Florence
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Vues: 18931 Created: 2007.10.11 Mis à jour: 2007.10.11

Florence

Chapitre 1

J'ai eu le plaisir de découvrir les délices du lavement lors d'un séjour dans une infirmerie alors que j'avais qu'à peine 18 ans.

J'y étais soignée pour une simple grippe mais souffrais aussi d'une constipation opiniâtre qui durait depuis une semaine, dont je pâtissais bien plus que de la grippe. Un soir vint une nouvelle infirmière de nuit à qui j'osai avouer mon embarras.

Elle me demanda : - voulez-vous que je vous donne un lavement ? -

Un peux perplexe je répondis - On dit que ça fait très mal..-

- Certes ça fait mal mais c'est supportable et surtout très efficace. Ca va vous débarrasser immédiatement.

À ces paroles, j'acceptai avec cependant une anxiété due au fait qu'elle ne me cachait pas que ce traitement était douloureux et due aussi au côté humiliant que je lui attribuais. Elle revint rapidement, à croire que ce lavement était déjà prêt et qu'elle faisait le tour des chambres de l'infirmerie en quête d'un fondement hospitalier.

Elle suspendit le bock à une perche servant pour les perfusions et, à travers sa transparence, je vis qu'il était plein de ses quelques deux litres d'un liquide blanchâtre et certainement chaud, de part les buées qui s'en dégageaient. Une canule, bien emmanchée sur un robinet, au bout d'un long tuyau de caoutchouc rouge avait la grosseur d'un gros doigt, une longueur d'environ vingt centimètres et présentait à son extrémité une ogive percée d'un trou à sa base. Mon anxiété se transforma en peur. Je me mis, de mes mains, à pétrir mon ventre dur et ballonné, coupable de ce qui m'arrivait, dans le vain espoir qu'il se décidât enfin à se débonder naturellement. Rien n'y fit et force me fut de dominer ma frousse et mon humiliation pour subir ce traitement d'une barbare nécessité

Elle m'ordonna de me retourner et faisant fi de ma pudique gène dont témoignait mon regard angoissé puis elle releva elle-même ma chemise de nuit. Désormais mes fesses lui appartenaient, le sacrifice était imminent.

En biaisant ma tête et en louchant un peu, je la vis dérouler le long tuyau de caoutchouc, prendre le robinet et la canule dans sa main droite et se rapprocher dangereusement de mon pauvre petit cul livré impuissant et tremblant à l'inévitable épreuve. Puis je sentis sa puissante main gauche se poser sur lui et ses doigts en écarter vigoureusement la raie. J'étais contractée à en avoir le souffle coupé. Pourtant je m'abandonnais à mon sort et pris le parti de fermer les yeux pour attendre l'estocade.

La pénétration fut laborieuse car j'avais instinctivement serré les fesses dès le premier contact de la sa lance avec mon anus décidément rétif à toute sollicitation quel qu'en soit le sens. Mais le professionnalisme de l'infirmière eut raison de son opposition. Je sentis douloureusement l'ogive entrer en moi. Elle tenta d'enfoncer la canule mais devant l'encombrement de mon ventre, elle y renonça et envoya le liquide dès les premiers centimètres de l'intromission sodomisante.

Je sentis ce liquide chaud gicler, se répandre et tenter de se faire un chemin dans mes entrailles engorgées d'une semaine de rétention.

J'avais déjà mal, mais de retrouver cette sensation que j'attendais depuis des jours me fit trouver agréables les coliques qui s'annonçaient et qui s'amplifiaient. Je sentais qu'elle donnait des mouvements rotatifs et de va et vient à la canule et chaque fois qu'elle en venait à presque la retirer, mes spasmes se faisaient plus aiguës par un débit plus fort du lavement qui sans pitié investissait gaillardement mes tripes dures et bourrées comme une saucisse bien garnie.

Je maîtrisais de mon mieux ma douleur, serrais les fesses et les poings et cherchais par des ondulation de mes reins une position plus confortable. Rien n'y faisait. Je me maîtrisais de toutes mes forces retenais le lavement qu'elle continuait à m'administrer stoïquement malgré mes contorsions et mes gémissements dont ne cessaient de croître l'amplitude et la fréquence. Par fierté je voulus tenir coûte que coûte mais le mal ne faisait que grandir et la lutte devint inégale de par mon épuisement devant la puissance dominatrice qui me tourmentait.

Je me mis à supplier..

