Vues: 5579 Created: 2007.08.14 Mis à jour: 2007.08.14

Delicieuse Margot

Delicieuse Margot

Author: procyonlotor

Je l'avoue, je suis clystérophile !

Et qui plus est depuis l'âge de dix ans ou je fus initié innocemment (d'abord !) par une jeune aide ménagère à qui ma mère trop occupée laissait la charge de me soigner.

Durant cinq années je simulais les constipations pour bénéficier des bons soins de cette douce jeune fille. C'était devenu pour moi une incomparable jouissance...que finalement je savais lui dispenser à mon tour.

Hélas, la vie me sépara de mon initiatrice devenue partenaire, et depuis je n'ai jamais osé confier à mes maîtresses ou à ma femme le secret de la pratique qui m'inonde... de joie !

Ce témoignage, je l'ai recueillis il y a vingt-cinq ans... Je suis retombé dessus il y a deux ou trois mois. Je l'ai trouvé intéressant mais un peu bref... Alors je l'ai réécris... Comme j'aurais aimé le lire... J'espère qu'il saura vous plaire...

Délicieuse Margot

Ma mère était une femme tronc ! Non, elle n'était pas handicapée, mais je n'ai toujours vu que le haut de son corps, le reste étant dissimulé par la caisse de la charcuterie. Oui mes parents étaient charcutier. Aujourd'hui encore je me demande si ma mère avait épousé mon père ou la charcuterie. C'était toujours elle qui dirigeait le commerce depuis sa caisse. Pour qui ne connaissait pas la boutique, il n'était pas possible d'identifier le patron, parce qu'elle s'adressait à lui de la même façon qu'aux autres employés. Elle devait être totalement dénuée de tendresse. Une fois, tout petit, affolé par dieu sait quoi, j'étais venu chercher refuge contre elle et je m'étais heurté a quelque chose de dure ! (Elle portait corset) Mai le pire, ce fut la façon dont je me fis rabrouer, j'aurais pu la salir !

Elle trônait toute la journée à sa caisse, raide, pimpante, pomponnée et coiffée tel une gravure de mode... En dehors de faire rentrer l'argent dans la boutique, je ne l'ai jamais vu travailler de ses mains. Elle utilisait une employer de maison pour tenir sa maison et son ménage. Lorsque qu'elle quittait sa caisse en fin de journée, elle rentrait dans une maison propre et rangée, où le repas était prêt et où elle n'avait plus qu'à se plaindre de toutes les misères de sa journée harassante.

Ce miracle était dût au travail d'une employée de maison (maman disait la bonne...). Hors, lorsque je devais avoir à peine une dizaine d'années, notre vielle bonne fut remplacée par une charmante jeune fille qui ne devait pas dépassée les quinze ans. A la fois fine et potelée, notre nouvelle Margot était une bien jolie fille. Comme elle avait une poitrine épanouie, j'ai longtemps cru que Georges Brassens racontait son histoire dans la chanson où elle donnait la gougoutte à son chat. En fait elle m'expliqua qu'elle s'appelait Marguerite, mais qu'elle préférait se faire appeler Margot, cela faisait moins vache.

Moi, à cette époque, il semblerait que j'étais un sal gosse, doté d'un caractère exécrable, capable du meilleur... Mais surtout du pire...

« C'est un bâton merdeux ! à disait ma mère à On ne sait par quel bout le prendre ! »

Margot m'aimait bien. Ce fut la première personne à me prendre dans ses bras ou sur ses genoux. Elle était douce et tiède, elle prenait le temps de m'écouter...

Un matin, alors qu'elle prenait les consignes pour la journée avent de partir faire les courses, j'ai entendu des bribes de sa conversation avec maman. Elle disait que j'avais certainement des problèmes de digestion et qu'elle savait comment me soigner. En rentrant de ses achats de la matinée, elle me donna une bouillotte de caoutchouc en me disant :

« J'ais pris ça pour toi, je te ferais voire tout à l'heure, je suis sûr que ça va te faire beaucoup de bien. Emporte le dans la salle de bain ! »

Je ne comprenais pas trop, une bouillotte, c'est fait pour se réchauffer les pieds lorsque l'on va se coucher en hiver, mais nous venions de passer Pâques ? Je portais donc la chose la où j'en avais reçu l'instruction sans même prendre la peine de la sortir de son sac de papier.

