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Vues: 6635 Created: 2007.08.06 Mis à jour: 2007.08.06

Feindre Pour Recevoir Un Lavement

Feindre Pour Recevoir Un Lavement

Traduit et librement adapté d'un texte américain.

Author: procyonlotor

Je ne sais pas que combien de personnes ont reçu des lavements de leur mère durant leurs années d'enfances et au-delà. Pour moi, entendre ces mots :

« Je pense que je vais devoir te donner un lavement ! »

Déclenchait des frissons au bas de ma colonne vertébrale; frissons d'excitation bien-sûr. Passage dans la salle de bains, porte fermé à clé, juste maman et moi. Elle sortait le bock avec son grand tuyau rouge et sa longue canule noire. Je la regardais préparer l'eau chaude qui dans quelques instants coulerait dans mon derrière.

Lorsque je suis devenu plus vieux, il est devenu plus embarrassant pour moi de solliciter un lavement de Maman. Principalement parce cela voulait dire de baisser mon pantalon et de la laisser voit mes fesses et mes attributs virils : Cela me provoquait des érections que je ne souhaitais pas lui montrer. Il m'est même parfois arrivé d'éjaculer pendant que le lavement coulait en moi. Je ne comprenais pas ce qui se passait, mais je savais que je me sentais extrêmement bien après. Etant le plus jeune dans la famille, je pense aussi que Maman aimait à me dorloter tant qu'elle le pouvait.

Durant mon adolescence, j'aurais voulu recevoir plus de lavements que je n'osais lui en demander, j'ai donc appris à me les donner moi-même. Je savais bien que si j'étais allé lui demander plus d'un lavement ou deux chaque mois, elle serait peut-être devenu soupçonneuse. Lorsque j'ai quitté le collège, je ne suis pas allé à lycée. Je n'ai pas exercé un travail classique non plus. J'ai choisi de travailler par moi-même, effectuant les travaux rebutant que les gens n'aimaient généralement pas faire. Mes clients étaient principalement des parents ou amis de la famille et les voisins.

C'était agréable j'avais ma chambre indépendante, j'étais payé, et cela me donnait l'occasion de faire des choses que j'aimais faire. Quelquefois cela m'emmenait hors de la ville, et lorsque que je travaillais pour leur résidence secondaire, bien souvent, j'habitais sur place seul durant la semaine.

Lorsque je travaillais dans la maison de mes clients, j'en ai toujours profiter pour visiter la salle de bains. Je jetais un coup d'œil furtif dans les tiroirs et les armoires pour voir s'il y avait le matériel nécessaire pour donner ( ou recevoir) un lavement. Une fois sur deux, je trouvais ce qu'il fallait, souvent des models différents. Un jour, une idée s'est imposée à moi : Je me suis dis que ce serait sûrement très agréable de recevoir un lavement de quelqu'un d'autre que de ma mère... Une femme évidemment ! Oui, la pensée de baisser mon pantalon devant une autre femme que ma mère, et de recevoir un lavement de sa part m'excitait au plus haut point. L'idée faisait doucement son chemin dans ma tête, c'était certainement réalisable. Mais à qui un gosse de 19 ans peut-il demander qu'on lui donne un lavement ?

L'occasion se présentât le jour où je devais réparer la toiture du garage de la résidence de vacances d'amis de ma famille. J'avais une semaine de travail devant moi, que je passais sur place, seul avec la mère de famille. Tout de suite, j'avais remarqué le sac à lavement qui pendait derrière la porte de la salle de bain. L'état humide de l'intérieur indiquait un usage récent. Toutes les conditions de tranquillités étaient rassemblées pour réussir cette expérience.

J'ai passés deux jours à bâtir un scénario plausible. Alors rassemblant tout mon courage, je suis passé à l'action. Depuis déjà deux jours, je n'éprouvais plus le besoin d'aller aux toilettes. Et lorsque je suis arrivé le matin pour le petit déjeuner, comme la mère de famille me demandait ce que je voulais manger, je lui ai dis que je ne me sentais pas bien, que je n'avais pas très faim. Surprise, elle m'a interrogé sur ce qui n'allait pas.

« C'est embarrassent, mais je n'ai pas eu de selle depuis trois jours. »

Puis je lui ai demandé si elle avait quelque laxatif efficace.