- Madame !!!!!!!!!! Madame !!!!!!!!!!!! je ... je.......je ne peux plus le tenir. Je vous en supplie, n'en mettez plus je suis sur le point de tout lâcher AHHHHHHH !!!!!!!!!!!!.-

- C'est pas mal. Vous avez pris un bon demi litre. Vous allez vous débarrasser, puis vous reviendrez pour prendre le reste. -

Ces paroles furent pour moi d'un tel soulagement que pour quelques instants mes coliques s'atténuèrent . Elle profita de ce court répit pour me retirer lentement la canule que je vis réapparaître toute souillée de mes scelles cette fois bien décidées à évacuer les lieux. . Elle me recommanda de bien serrer mes fesses, ce que je fis sans en attendre l'ordre car les douleurs venaient de reprendre de plus belle. Je pus cependant, à petits pas et les cuisses énergiquement fermées, me diriger ver les toilettes où à peine assise, le lavement et tout ce qu'il pouvait draguer se précipita dans la cuvette en un bruit de cascade. Ce fut pour moi un ravissement. Ca descendait par gros paquets qui en plus de la satisfaction du soulagent; me procuraient une sensation agréable au moment de me quitter et cela malgré quelques spasmes dus à leur circulation interne.

Le lavement ayant été peu abondant, son évacuation fut à mon regret de courte durée. J'aurais aimé que dure plus longtemps ce plaisir mais plus rien ne venait. Un éclairement joyeux vint à mon secours pour me rappeler que l'infirmière m'attendait pour m'administrer le reste du lavement. Je fis une rapide toilette locale et revins vers ma chambre où effectivement elle m 'attendait.

Elle eut vers moi un sourire attendrissant auquel je feignais de répondre par une attitude résignée. Je vis qu'elle avait réchauffé le liquide à l'aide d'un serpentin électrique et qu'elle avait remplacé la canule souillée par une autre de même longueur mais bien plus grosse. Je feignais de ne pas m'en apercevoir afin qu'elle ne voit dans ma remarque la moindre protestation. Je repris ma place à plat ventre sur le lit et cette fois, ce fut moi-même qui me mis en devoir de rehausser ma chemise de nuit.

Le même processus se renouvela mais cette fois j'étais plus détendue, moins résignée et bien plus consentante. Je voulus le lui montrer en écartant mes cuisses et, quand elle appliqua le gros gland de la canule sur mon anus, je donnai un petit coup de rein pour en faciliter l'intromission.

Elle n'avait pas lubrifié le mandrin mais bien que plus gros que le précédent il entra plus facilement et je le sentis agréablement glisser en moi de toute sa longueur.

Puis ce fut l'ondoiement. Il était chaud et doux et s'insinuait en moi langoureusement. Je le ressentais comme une caresse interne qui flattait mes entrailles tout en en prenant possession comme en pays ami et accueillant. J'en vins à roucouler d'aise et onduler des reins, cette fois gracieusement. De petites pointe aiguës venaient parfois me taquiner, c'était comme de petites étincelles qui s'échappent espiègles, d'un petit feu d'agrément.

Petit à petit ces joyeuses étincelles prirent des allures de feu d'artifice pendant que le lavement m'envahissait plus profondément. J'en émettais chaque fois de brefs frissons accompagnés de raidissement de mes jambes et de mes bras laissée le long de mon corps. Mes poings se serraient mais ces réactions ne duraient que le temps de la pointe de douleur. Je reprenais ensuite mon attitude de consentement en attendant une nouvelle attaque de ce lavement qui devenait assez tumultueux. Mes roucoulements se transformaient en râles que je contrôlais de mon mieux. Je lorgnais vers l'infirmière mais pas assez pour voir le niveau du bock.

- Il reste combien ? osais-je demander.

- Environ un demi-litre. Vous avez mal ?

- Oui Madame ça commence mais c'est encore supportable.

- Je peux vous l'arrêter mais je vous conseille de tout prendre. Le premier n'a fait que vous décongestionner et celui-là complète le travail en profondeur

- Oui Madame continuons !

Une autre sensation venait d'apparaître, celle du combat, de la fierté et de la résistance à la douleur. Plus les spasmes s'amplifiaient, plus je combattais. Je n'en avais pas moins mal pour autant mais même si je ne pus retenir quelques cris et quelques contractions convulsives, je pris le lavement jusqu'à sa dernière goûte.

-C'est fini. Vous avez été bien vaillante . Pour le moment je ferme le robinet et vous laisse tout en place. Soyez maintenant encore aussi forte pour contenir le lavement quelques minutes.

Elle quitta la pièce et , le fait que je sois désormais seule amplifia mes douleurs et je dus produire des efforts dont je ne me serais jamais sentie capable pour maîtriser les lancements erratiques qui m'assaillaient. Le lavement paraissait en colère de ne pouvoir évacuer ces lieux sur les quels il se vengeait sauvagement en les mettant au pillage. Pourtant, tout en criant, pleurant et me contorsionnant, j'eus raison de sa sauvagerie soudaine.