C'est en sortant de table, à l'heure de la sieste que Margot me prit dans ses bras, et gentiment me demandât si je n'avais pas un peu mal au ventre ?

« Si, un petit peu, mais pas plus que d'habitude ! Ca passera si j'arrive à péter deux ou trois coups...

-Et tu paris que je peux te faire passer ton mal au ventre ?

-Pourquoi ferais-tu ça ? Tout le monde s'en moque bien si j'ai mal au ventre...

-Alors viens avec moi, et tu verras que moi je ne m'en moque pas ! »

Et elle m'entraîna vers la salle de bain.

« Tu vois, tu as mal au ventre parce que ton intestin fonctionne mal, il à besoin d'un coup de main et il te le réclame...

-Mais je vais au cabinet tous les jours !

-Je sais, mais ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas l'aider... »

Dans la salle de bain, Margot prend le sac de papier, en sort la bouillotte, un long tuyau de caoutchouc rouge ainsi que quelques morceaux de bakélite noire et un curieux tube de verre emballé dans un petit carton.

« On t'a déjà pris ta température quand tu est malade ?

-Oui, c'est arrivé qu'on me glisse un thermomètre de verre entre les fesses... Et là je n'ai surtout pas le droit de bouger pour ne pas le casser !

-Bon alors là, c'est pareille, à part que tu n'es pas malade ! »

Margot avait apporté avec elle la boite à sel, elle en versa un peu dans le fond de la bouillotte puis elle fit couler de l'eau au robinet jusqu'à ce qu'elle devienne tiède et présentât l'encolure de caoutchouc dessous. Elle ne la laissa pas se remplir. Avec l'un des morceaux de bakélite, elle ajusta le tuyau à la place du bouchon. A l'autre bout du tuyau elle enfonça le tube de verre par son petit bout. De l'autre côté il y avait une grosse olive percé de plein de petits trous. Elle pris encore un tube de ce qui devait être de la vaseline une grosse serviette comme je n'avait pas le droit d'en prendre pour ma toilette, et m'invitât à la suivre dans ma chambre.

Arrivé là, elle me demanda de me déshabiller, ce qui ne me posait aucun problème puisque chaque jour, elle surveillait ma toilette. Durant ce temps, elle étendit la grosse serviette si douillette sur mon lit et posa la bouillotte au pied. Là pressant doucement de la main, elle chassa tout l'air qui pouvait rester dedans.

« Allonges-toi sur la serviette, relève les genoux et écarte les cuisses... Je vais d'abord te mettre de la vaseline sur ton petit trou, pour ne pas te faire mal. »

Ce qu'elle fit tranquillement. Puis elle présenta la grosse canule de verre contre mon anus :

« Là, je ne dois plus bouger ?

-Non, mais je ne veux pas que tu sois raide comme un morceau de bois, de toute façon, je ne vais pas te faire de mal, je vais te glisser ça entre les fesses et tu ne sentiras presque rien... Après tu sentira des glouglous dans ton ventre, tu verra c'est rigolo ! »

Effectivement, je n'ai presque rien sentis, si non que c'était un peu froid.

« Maintenant, je vais faire entrer l'eau dans ton ventre pour faire un peu de ménage là dedans. A la fin, tu aura l'impression d'avoir un peu la colique, mais tu verras c'est pour de faut ! »

Alors là, j'ai vu Margot trousser sa jupe si haut, que j'ai vu ses fesses et son porte-jarretelles l'espace d'une seconde, avant qu'elle ne s'assoit sur la bouillotte et que la jupe ne retombe autour d'elle. Seconde d'éternité où j'avais pu apprécier le galbe de ses formes en directe, et la régularité de sa peau.

Effectivement je sentais la tiédeur de l'eau se répandre dans mon ventre, cette douce intrusion s'accompagnait de mille petits gargouillis bruyant ce qui nous fit rire tous les deux. Au bout de quelques minutes, je fis remarquer à Margot :

« Tu as raison, je crois bien que je vais avoir la colique...

