Sébastien.


Vues: 3622 Created: 2007.10.21 Mis à jour: 2007.10.21

Et Plus Si Affinités...

Et Plus Si Affinités...

Author: Sébastien.

J'avais rencontré Christine par petites annonces interposées ; cela faisait quelques temps que je vivais seul, et je savais que je devais rencontrer quelqu'un pour déverser mon trop plein de tendresse. Le destin n'ayant placé personne sur ma route, j'avais eu recourt à cet artifice sans vraiment trop y croire. Parmi les réponses à mon appel, sa lettre m'avait parue équilibrée et marquée d'une pointe d'humour.

Nous nous étions rencontrés tout d'abord en terrain neutre, puis avait suivi le cinéma, les expositions, le restaurant... Restait à savoir si ‘'Et plus si affinités'' allait signifier quelque chose de concret. Pour le savoir, nous avions décidé qu'elle viendrait s'installer chez moi durant une semaine de congé. Elle disposerait de la chambre d'amis, les soirées et les nuits serraient ce que nous en ferions.

Christine avait des valeurs que je partageais et était très sensible à toutes les formes de tendresse, le contacte physique avait aussi son importance, elle avait une façon bien à elle de venir se pelotonner contre moi quand elle se sentait seul, c'était sa façon de se rassurer. Si le premier soir elle préféra user de la chambre d'amis, le lendemain elle jugea bon de rester dans mes bras pour le reste de la nuit, et elle en profita pour tester les capacités physiques de son hôte. Elle mis dans cet essayage beaucoup d'entrain et d'initiative, mais je ressentis une certaine retenue que je ne m'expliquais pas.

La réponse arriva le lendemain, après une journée de promenade romantique qui me convenait au mieux et alors que la soirée devenait très tendre, je la sentais tendu et lui en demandait la raison ?

« Cela ne vient pas de toi, tu es un amant attentif et délicat, mais je suis très constipé et j'ai oublié d'apporter mon laxatif, je suis désolé de devoir te parler de cela mais cela rend nos rapports douloureux pour moi. Toute fois si tu avais quelque chose qui puisse libérer mes intestins, j'apprécierais tes caresses beaucoup mieux, et pourrais me détendre. »

« Je dois avoir des suppositoires de glycérine, cela peut te soulager rapidement. »

Elle rougit alors très fort, non seulement elle avait été obligée de me faire état de ses problèmes digestifs, mais avec ma proposition, elle devait maintenant m'expliquer qu'elle n'avait jamais réussi à s'introduire un suppositoire... je crus un instant qu'elle allait fuir, morte de honte. Je la pris dans mes bras et lui expliquais doucement que ce n'était pas bien grave, que si nous décidions de fonder un couple il y aurait des problèmes bien plus important à surmonter. Dans l'immédiat, si elle me le permettait c'est moi qui allais lui mettre son suppositoire ; ce qui fut fait.

Deux minutes après l'introduction réussie du médicament je la vis s'agiter comme un ver en proie à de vives coliques, elle partit rapidement vers les toilettes. Mais à son retour, j'eus droit aux larmes ! Elle avait rendu le suppositoire et rien de plus... je m'empressais alors de la consoler de mon mieux, lui expliquant que j'avais encore une solution, je lui proposais un lavement, au point ou nous en étions, je ne risquais plus grand chose !

Cette nouvelle perspective ne la tentait guère, mais elle se sentait fautive, et aurait accepté n'importe quoi qui puisse la libérer de ses maux, et c'est avec un air accablé qu'elle me regarda préparer le bock que je remplis d'un litre et demi d'eau tiède légèrement salée, lui expliquant qu'elle ne serrait pas obligée tout prendre, que j'arrêterais dès qu'elle se jugerait suffisamment remplie. J'équipais aussi le tuyau de la longue canule vaginale, beaucoup moins agressive que la petite canule rectale dont l'introduction est toujours douloureuse. Je plaçais alors le bock à coté de mon lit à une hauteur raisonnable pour que ma patiente ne fut pas agressée pour une arrivée d'eau trop violente, et étalait sur ma couche une épaisse serviette de bain pour prévenir tout risque d'incident.

Il me restait à inviter ma chère Christine à se dévêtir et à s'installer confortablement. Elle s'exécuta de bonne grasse, bien qu'avec une gêne évidente. Je lui parlais doucement pour la rassurer, lui expliquant que plus vite nous en aurions terminé plus vite nous oublierions cet incident de vie courante qui n'avait en faite que peu d'importance. Pourtant lorsque je lui, lubrifiais l'anus, pour pouvoir lui enfoncer la canule sa douleur, je la sentis très tendu et lorsque je présentais la canule, je ne pus la faire pénétrer tant la dame était crispée. Je renonçais donc provisoirement, proposant de nous détendre en échangeant quelques caresses. Christine approuva ma proposition, et je me dévêtis rapidement la rejoignant sur la couche, la couvrant de baisers et cherchant toutes les zones érogènes qui pourraient lui faire oublier ses problèmes. Finalement après dix minutes de ce petit jeu, elle était installée sur moi à me faire l'amour, se croyant de la sorte en sécurité puisque j'étais quasiment immobilisé. Moi la sentant bien partie et très détendu, je tendis une main vers la canule, la saisie et prenant ma partenaire par les fesses, j'enfonçais un peu à tâtons mon outil qui devait la soulager. Elle ne se rendit pas tout de suite compte de ce qui lui arrivait, elle dut d'abord croire que c'était un doigt et se laissa faire sans résistances mais quand j'ouvris le robinet et qu'elle sentit l'eau tiède l'inonder elle protesta ! Mais il était trop tard une nouvelle volupté l'emporta bien au de là de ce qu'elle pouvait imaginer. Elle reprit ses va et vient sur mon membre. Moi j'étais attentif à ses réactions, toujours près à fermer l'écoulement à sa première demande mais il n'y eut pas de demande, par contre elle partit dans un orgasme comme je ne croyais pas que cela fut possible. Je connus moi-même une volupté que je n'aurais pas soupçonnée non plus si je ne l'avais connu.

