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Vues: 9824 Created: 2007.08.25 Mis à jour: 2007.08.25

Elles m'ont administré Un Clystre

Elles m'ont administré Un Clystre

Author: Colette L.

Certains d’entre vous connaissent le début de cette aventure sous le nom de ‘’Humiliée devant la bonne’’. Personnellement j’ai trouvé cette histoire incomplète… Alors j’ai écrit la fin à ma façon…

J’avais alors trente ans, divorcée, sans enfant, je passais mes vacances en province cher une jeune sœur de ma mère, âgée de quarante ans. Cette tante que j’aimais beaucoup était riche, son mari, industriel, voyageait beaucoup et pendant le mois de juillet ses enfants en Angleterre et son mari en déplacement professionnel, elle m’avait invité à passer le moi chez elle

J’étais ravie et la vie était d’autant plus agréable qu’elle avait gardé tout le mois sa petite bonne, ce qui nous permettait de n’avoir aucun problème domestique. Ma tante s’appelait Gisèle et la petite bonne Myriam, âgée de vingt ans, c’était une fille très efficace que Gisèle aimait beaucoup.

Ces vacances étaient de rêve, promenade en voiture, visite des environs, etc., etc. La maison grande et jolie, le jardin superbe. Gisèle avait de nombreux amis autour de chez elle et souvent nous recevions à goûter.

Au bout de deux ou trois jours, lors de notre petite promenade d’après dîner, je confiais à Gisèle que j’avais quelques ennuis du coté intestinal, qu’en fait j’étais très constipée et je lui demandais si elle avait quelques médicaments efficaces… Gisèle me regardait en souriant et me dit : « Ma chérie, bien sûr j’ais ce qu’il te faut, et crois-moi c’est le meilleur des remèdes : Demain matin, avant le petit déjeuner, je vais te faire un bon lavement ! »

Je sursautais et lui dis : « Mais non ! … » Et sans que je puisse terminer, elle enchaîna : « Tu me connais, quand je veux quelque chose… Tu verras ce n’est pas bien difficile, ni bien méchant, et en plus, c’est je te le répète, le meilleur des remèdes… »

C’était l’heure d’aller au lit, la nuit arrivait, et en embrassant Gisèle, je ne pouvais m’empêcher d’un certain trouble à la perspective du lendemain matin…

J’eus du mal à m’endormir et me réveillais de bonne heure, contrairement à mes habitudes. Il était sept heures et je me sentais à la fois un peu inquiète et gênée…Puis, je me résonnais et allais sur le bidet faire une grande toilette.

J’étais revenue dans mon lit depuis quelques minutes, quand j’entendis la voix de Gisèle s’adressant à Myriam ; tout d’abord je n’y pris pas garde, puis prêtant l’oreille, je compris qu’elles parlaient d’eau chaude, de glycérine… Je n’avais pas un instant pensé que Myriam pourrait être au courant de mon « remède », persuadée que Gisèle l’aurait préparé dans le calme de son cabinet de toilette… Je me sentis un peu vexée et je me mis à écouter la suite avec plus d’attention. « Mais Madame » Disait Myriam « il faut prendre la grande casserole, pauvre Madame elle n’a pas fini de se tortiller, surtout si en plus vous mettez toute cette glycérine… »

« Ma petite » Répondit Gisèle, « Un lavement donné doucement et avec cet outil, passe très bien… Tu n’as jamais eu de lavement ? – Oh ! Si Madame, Maman nous en donnait de temps en temps, mais avec une poire, et au lieu de la glycérine, elle mettait du savon. »

Gisèle devait penser que selon mon habitude je dormais encore, car elle parlait en baissant la voix. J’étais cette fois de plus en plus troublée. Non seulement Myriam était informée, mais en plus j’allais recevoir un copieux lavement très glycériné et un outil… Qui je le pensais devait être la canule… Mais que pouvait donc avoir cette canule de si particulier ? Mon esprit tournait en rond et ma gorge devenait un peu sèche… C’est alors que j’entendis des pas dans l’escalier. La porte s’ouvrit doucement, et je ne pus m’empêcher de lâcher un « Ho ! » de surprise, car si Gisèle entrait en tenant sur son bras une grosse serviette, derrière elle était Myriam portant un grand bock fumant dans la fraîcheur matinale et son long tuyau terminé par ce qui semblait être une très forte canule…