-Ne t'inquiète pas, ce n'est rien ! Il n'y paraîtra plus lorsque tu reviendras des toilettes... »

Et elle pinça le tube entre ses doigts et me retira la canule en me recommandant de bien serrer les fesses et de rester tranquille. Toutes ces sensations nouvelles à la fois, je ne faisais pas le fière. Margot s'était relevée et la bouillotte était redevenue toute plate. Elle me prit alors gentiment dans ses bras, et je me suis retrouvé avec le museau juste entre ses deux seins. C'était doux et tiède, les coliques commençaient bien à me tortiller mais qu'importait d'avoir mal au ventre lorsque l'on a le nez entre les seins d'une jolie fille. Je restais bien tranquille, je faisais durer l'instant. Quelques minutes plus tard, elle me dit que je pouvais aller me vider, ce que je ne lui fis pas répéter car le besoin prenait un caractère d'urgence...

« Prend bien ton temps, vide toi bien complètement ! »

Me lançât-elle encore, tandis quelle était retournée dans la salle de bain nettoyer tout son matériel.

C'était plutôt impressionnant, tout ce qui sortait de mes fesses, des jets successifs comme si j'avais la diarrhée entrecoupé de pets énormes, mais bientôt, je fus vide, plus rien ne coulait, je n'avais plus mal au ventre, je n'avais plus envie de faire caca.

« Ca y est ? Tu as finis ? Je ne t'es pas fais mal ?

-Non je me sens bien...

-Alors vient que je te lave les fesses, après, tu iras t'allonger un peu... »

La sieste, ce n'était pas mon fort, mais je me suis étendu un peu sur mon lit, je me sentais bien... Je me suis réveillé trois heures plus tard !

« Alors ! Bonhomme, je ne te l'ais pas bien soigné ton mal au ventre ?

-Oh si ! Je me sens en pleine forme !

-Donc, maintenant tu sais que si ton ventre te fais des misères, tu viens voire Margot, et je t'arrange ça. »

C'est bien ce qui se passât, chaque fois que mon ventre me faisait souffrir, j'allais voire ma gentille Margot qui arrivait toujours à trouver un peu de temps à me consacrer en dépit de son emploi du temps assez chargé. Disons que cela devait avoir lieu deux ou trois fois par semaine. Et chaque fois qu'elle s'asseyait sur la bouillotte, je ne manquais pas de jeter un regard furtif vers ses fesses, mais c'était devenu une sorte de douce complicité entre nous. Même ma mère avait remarqué que mon caractère s'était adouci. Mes résultats scolaires aussi s'étaient

améliorés, mais personne n'avait fais le rapprochement avec les bons soins, il est vrais discrets de Margot. Donc personne ne l'avait seulement remercié...

Cela dura des années, tranquillement, sans dérapage. Jusqu'au jour où Margot en rentrant de son jour de repos faisait une drôle de tête, je la surpris même à pleurer toute seule dans un coin. Je devais alors avoir quinze ou seize ans, mais je n'étais pas bien dégourdi avec les filles. Je demandais donc à Margot si elle avait mal quelque part ?

« Oui, j'ai mal, mais tu ne peux rien faire pour me soulager...

-Toi, tu sais bien me soulager lorsque j'ai mal au ventre, veux-tu que je te prépare la bouillotte pour te soigner ?

-Ce que tu est nigaud, mais surtout, ce que tu es gentil... Ce genre de mal ne se soigne pas avec la bouillotte... Encore que ? Pourquoi pas ! Ce serrait capable de laver mes idées noires. Nous verrons cela tout à l'heure, lorsque j'aurais fini mon service. Tu est vraiment très gentil !

Et le soir, j'attendis avent d'aller me coucher que Margot est fini son service.

« Aller Margot, va chercher la bouillotte...

- Pourquoi ? Tu as mal au ventre ?

- Non, c'est moi qui vais laver tes idées noires !

- Toi, quand tu as une idée en tête... Bon c'est d'accord, de toute façon ça ne peut pas me faire de mal... »