« Je vais regarder, mais si vous étiez un de mes gosses avec ce problème ce serait un bon lavement vite fait ! »

J'étais nerveux pendant qu'elle était partit vers la salle de bain, j'espérais surtout qu'elle n'ait pas de laxatifs. Lorsqu'elle est revenue, elle n'en avait pas trouvé, mais elle m'expliqua qu'elle avait toujours considéré qu'un lavement était de loin, le meilleur traitement pour un constipé, que depuis toujours, pour elle, les lavements étaient la solution pour la plus part des maux courants.

Elle me parlait des lavements comme si je ne savais rien à leur sujet. Cela a détendu l'atmosphère. Elle m'a demandé si elle devrait m'en préparer un, et me montrer comment le prendre. J'ai répondu que bien que j'ai reçu quelques lavements dans mon enfance, je ne saurais sûrement pas m'en donner un. Et j'ai ajouté d'une voix douce et un peu nerveuse :

« Je pense que ce serait mieux que je vous laisse me le donner... Si cela ne vous dérange pas, évidemment... »

« Je serais heureuse de faire cela pour vous. Je suis sûr vous vous sentirez mieux quand nous en aurons fini ! »

J'ai ajouté que c'était embarrassant pour moi et je lui ai demandé que cela reste entre nous. Elle a parfaitement comprit ma requête et s'est engagée à ne pas en souffler un mot à qui que ce soit et me prenant dans ses bras, elle m'a dit :

« Maintenant allons à la salle de bains et terminons en avec ce problème... »

Je l'ai suivit, et à l'intérieur de moi, une voix répétait :

« Je l'ai fais ! Je l'ai fait ! »

La seule pensée qu'elle allait me donner un lavement, avec le matériel qu'elle utilisait pour sa propre famille, suffisait à me provoquer une monstrueuse érection. Je pouvais sentir la protubérance dans mon pantalon. Je ne savais pas comment j'allais la lui cacher. Dès qu'elle eu fermé la porte, elle mit une grande serviette sur la moquette par terre et demanda que je m'installe confortablement pendant qu'elle préparait le lavement. Elle est allée décrocher le sac de caoutchouc et a commencé de le remplir au robinet de la baignoire. Pendant qu'elle me tournait le dos, j'ai baissé mon pantalon et me suis allongé à plat ventre sur la serviette. Ouf ! Mon honneur était sauf !

Tandis qu'elle remplissait la poche d'eau, elle m'expliqua que le matériel était dehors parce que son fils avait eu besoin d'un lavement trois jours plus tôt. Elle me dit que son fils ne prêtait pas attention à ce traitement, ni lui ni sa plus grande fille, par contre la plus jeune ne se laisse pas faire facilement : Elle détestait recevoir des lavements.

Ce n'est pas ce genre d'explication qui allait faire retomber mon excitation.

Quand le sac fut plein, elle le suspendit à un crochet judicieusement placé. Puis elle allât chercher un tube de lubrifiant et en enduisit la canule. J'espérais qu'elle en mettrait aussi un peu sur mon anus avec son doigt, c'était ce que j'aimais le plus quand ma mère me le faisait. Au lieu de ça, je l'ai senti écarter mes fesses et la canule froide appuyer contre mon anus. J'ai alors resserrer mon petit trou et elle m'a demandé de me détendre et en remuant doucement son instrument, elle le glissa facilement dans ma petite ouverture.

J'ai entendu la pince s'ouvrir et ces mots :

« Votre lavement commence ! »

L'eau coulait maintenant dans mon ventre. Je gémissais et me tortillais doucement, ma jouissance était imminente. Heureusement, elle pensa juste que j'avais un problème pour tenir l'eau et ralenti le courant. Elle me le donna donc très lent, mais me fit prendre le sac plein. J'aurais voulu que ce lavement ne se termine jamais. Mais finalement elle a retiré la canule de mon rectum et posé le matériel dans la baignoire. Elle est sortie en me disant que si j'avais besoin de quelque chose, je n'avais juste qu'à l'appeler.