« Ma chérie » Me dit Gisèle « je pense que la présence de Myriam ne te gène pas… C’est une femme comme nous et c’est l’occasion de lui enseigner à donner un clystère… » Que répondre à ça ? Je me sentais idiote et rougissante, mes yeux ne quittaient pas le bock et surtout la canule… Gisèle comprenant mon regard, me dit : « Surtout ne t’affole pas, cette canule est faite pour les lavements un peu longs, et la petite enflure que tu vois après dix centimètres, une fois engagée, t’évitera tous risques de fuite… »

« Ma chérie, tu vas te lever que j’étale cette serviette éponge sur le lit, puis tu vas te recoucher sur le côté droit en relevant ta chemise de nuit bien largement. Toi Myriam, tu pose le bock sur la table et tu va me chercher le tube de vaseline sur le lavabo, dans ma salle de bain »

Comme un automate, je fis ce que Gisèle m’avait demandé, la rougeur me montait au visage, et une fois allongée, je cachais ma tête dans mes bras, me promettant surtout de ne pas donner à cette gamine le spectacle de mes fesses se tortillant…

L’opération démarra ; Gisèle après m’avoir vaselinée, lentement, très doucement, introduisit la canule, je me contractais quand je sentis passer la petite enflure… « Sois sage ma chérie, tout est en place, Myriam va tenir le bock suivant mes instructions et doucement le lavement va faire son chemin… Myriam de temps en temps, avec la cuillère de bois, vous remuez le liquide afin que la glycérine se mélange bien… Et toi ma chérie, essaie de tenir le mieux possible, si tu as trop de coliques, nous arrêterons un instant… Ca va ? » Je me gardais de répondre, et fis un petit mouvement de tête. L’eau était chaude et je sentais mon ventre gonfler… Gisèle de temps en temps remuait un peu la canule, Myriam remuait l’eau, et moi je serrais les dents pour ne pas remuer… Mais… cela devenait de plus en plus difficile et je me crispais si fort que Gisèle le remarqua et me dit en me tapotant les fesses :

« Décontracte-toi, sois calme, tu vois, tout va bien… Myriam, où en somme-nous ?

– Encore un peu plus d’un litre, Madame. »

A l’annonce de cette situation, je me sentis affolée. Jamais je ne pourrais rester immobile même avec toute ma volonté, je commençais de remuer une jambe, puis l’autre, puis la croupe… « Allons calme-toi, veux-tu qu’on arrête un peu ? » Désireuse de voir l’affaire en finir au plus vite, je fis non de la tête, mais rester sans bouger devenait de plus en plus difficile, et Gisèle s’en rendant parfaitement compte, me caressait de plus en plus tout en maintenant la canule… les coliques devenaient plus fortes, je desserrais les cuisses, cherchant une autre position, je me mis sur le ventre. Gisèle en profita pour enfoncer davantage la canule, et glissa son autre main entre mes cuisses, atteignant mon intimité. Quand je me rendis compte que ses doigts n’étaient pas inactifs, j’en eus le souffle coupé… je fus alors toute désorientée prise entre les coliques grandissantes et un début de jouissance que je me sentais incapable de contrôler. C’est à ce moment que Myriam leva très haut le bock, et un flot d’eau chaude m’envahit avec force. Les doigts habiles de Gisèle firent le reste, je perdis le peu de contrôle qui me restait, et j’eus un terrible orgasme et même deux qui bien entendu ne purent échapper à mes infirmières, puisque je ne pus même pas taire la jouissance terrible qui m’envahissait.

Le lavement était fini, je n’osais plus relever la tête, les coliques me taraudaient, et c’est seulement quand j’entendis la porte se refermer sur Myriam que je regardais Gisèle, qui toute souriante m’embrassa avec fougue et me dit :

« Bravo ma chérie, tu as été très bien… »

Une heure plus tard, enfin libérée de tous mes maux, douchée, et habillée, je prenais mon petit déjeuner avec Gisèle. Je reconnus l’efficacité du lavement qui m’avait si bien dégagée. Mais j’expliquais à ma tante que la présence de Myriam m’avait encore plus troublée que gênée. J’ajoutais sans trop le penser que j’aimerais bien moi aussi lui donner un bon lavement.