Et Margot prépara la bouillotte. Je l'invitais à venir s'installer dans ma chambre où j'avais déjà préparé mon lit avec la grande serviette étendu dessus. Elle fit tomber sa jupe et glisser sa culotte par terre et s'allongea le plus naturellement du monde me présentant ses si jolies fesses que j'avais tant de fois entrevues, mais seulement entrevue. Je découvris brusquement que les filles étaient bizarrement faites... Mais je dissimulais ma surprise de mon mieux. Il ne me fallut pas plus d'une seconde pour réaliser que si le devant était bien différant, l'arrière était somme toute identique, et comportait aussi un anus au même endroit... Comme Margot me l'avait fait tant de fois je pris un peu de vaseline sur le bout de mon doigt et je lui graissais l'anus et d'un geste qui se voulait sûr je présentais la longue canule vaginale au bout arrondi contre son petit trou. J'appuyais doucement sans forcer, puis un peu plus fort... Enfin l'entré céda, et mon instrument put glisser sur toute sa longueur. Margot m'observait discrètement sans rien dire comme si elle vérifiait que j'avais bien appris ma leçon. Je savais que je serais impardonnable de commettre la moindre erreur, elle m'en avait tellement donné si délicatement... Comme elle s'asseyait toujours sur la bouillotte en relevant sa jupe, je jugeais bon de quitter mon pantalon de pyjama pour m'assoire à mon tour sur le réservoir de caoutchouc tiède, ce qui la fit sourire. C'était une curieuse sensation que d'avoir les fesses nues sur ce cousin tiède qui doucement s'aplatissait. Margot avait fermé les yeux, la bouillotte étant maintenant comme une crêpe, je pinçais le tube, et je retirais la canule de ses fesses. Je me relevais et débarrassais le lit de toute l'instrumentation. Alors, comme elle le faisait pour moi, je voulue la prendre dans mes bras gentiment pour lui permettre d'attendre les dix ou quinze minutes qu'il convenait d'attendre avent d'aller aux toilettes. Mais je devais être plutôt gauche, c'est elle qui m'étreignit, et je me retrouvais allongé tout contre elle qui me serrait tendrement et m'embrassait sur tout le visage comme personne ne me l'avait jamais fait. C'était un peu surprenant, mais surtout très agréable. Elle s'était retournée sur le dos, maintenant, et d'une main ferme me plaça sur son ventre, continuant ses baisés et ses caresses. Bientôt je réalisais qu'elle tenait ma quéquette, qui était devenue grosse et dure. Elle la guidait entre ses cuisses m'encourageant d'un :

« Allez petit homme ! Montre ce que tu sais faire ! »

J'étais tellement nigaud, que je ne savais rien faire ! Mais Margot me fit bouger comme il fallait et je finis par comprendre assez vite, le plaisir que j'éprouvais m'encourageant à ne pas fuir. Jamais je n'avais pensé que ma quéquette pouvait servir à pénétrer le ventre des filles, pour moi elle était faite pour aller pisser, et c'est bien pour cela que constatant son absence sur margot, je me demandais bien si elle n'était pas incomplète... Mais jamais je n'aurais cru que cette petite chose habituellement si molle pouvait devenir grosse et dure au point de pénétrer dans la douceur du ventre d'une fille... Ainsi toute les histoires salasses que je ne voulais pas écouter par ce qu'elles me faisaient rougir étaient vrais !

Margot gémissait doucement, me guidant dans un mouvement de va et vient où je la pénétrais sans cesse, pour moi, c'était plutôt délicieux, et pour elle ? Et bien ce ne semblait pas lui faire de mal, peut-être même que c'était aussi agréable que pour moi... Bientôt, ayant compris et le mouvement et le côté agréable pour chacun de nous je me lâchais et la pistonnais vaillamment, ce jeu était vraiment nouveau pour moi et je m'y donnais à font. Sans en être vraiment conscient, le plaisir m'envahissait et je finis rapidement par éjaculer en elle sans même savoir ce que je faisais... Je ne savais pas ce qui m'arrivait, mais j'étais brusquement épuisé et je m'écroulais sur son ventre... Margot me fit glisser sur le côté, s'excusant :

« Il faut que j'aille aux toilettes petit homme, tu m'a très bien soigné ! »

Lorsqu'elle est revenue, je dormais comme un bien heureux, elle m'a glissé sous les couvertures et a dû ranger le matériel, avant d'aller rejoindre sa chambre. Au matin suivant, alors qu'elle me servait mon déjeuné, mais parents étant déjà descendus à la boutique, elle me prit tendrement dans ses bras, me félicitant sur mes bons soins de la veille, mais insistât pour que je n'en parle à personne, que cela devait rester notre secret pour que nous puissions recommencer...