La première chose que j'ai faite fut de nettoyer la tache de sperme que j'avais laissé sur la serviette. Je ne voulais pas qu'elle voie cela. La tache d'humidité pouvait provenir du retrait de la canule. Je pouvais maintenant m'assoire sur les toilettes pour un bon quart d'heure jusqu'à ce que je me sois complètement vidé. Quand j'ai eu fini je me suis essuyé et suis allé lui dire combien son lavement m'avait soulagé et que je me sentais beaucoup mieux.

Elle m'a alors servit un copieux petit déjeuner, et je suis retourné à mon travail. Elle me fit remarquer :

« Je vous l'avait bien dit qu'un lavement était le meilleur remède... »

J'ai approuvé.

C'est le seul lavement que j'ai reçu d'elle malheureusement. Cette expérience m'a conforté dans l'idée d'essayer la même chose avec d'autres dames ayant un matériel à lavement chez elles. Je me suis fixé pour but d'obtenir un lavement d'au moins une douzaine de dames différentes.

La deuxième fois que j'ai tenté d'obtenir un lavement de cette façon, j'avais de nouveau demandé à mon hôtesse si elle avait un laxatif, pour ne pas être trop directe, ayant au paravent repéré un splendide bock dans la salle de bains. La gentille dame me fit remarquer que vue la gravité de mon cas, un lavement serait plus approprié, mais qu'elle ne pourrait pas m'en donner parce que le tuyau de caoutchouc de son instrument était hélas entrain de se désagréger, vu son grand âge et son service fréquent. Mais qu'effectivement, elle avait un excellent laxatif, qui me tirerait d'affaire. Elle me fit boire alors un grand verre d'une potion immonde que je ne pus refuser puisque c'était ce que je venais de solliciter, et dans l'heure qui suivit je dû courir aux toilettes. Visite que je renouvelais plusieurs fois dans l'après midi...

Une dame qui ne savait pas grand chose au sujet des lavements, a utilisé sa douche vaginale pour me soulager. Elle m'a dit elle n'en avait jamais reçu, mais qu'elle voulait faire ce qu'elle pouvait pour me soigner. Elle ne parvenait pas retrouver la canule à lavement qui allait avec sa poire personnelle, bien qu'elle se souvienne parfaitement l'avoir vue dans la boîte quand elle l'avait acheté. Elle me demanda si je trouvais la canule vaginale trop grosse pour un lavement ? Je l'ai assuré que cela pourrait aller si elle lubrifiait bien mon anus au paravent. En fait j'avais souvent pris des lavements avec la canule vaginale de maman mais celle qui se montait au bout du tuyau, et qui était d'un diamètre plus faible. La gentille dame s'était vraiment prisse au jeu pour me donner ce lavement après que j'ais consenti à utilisez sa poire vaginale. Elle m'a d'ailleurs fait cette remarque :

« C'est juste comme se doucher sauf que l'on douche l'autre ouverture... »

Quand elle fut prête, elle lubrifia mon anus d'un doigt en l'enfonçant entièrement. Puis le gros et long tube prit la place. Alors elle pressa la poire. Quand elle eu fini elle me confiât,

« Je pense que je vais essayer un lavement sur moi un jour prochain ! »

C'était le premier lavement qui m'ait été donné avec une grosse poire vaginale, dont j'avais aimé sentir la présence impressionnante dans mon anus, et l'introduction d'un doigt lubrifié dans mon anus demeure toujours pour moi l'un des gestes favoris avent de recevoir un lavement.

Seulement trois dames ont réellement lubrifié mon trou à l'intérieur. Deux autres ont lubrifié à l'extérieur seulement, et le reste d'entre-elles a seulement lubrifié la canule à lavement. La plupart des lavements m'ont été donnés en m'allongeant sur le sol de la salle de bains. L'une m'avait seulement fait pencher et m'appuyer sur le dos des toilettes. Heureusement que j'avais une grande chemise ce jour là pour cacher mon érection à sa vue. Je me masturbais habituellement dès que je me retrouvais seul aux toilettes pour expulser le lavement.

Ma préférence va à une de mes voisines qui avait été mon professeur d'Anglais. Elle était assurément la plus belle et probablement la plus jeune. Elle avait seulement 8 ans de plus que moi. Je tondais régulièrement sa pelouse depuis que j'étais en cinquième. C'était vraiment une jeune femme magnifique. Elle passait beaucoup de temps dans un centre de remise en forme. Mais ce qui m'étonnait le plus c'était qu'elle n'avait pas de petit ami.