Gisèle réfléchit un long moment, puis le regard dans le vide déclara :

« Je trouve cette idée plaisante, Myriam est une perle, mais quelques fois elle est un peu arrogante, et je pense que cela lui ferrait le plus grand bien et la remettrait un peu à sa place. Le pharmacien du bourg est un collègue de bahut, il ne me refusera pas un petit coup de main pour arriver à nos fins. »

C’est deux jours plus tard qu’elle me reparlât de mon projet qu’elle avait fait sien. Elle avait obtenu de l’apothicaire des suppositoires de glycérine sans glycérine, juste un peu d’eau et de gélatine. Et une boite de pilules laxatives contenant des pilules anti-diarrhée. Elle avait également rapporté un second médicament contre la diarrhée mais en poudre, et elle avait l’intention de nous en faire tous profiter en l’incorporant discrètement dans la nourriture commune aux trois femmes de la maison. La seule anomalie de ce plant machiavélique, c’est que nous allions être toutes constipées, et Gisèle me fit remarquer que cela me permettrait de m’entraîner à la pratique du lavement sur ses fesses. Pour Myriam le plant se déroulait ainsi : la nourriture nous constipe tous, Gisèle et moi anticipons le problème en prenant des lavements, Myriam, va dans la pharmacie familiale, prend des pilules laxatives qui la constipent un peu plus, si elle se rabat sur les suppositoires, ils resteront sans effet. Avant la fin de la semaine, Myriam aura son lavement !

Gisèle était partie dans cette aventure comme une gamine en vaine de sottises. Elle nous assaisonna tous nos repas avec sa poudre constipante, elle avait calculé la dose pour trois, l’avait doublée et incorporée dans les plats de la journée. Elle recommença le lendemain et ainsi de suite.

Le soir même je la vie débarquer dans ma chambre avec son bock en usage préventif. Bien que un peu anxieuse je me laissais faire, mais n’étant pas encombrée tout se passa sans problème et je subis le traitement sans douleur. Toutefois, Gisèle ne put s’empêcher de me gratifier d’une nouvelle caresse intime que finalement je gouttais fort. Lorsque je revins des toilettes, le bock attendait à nouveau plein. Je devais à présent faire subir le même sort mon espiègle tante qui insistât bien sur le fait que je devais lui faire le même lavement que celui que je venais de recevoir. Je suivis la consigne à la lettre, et cette chère Gisèle s’abandonna sans complexe à son bonheur. J’étais un peu gênée pour elle, mais assez fière de moi.

Les trois jours suivants pour nous furent identiques. Je savais maintenant préparer et administrer un lavement sans difficulté. Gisèle prenait un vrais plaisir à se faire purger et masturbée, elle gardait le lavement en elle aussi longtemps qu’elle le pouvait. Le troisième jour, elle vint m’annoncer triomphante que la plaquette de faux laxatif était enfin entamée. Le lendemain, il manquait un suppositoire. La pauvre Myriam avait un teint terreux, elle était toute boudinée dans sa tenue et avait une haleine de chacal.

Le cinquième jour Gisèle constatant que les laxatifs et suppositoires avaient encore été utilisés (assurément sans résultat) demanda à la petite si quelque chose n’allait pas, il faut dire qu’en plus nous continuions tous à prendre dans notre nourriture son infâme poudre qui ne devait rien arranger chez la pauvre enfant. Myriam nous expliqua que cela faisait plusieurs jours qu’elle n’arrivait plus à aller à la selle, qu’elle prenait des laxatifs et des suppositoires mais sans résultat. Gisèle l’écoutait avec attention, elle la sermonna, il expliquant qu’elle ne devait surtout pas rester comme cela, et elle la fit aller dans sa chambre ou nous la suivîmes. Elle lui fit quitter sa jupe, et lui demanda de s’allonger sur son lit. Après lui avoir palpé le ventre et constaté qu’il était dur comme un caillou, elle lui annonça son intention de lui faire un lavement, que c’était urgent, qu’elle risquait de faire une occlusion !

