sagement qu'hier soir, vous le tiendrez aussi longtemps que vous le pourrez, et moi pendant ce temps là, je vous prépare un superbe petit déjeuné. Ce programme vous convient-il ? »

Un long soupir, et le bon homme se tourne sous les couvertures me tendant ses fesses.

« Je veux bien croire que c'est votre étrange façon de me soigner, je me sens beaucoup mieux ce matin, alors allez-y joyeusement ! »

Je graisse doucement le petit trou du monsieur qui n'offre aucune résistance, puis délicatement j'enfonce la canule le plus profondément possible et j'ouvre le robinet. Je la maintiens doucement en place, et bien qu'il se tienne tranquille je suis amenée à remarquer que le bonhomme noël a une superbe érection. Je préfère ne faire aucune allusion. Lorsque le gargouillis final m'annonce que mon malade à pris la totalité du bouillon que je lui ai préparé, je le débarrasse de son tuyau dans les fesses qui somme toute ne lui va pas si mal :

« Maintenant vous restez tranquille et vous serrez les fesses, ce serrait bien de le garder une demi-heure ! Faites ce que vous pourrez ... »

Et je quitte la pièce avec mon instrumentation que je dépose en passant par la salle de bain. Puis je passe par la cuisine où je mets du café en route. Retour à la salle de bain, pour un brin de toilette rapide et je m'habille vite fait pour aller chercher le pain et quelques croissants à la boulangerie toute proche. En chemin je me fait la remarque que je n'ai pas entendu bouger mon hôte, c'est un malade très coopératif !

De retour de mes emplettes, j'entend qu'il est en train de prendre une douche dans la salle de bain, Puis alors que je prépare un plateau avec le petit déjeuné le voilà qui entre dans la cuisine toujours enroulé dans son peignoir de bain :

« Je me suis permis de prendre une douche, votre traitement est probablement efficace, mais il fait beaucoup transpirer...

-Je sais, mais vous devez déjà vous sentir mieux. Pour le moment, je pense que c'est un bon déjeuner qui vous fera le plus de bien... Asseyez-vous ! »

Nous déjeunons tranquillement, il en profite pour me remercier chaleureusement de mon accueille, allant même jusqu'à plaisanter que je lui ai certainement sauvé si non la vie, du moins la prestation de l'après midi. Cela doit faire... Très longtemps que je n'ai pas partagé un petit déjeuné cher moi, qui plus est, avec un homme... Et c'est très agréable ! Mais lorsque nous avons finit de dévorer les croissants, je lui rappel qu'il a encore a prendre un suppositoire. Alors direction la chambre.

Je l'invite à s'allonger sur le lit, je lui trousse le bas du peignoir et tandis que je décortique le petit missile antigrippe je m'assois à côté de lui. J'écarte les fesses de mon malade et je pousse le médicament dans son petit trou tout propre.

Ensuite, je n'aurais pas dû lui caresser les fesses, c'est sûr... Mais je l'ai fais et je ne le regrette pas ! (Lui non plus, je suppose...). Comme il se laissait bien faire, je me suis enhardi et lui aussi par conséquent, et rapidement nous nous sommes retrouvés à faire l'amour. Après tout, nous étions adulte et consentant, mais surtout, je crois que nous en avions tous les deux très envie.

Le père Noël est repartit après le déjeuné. Nous n'avons pas commenté ce ‘'dérapage'', nous nous sommes juste embrassé sans un mot, sans une promesse que nous risquions de ne pas tenir. Chacun de nous est repartit faire ses prestations qui se bousculaient jusque qu'à la fin fêtes.

Mais juste après le nouvel an, je trouve un petit mot dans mon courrier. Le Bon homme me rassure sur sa santé, mais il pense qu'il sera de nouveau malade après le 15 janvier, et veut savoir si je pourrais lui consacrer mes bons soins à cette période.

« Bien sûr, Père Noël, que j'aurais tout le temps nécessaire pour te soigner, mais surtout, prend tout ton temps pour guérir, que je puisse te garder pour moi le plus longtemps possible. »