Toutes les fois que je tondais sa pelouse ou que je faisais quelque autre travail pour elle, elle m'inviterait à prendre une collation, voir même à dîner avant de rentrer à la maison. Selon mon habitude, lorsque j'avais utilisé sa salle de bains j'ai chercher un matériel à lavement dans les tiroirs et placards. Derrière une pile de serviettes j'ai remarqué une boîte. Elle était marquée : ‘'MARVEL, hygiène et beauté de la femme''. J'ai ouvert la boite, elle contenait un bock souple de voyage. J'ai tout rangé soigneusement. Il fallait absolument que je reçoive un lavement avec cet instrument. Je savais que ça n'allait pas être facile par ce que c'était une femme intelligente et perspicace. Quelquefois elle s'absentait assez longtemps alors que j'étais là, j'aurais pu entrer tranquillement dans sa salle de bains et prendre un lavement rapidement avant son retour... Mais, ce que je voulais surtout, c'était que ce soit elle qui me donne ce lavement, il suffisait simplement de trouver comment.

Depuis que j'avais découvert son matériel à lavement, je ne pensais plus qu'à imaginer comment j'allais l'amener à l'utiliser sur moi. J'ai attendu avec patience la prochaine fois où elle aurait recourt à mes services. Ce fut un après-midi où elle m'a appelé pour l'aider à nettoyez son garage à fond et déplacer un tas de truc dans son grenier. Il nous fallu plusieurs heures pour tout faire, et elle m'a invité à rester dîner avec elle.

J'ai alors laissé échapper un énorme pet sur ma chaise, en tenant mon ventre avec ma main et j'ai dit :

« Excusez-moi! Je devrais essayer d'aller aux toilettes, mais je n'ai pas grand espoir. J'ai essayé d'y aller avant de venir ce matin, hélas, sans résultat. »

Après avoir passé un moment enfermé dans ses toilettes, je suis sorti et lui ai aussi demandé si elle avait un laxatif efficace. Elle m'a affirmé ne pas en avoir, mais que, cependant, elle pouvait me proposer quelque chose qui me soulagerait bien mais que probablement, je ne voudrais pas. J'ai demandé ce que c'était. Elle a dit :

« Ca s'appelle un lavement. »

« Je connais, c'est ce que ma maman me donnait quand j'étais petit. »

« Donc vous savez ce que c'est et comment cela se prend. Voulez-vous que je remplace votre maman et que je vous administre un lavement dans votre derrière? »

Je venais d'entendre ce que j'attendais depuis des semaines ! Je lui ai demandé un peu nerveusement si vraiment elle savait donner un lavement.

« Bien sûr, je sais! Je sais aussi que les grands garçons comme vous ont parfois besoin d'un bon lavement. »

Dix minutes plus tard j'étais prosterné sur le sol de sa salle de bains avec un tuyau dans mon arrière-train et au bout son bock à lavement souple. J'avais bien un peu peur qu'elle ne découvre ma supercherie, et je pense qu'elle a senti que j'aimais les lavements. L'eau coulait en moi tranquillement, et je ne voulais pas qu'elle voie mon sexe tendu. Mais, lorsque j'ai éjaculé, elle a été obligée de le remarquer.

Elle m'a gentiment demandé si j'étais sexuellement sensible aux lavements, et si j'avais truqué mon besoin d'un lavement. Je suis devenu aussi rouge qu'une tomate.