Myriam fondit en larmes, elle nous suppliât pour ne pas en avoir, elle se souvenait combien j’avais eu du mal a supporter le mien quelques jours plutôt et elle ne voulait pas endurer cela. Gisèle n’écouta rien et me demanda d’aller chercher le bock le temps qu’elle prépare sa malade.

Lorsque je revins avec le bock plein, je n’avais pas forcé sur la glycérine par compassion, je trouvais Myriam qui finalement s’était laisser convaincre, installée sur une grosse serviette éponge, les fesses en l’air et l’anus luisant de vaseline. Gisèle me libéra les mains du récipient et m’invita à commencer le traitement. Du regard je questionnais ma tante : Est-ce que je devais lui faire le même type de lavement que ceux que nous pratiquions entre nous depuis quatre jours ? Sa réponse fut sans équivoque : assurément ! La petite avait les jambes un peu écartées, j’en profitais pour y glisser une main que j’appliquais franchement sur sa toison, comme pour supporter son bassin pendant que j’enfonçais la canule. Au bout de mon majeur je sentais son clitoris, j’en profitais pour le comprimer un peu plus que de raison, mais elle ne réagit pas trop occupé à suivre le cheminement de la canule dans son anus. Elle était si encombrée que j’eus quelques difficultés à faire pénétrer l’instrument complètement, alors je libérais le liquide qui allait la soulager. Je regardais ma patiente, elle était en quelque sorte prosternée, le visage tourné sur le côté, ce qui me permit de constater qu’elle pleurait, sans bruit, sans sanglot, de grosses larmes coulaient sur ses joues. Par ma main appliquée sous son ventre je commençais à ressentir des gargouillis dans ses intestins. Gisèle ne tenait pas le bock très haut pour ne pas lui occasionner de grosses coliques qu’elle ne pourrait contrôler. Rapidement la petite se mis à remuer doucement, pour aider l’eau à faire son chemin ; elle savait pour avoir assisté à mon lavement, qu’elle le recevrait jusqu’à la dernière goutte. Bientôt elle gigotait comme un ver, moi je conservais la pression de ma main sur sa chatte et mes doigts s’employaient à la distraire de son tourment rectal. Elle ne tarda pas à pousser un long râle qui n’exprimait assurément pas la douleur. Tout son corps fut alors secoué de soubresauts qui s’harmonisaient avec les cris qu’elle poussait maintenant sans retenue. Assurément elle jouissait ! Gisèle en avait profité pour lever le bock et le lavement pris fin rapidement. Mais je dus retirer ma main, pour que Myriam retrouve son calme. Une fois apaisée je lui retirais délicatement la canule, et repartie avec le matériel.

Ma tante vint me rejoindre dans la salle de bain où j’étais en train de laver et ranger nos outils. La petite avait reprit ses esprits, un peu déstabilisée et avait finalement couru aux toilettes.

« Nous avons réussi ! »

Me dit-elle triomphalement.

« J’arrête la poudre dans la nourriture, mais ce soir nous serons encore purgées »

Voilà bien une nécessité qui ne me dérangeait plus guère, je me sentais en grande forme moi avec ces nettoyages quotidiens,

Notre vie aurait dût reprendre son rythme plus serein, mais trois jours plus tard, Myriam nous suppliait de lui refaire un lavement, par ce qu’elle n’était pas retournée à la selle depuis. Elle nous expliqua que pourtant elle continuait de prendre des laxatifs, et que les suppositoires ne lui faisaient toujours aucun effet. Evidemment nous avions oublié de retirer les placebos et fausses pilules, et ses soins continuaient de la constiper. Devant la gravité du cas, Gisèle décréta qu’elle recevrait deux lavements : un, le jour même, un second le lendemain. Myriam hurla encore son bonheur, et retrouva rapidement son teint frais et rose.

La fin de mes vacances approchait, ma tante m’avoua s’être amusée comme une folle, et la veille de mon départ elle voulut absolument me faire un nouveau lavement pour que je reparte en pleine forme, politesse que je lui rendis bien évidemment.