Elle revint porteuse d'un seau hygiénique. Mon humilité ne résista pas à cette vision humiliante d'avoir à rendre le lavement dans cette cuvette et certainement devant elle. D'une voix entrecoupée de râles, j'émis une faible protestation.

- Madame ! Je...je... préférerais le ...le ...faire ...aux...aux...toilettes..... Aie que j'ai mal !!!!!!!! AHHHH !!!!. J'aurai trop honte à le faire là dessus....

- Il n'en est pas question. Quand je vous aurai retiré la canule, votre anus sera dilaté et, croyez moi, dans cet était vous ne feriez pas un mètre sans lâcher le lavement. Votre honte en serait alors encore plus grande.

Elle s'approcha de moi et se mit en devoir de me retirer la canule. Elle le fit avec d'ultimes précautions, très lentement surtout quand le gland réapparut. Puis elle appliqua ses doigts tendus sur mon trou ainsi libéré et m'accompagna ainsi pour que je prenne place sur le seau.

Mes pulsions pudiques firent place au soulagement dont comme pour le premier lavement je ressentis les immenses bienfaits. Cette même pudeur fut également atténuée par la tendresse que me prodigua l'infirmière pendant que j'évacuais le lavement de ses œuvres et aussi par la vue des l'instruments qui m'avaient pénétrée dans une l ' intimité dont j'étais vierge et leur vue m'inspira déjà des pulsion fétichistes dont je suis encore imprégnée.

Deux jours après, la même infirmière fut à nouveau de service. Elle vint vers moi et je l'accueillis par un sourire joyeux. Elle me demanda si j'étais guérie de ma constipation. Je lui répondis que non. J'avais menti et elle n'en fut point dupe.

- Voulez vous que je vous redonne un lavement ?

Je répondis timidement oui, en rougissant, ce qui trahit mon désir d'être à nouveau " clystérisée ".

Elle partit et revint quelques minutes après avec le même équipement que le précédent. Le bock était plein à ras et la canule était la même que la grosse qui m'avait gaillardement sodomisée.

La réapparition de ces instruments exista mes sens. Je sentis mon sexe se mouiller et mes fesses s'échauffer. Mon regard étincelait et mon corps vibrait fébrilement. Comme la fois précédente elle s'approcha de moi avec son arme de charme et je me retournai d'un bond en me mettant en devoir de trousser ma chemise. C'est là qu'elle intervint en m'ordonnant de me mettre nue et sur le dos . Je fus un peu interloquée par la soudaineté de cet ordre mais obéis immédiatement. De sa main libre elle prit mon oreiller et me dit de le mettre sous mes reins pour surélever mes fesses.

Vint ensuite une série d'ordre.

- Repliez vos jambes et rapprochez vos pieds de vos fesses.

- Maintenant, écartez vos cuisses

- Posez vos mains sur vos seins. et détendez vous bien

J'obéissais à mesure que les ordres tombaient et ma curiosité et mon étonnement atténuèrent la montée de mes sens.

Elle posa sa main gauche sur mon sexe, en approcha la canule. Ayant constaté l'humidité de l'endroit, elle promena la canule à l'intérieur des lèvres de mon sexe qui sécréta encore plus , jusqu'à humecter par écoulement ma raie et mon anus. Elle prétendit que cela suffirait comme lubrifiant.

J'étais en attente de je ne savais quoi, mais sûrement quelque chose de nouveau. En effet, de ses deux doigts elle écarta ma raie, visa mon petit trou et sans ménagement m'introduisit la canule.

Je poussai un petit cri autant de surprise que de douleur mais en même temps, ses deux doigts qui avaient écarté mes fesses, se replièrent et envahirent mon sexe. Elle m'appliqua alors une masturbation soignée en même temps qu'elle donnait des mouvements d'aller et retour à la canule. Je ne fus pas longue à me trémousser de plaisir, à glousser comme une poule et à accompagner ses mouvements de solides coups de reins. Elle me fit aboutir à un orgasme foudroyant dont les râles puissants qui l'accompagnaient emplirent la pièce tout entière.

Ce n'est qu'à ce moment qu'elle envoya le lavement. Il déferla en moi comme un torrent en crue et je l'accueillis avec une immense volupté, comme une abondante éjaculation qui prolongea mon orgasme jusqu'à ce que les deux litres du lavement m'eussent tout entière investie.

Puis je revins au calme, le lavement reprit ses droits. Mes mains quittèrent mes seins pour venir sur mon ventre comme pour assagir le lavement que j'étais fière de contenir dans la douleur parce qu'il m'avait été donné dans un acte d'amour.