Après bien des secondes d'éternités, elle était inanimée sur moi, ne bougeant plus mais reprenant doucement ses esprits. Je la débarrassais délicatement de la canule lui rappelant qu'elle avait un rendez-vous urgent aux toilettes. Elle s'enfuit rapidement et ne réapparue qu'un quart d'heure plus tard. J'avais eu le temps de ranger le matériel qui l'avait finalement si bien soulagé, quand elle me tomba dans les bras ne sachant comment me remercier de mes bons soins. Et nous finîmes rapidement par nous endormir.

Au petit matin, j'eus la surprise d'avoir droit à un caprice ! Christine voulait absolument un autre lavement, pour être sûr d'être bien nettoyer ! Pour en avoir usé quelques fois pour moi-même je savais que ce traitement vous vide l'intestin en profondeur sur tout avec la dose que je lui avais administrée, mais rien n'y fit, elle était persuadée qu'il lui fallait reprendre un lavement pour finir d'éliminer tout ce qui l'avait tant fait souffrir ces derniers jours. Je dus me résoudre pour la calmer à lui donner ce nouveau traitement, mais petite vengeance personnelle, je remplis le bock de deux litres d'eau assez chaude pour lui créer une très forte envie d'aller rapidement aux toilettes. Lorsque j'arrivais avec mon instrumentation dans la chambre je la trouvais déjà installée sur la serviette, l'anus tourné vers moi luisant de vaseline. La canule entra sans rencontrer la moindre résistance, cette fois et quand le chaud liquide inonda ses entrailles elle se replaça sur le dos les jambes demi-relevées et écartées ! Je répondis à cette attitude en m'attaquant bucalement à ce sexe offert tout en maintenant la canule bien profondément enfoncée. Christine s'agitait beaucoup et poussait de longs râles mais ne semblait pas souffrir. Lorsque mon bock fut vide et son ventre bien rond, je libérais l'anus du tube qui l'avait emplit et fit un mouvement de recul pour me retirer et laisser le champ libre pour que ma patiente puisse aller se vider, mais je fut empoigné par les épaules avec cet ordre : « Prend moi ! » Après une seconde d'hésitation j'obéis. Et ma partenaire connue le même orgasme que la veille au soir avant de s'enfuire vers les toilettes.

Lorsque Christine réapparue après un long moment passer à se vider et avoir pris une douche, elle revint vers moi s'excusant de son attitude. Elle m'expliqua que je lui avais fait découvrir tant de choses depuis la veille, qu'elle voulait s'assurer qu'elle n'avait pas rêvé : Je savais bien lui soigner la constipation qui la faisait souffrir depuis toujours, et cela de façon très agréable, très efficace et rapide, de plus elle me trouvait doux et câlin. Elle venait donc de décider que si je pensais pouvoir la supporter, et si je m'engageais à veiller qu'elle ne soit plus jamais constipée, elle n'avait pas l'intention de rentrer cher elle à la fin de la semaine ! En échange, elle pensait pouvoir se comporter en compagne aimante et attentionnée.

Je fus assez surpris par la façon dont elle venait de concrétiser ‘'Et plus si affinités'', mais ayant pus apprécier ses qualités culinaires et de maîtresse de maison, sa fougue dans nos ébats amoureux de ces dernières heures, j'acceptais le marché.

Voici maintenant plus de quinze ans que cela dure, j'ais une compagne douce fidèle et attentive, il n'y a jamais eu de rapport de force entre nous, ni de chantage d'aucune sorte, de mon côté pour éviter de voir s'installer la routine dans le curieux contrat qui nous lie, je m'efforce de varier les façons de la purger. J'alterne les matériels, bocks de différentes matières, métallique, plastique, opaque ou transparent, je lui en ais fait réaliser en verre soufflé, en céramique... je lui ais restaurer de vieux clystères en étain qui ont repris du service spécialement pour elle après plus d'un siècle de retraite.

La pièce dont je suis le plus fière est un irrigateur en étain qui pousse le liquide contenu par un système de piston et de crémaillère, mais dont le mécanisme entraîne également une boite à musique ! Nos ancêtres ne manquaient ni d'imagination, ni d'humour !

Je lui ais également trouvé toutes sortes de poires à lavement ou vaginale, de différentes formes, de différentes couleurs. Il y en a que je fais venir du bout du monde... C'est notre secret, bien sur, elle doit tout essayer, il y a celles qu'elle préfère, et celles qu'elle aime moins, je change d'appareillage à chaque fois, c'est pour elle une surprise. La règle est simple, jamais elle ne doit avoir mal, la cadence est d'un minimum de deux à trois lavements par semaine le maximum est tout simplement ce qu'elle supporte avec plaisir, ce qui peut parfois dépasser dix lavements dans la journée, mais c'est exceptionnel.

En dépit de la quantité importante de lavages que subit son intestin, celui-ci ne s'est jamais plein, il n'a jamais manifesté d'une façon ou d'une autre de réprobation. Mais ce qui m'étonne le plus c'est que ma Christine y prend toujours autant de plaisir, elle est en pleine forme, et je me demande parfois si elle est encore constipée, depuis qu'elle s'est arrêtée chez moi, elle n'a jamais manquée de lavements !