« Oui je suis très sensible aux lavements, mais j'en avais réellement besoin. »

Quand le sac de caoutchouc fut plat et vide elle l'a mis dans l'évier et m'a demandé de rester dans cette position. Elle s'est agenouillée à côté de moi et a commencé une délicate branlette. Il a suffit de seulement quelques allées et venues à sa main, pour obtenir de mon sexe une nouvelle jouissance. C'était la première fois qu'une tierce personne me faisait ça. Je me suis écroulé sur le sol... Elle m'a dit, avant de quitter la pièce :

« Je vous laisse, Vous n'avez plus besoin de moi pour ce qui vous reste à faire, je vous attends au salon... »

J'ai pris tout mon temps pour me vider de ce grand lavement, ne sachant vraiment pas ce que nous pourrions nous dire quand je sortirais. Lorsque j'ai passé la porte elle m'a étreint et m'à donné un baiser sur la joue. J'étais à présent complètement soulagé. Un professeur est une personne quelque peu autoritaire, j'avais tout de même un peu honte de l'avoir manipuler. La première chose qu'elle m'a dit :

« Si vous voulez encore que je vous donne un lavement, demandez-moi, je serai heureuse de vous rendre ce service. En plus vous avez vraiment un très joli petit cul ! »

Nous sommes devenus de très bons amis. Après cela, chaque fois que j'ai tondu sa pelouse ou fait quelques autres travails pour elle, j'ai toujours reçu en gratification un lavement dans sa salle de bains. Il m'est même arrivé d'aller la voir simplement pour recevoir un lavement. Je pense qu'elle aimait me les donner autant que j'aimais les recevoir. C'était vraiment très agréable de recevoir mes lavements de quelqu'un, sans avoir à cacher mes érections.

J'aurais voulu savoir si elle même prenait beaucoup de lavements ? Mais je n'ai pas posé la question jusqu'au jour où lorsque je suis arrivé pour en recevoir un, son bock s'égouttait au lieu d'être dans l'armoire. J'ai fait la remarque qu'elle avait dû prendre un lavement récemment. Elle m'a dit elle aimait se nettoyer le colon au moins une fois par mois, avec une série de 2 ou 3 lavements. J'espérais qu'elle finirait par me demander de l'aider pour en prendre un, j'aurais tant aimé écarter ses belles fesses et glisser la canule dans son petit trou du cul. Mais cela est resté un rêve.

Bien que nous n'ayons jamais fait l'amour ensemble, elle se dénudait pour me soigner et c'était toujours très agréable de recevoir un lavement de sa main. Elle me donnait mes lavements le plus souvent en culotte et soutien-gorge. Les rêves érotiques qu'elle éveillait en moi lorsque j'étais l'un de ses élèves étaient maintenant bien dépassés. Je n'aurais jamais imaginé recevoir un lavement de sa part, ni la voir dans sa jolie lingerie. Quand elle a commencé à enseigner dans notre école elle avait seulement 25ans, et elle n'en paressait pas plus de 21.

J'ai dû recevoir une vingtaine de fois des lavements de sa main, mais comme elle m'en donnait deux ou trois à chaque fois, donc c'est plus de cinquante lavements que j'ai reçu probablement. Elle ne manquait pas d'imagination pour varier mes lavements. Elle aimait à me les faire prendre dans des positions parfois insolites. Mais ma favorite était lorsqu'elle s'asseyait et me faisant m'allonger sur ses genoux, mon sexe tendu vers le bas entre ses cuisses chaudes pendant qu'elle me donnait le lavement. J'ai toujours éjaculé entre ses cuisses avant la fin de mon lavement. Elle savait aussi que j'aimais être préparé pour mon lavement, donc elle a toujours pris le temps pour me faire un long massage rectal pour me lubrifier avant chaque lavement. Avec un doigt dans mon anus, pendant que l'autre main caressait mes bourses, habituellement elle arrivait à me faire éjaculer une première fois avant le début de mon lavement.

Pour ajouter un peu plus de variété à nos jeux elle s'était même procurée une grande poire vaginale blanche, qui avait une longue et grosse canule, mais légèrement courbée. Cela réveillait encore mon érection lorsque qu'elle me l'enfonçait dans mon anus. Elle me donnait un premier lavement avec le bock Marvel et j'étais invité à aller me vider. En suite venaient des lavements qu'elle me donnait avec la poire vaginale.

Mais les meilleurs choses ont un fin, finalement après plus de 3 années de complicité, elle m'a informé elle avait obtenu un travail beaucoup mieux payé dans une autre région et qu'elle vendait sa maison pour partir là-bas. J'étais bien triste de la voir s'en aller mais je l'ai surtout remerciée pour toutes les expériences agréables qu'elle m'avait fait vivre et les souvenirs que j'en gardais.

Comments

clyso Il ya 4 ans