Quelques jour plus tard, je lui demandais de me soigner mon ventre, ce qu'elle fit comme d'accoutumé, si ce n'est que lorsque qu'elle me prit dans ses bras pour laisser au traitement le temps d'agir, elle dégrafât son corsage me plaçant le museau entre ses seins, m'encouragent à les embrasser et à les sucer. Je ne me fis bien sûr pas prier !

Puis quelques temps plus tard, alors que je réclamais ses bons offices, elle me demanda si je pourrais moi aussi la soigner ensuite, et comme elle se présenta totalement nue pour recevoir son traitement, cela se termina par une deuxième leçon d'anatomie et des rapprochements que nos différences permettaient. Je fus comme il se doit un élève très attentif !

A partir de là, nos échanges de soins prirent un tour beaucoup plus érotique. Mais c'est elle qui décidait si j'avais le droit de la pénétrer ou non. Je ne savais pas encore que dans sa décision il y avait une grande part physiologique...

Cette nouvelle approche de mes soins durait depuis déjà quelques mois lorsque vers la fin du mois d'août, la chaleur de la soirée ajoutée à nos ébats, nous nous étions endormis dans les bras l'un de l'autre sur mon lit, car nous avions joués les prolongations après avoir nettoyé nos ventres. Et ce soir là, pour je ne sais qu'elle raison ma mère entra dans ma chambre...

Elle ne dit rien, invitant Margot à se rhabiller, et à venir la retrouver dans le salon, cela ne présageait rien de bon... Je suivi de loin la discussion. Margot était en tain de se faire agonir de reproches, se faisant traîner dans la boue. Ma mère lui reprochait de m'avoir séduit et d'essayer de se faire mettre enceinte pour pouvoir un jour hériter de la charcuterie ! Margot se défendait mollement expliquant qu'elle m'aimait bien simplement par ce que j'étais toujours gentil avec elle, et qu'elle n'avait jamais eu de pareils calculs !

J'aurais bien voulu la défendre, mais que dire à ma mère qui n'écoutait jamais personne, et qui assurément retournerait mon intervention contre elle. La semaine suivante, je faisais ma rentrée comme pensionnaire dans un lycée réputé pour sa fermeté. Je ne rentrerais plus à la maison qu'une fois par mois.

Lorsque je rentrais après le premier mois, je me réjouissais de revoir ma douce Margot, même si il était peu probable que nous puissions échanger nos tendres soins. Mais le courroux de ma mère était passé et avait renvoyer Margot la remplaçant par un vieux dragon qui n'avait vraiment rien d'attirant pour moi...

Pourtant Margot m'avait laissé un message. En cherchant mes affaires dans mon placard, je trouvais un curieux sac de toile cousu à la hâte dans un torchon de la charcuterie. Il était discrètement glissé entre mes piles de vêtements toujours soigneusement rangés par Margot.

A l'intérieur, elle avait placée la bouillotte de caoutchouc rouge, une lettre à mon intention, et un de ses soutiens-gorge.

« Petit homme,

« Je dois partir, mais je ne t'oublie pas.

« Je te laisse la bouillotte pour que tu puisses continuer à te soigner tout seul. Comme tu n'auras plus personne pour t'asseoir dessus, tu devras la placer en hauteur, l'eau coulera de la même façon. Comme je sais aussi que tu aimais bien jouer avec mes seins, mais que je ne peux pas te les laisser, je te laisse mon soutien-gorge pour que tu ne les oublies pas trop vite...

« Je suis sûr qu'un jour tu retrouvera quelqu'un qui te soignera aussi bien que moi. Ne m'oublie pas trop vite...

Margot

C'était il y a... Bien longtemps... Ma femme sait que je soigne ma colopathie avec des lavements et ne comprend pas pourquoi je ne veux pas prendre des médicaments ‘'comme tout le monde'', elle sait que la bouillotte qui me sert à prendre mes lavements est rangée dans un coffret en bois dans la salle de bain (j'ai déjà dû la remplacer trois fois, mais je n'ai jamais cassé la canule). Ce qu'elle ne sait pas, c'est que dans le fond de ce coffret, il y a, avec le talc, un sac de toile fait dans un torchon et contenant une vieille lettre jaunie et un vieux soutien-gorge démodé.

Personne n'a jamais remplacé Margot...

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Sensitive-German-Enema-Giver Il ya 2 mois