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Vues: 5465 Created: 2007.09.01 Mis à jour: 2007.09.01

Humiliations Chéries

Humiliations Chéries

Ce texte est extrait d'un ouvrage publié vers 1930 dans la collection "Orties Blanches"

Monsieur, Je ne suis qu’une simple femme de chambre, mais ça n’empêche pas que j’ai lu vos livres. Du reste, je ne les ai pas achetés, mais je les ai trouvés dans les affaires de ma patronne et ça m’a bien divertie. Il y a surtout dans Clotilde et quelques autres des histoires de lavements qui m’ont bien plu, parce que c’est des histoires que je connais bien ; seulement, avant, je croyais qu’il n’y avait que chez Madame qu’on pouvait voir des choses comme ça, mais je vois bien maintenant que ça se passe ailleurs aussi. Quand je suis rentrée chez Madame, il y a trois mois, je ne me doutais pas du tout de ce qui allait arriver, surtout que c’est une dame très bien (...) Alors, il y avait juste une semaine que j’étais au service de Madame, un matin Madame m’appelle. Je vais la trouver et elle tenait dans ses mains un irrigateur.

"Venez avec moi, Justine, c’est aujourd’hui le jour du lavement de Mademoiselle, et comme les autres fois c’est vous qui le lui donnerez, je vais vous montrer comment on s’y prend !"

Moi, vous pensez, j’ouvrais de grands yeux, mais comme je sais que dans mon métier il faut s’attendre à tout, alors je lui emboîte le pas. Mademoiselle était dans sa chambre, encore au lit. Elle est très gentille, Mademoiselle, une jolie petite blonde, et j’avais déjà remarqué qu’elle était pas mal formée pour son âge.

"Allons, ma fille, voilà Justine qui vient prendre une leçon de lavement, prépare toi, Monette."

"Oui, maman,"

répond Mademoiselle... Et elle se tourne sur le côté dans son lit. Madame, tout tranquillement, rabat les couvertures jusqu’à la moitié des jambes de sa fille et puis lui remonte sa chemise de nuit jusqu’à la moitié du dos. J’en ouvrais encore des yeux ronds en voyant comme ça devant moi le derrière tout nu de Mademoiselle. Et au fond ça ne me déplaisait pas parce qu’elle avait des bien mignonnes fesses d’un joli rose avec une belle petite raie.

"Approchez vous, Justine" et regardez-moi faire. Là, vous voyez, avec deux doigts vous écartez bien la fente juste au milieu... Là, comme ça, est ce bien ouvert, dites moi ?"

qu’elle me fait en se tournant vers moi. J’étais toute troublée de voir Mademoiselle qui, sans honte, se laissait écarter les fesses devant moi.

"Oh ! oui alors !..."

que je réponds, ce qui les fit rire toutes les deux.

"Eh bien, Justine, prenez vous même l’instrument et introduisez le..."

Je n’avais qu’à obéir, n’est ce pas ?

"Attendez, Justine, j'ai failli oublier ; assez souvent, je lui prends sa température, cela aussi vous devez l'apprendre ; le thermomètre est dans la table de nuit."

Je sors l'instrument,

"secouez-le bien ; maintenant introduisez-le doucement sur la moitié et attendez cinq minutes."

J'avais enfoncé facilement le tube de verre dans un petit œillet tout rose qui s'était déplissé complaisamment.

"bien, retirez le thermomètre et passez-le moi ; pas de fièvre, le lavement maintenant."

Alors, tout doucement, encore davantage que le thermomètre, pour ne pas lui faire mal, j’enfonçai la grosse canule juste où il fallait, ce qui fit frétiller drôlement les jolies fesses de Mademoiselle...

"Parfait, Justine, vous vous y prenez très bien...C’est comme ça que j’ai donné mon premier lavement."

Mais le lendemain, ce fut bien mieux ! Le matin, Madame me sonne et je vais la trouver dans sa chambre où elle était dans son lit.

"Justine, je ne suis pas très bien. Vous allez me préparer un lavement et vous me l’apporterez..."

un quart d’heure après j’arrive avec l’instrument que je pose sur la table de nuit, puis je vais pour me retirer...

"Eh bien, Justine, où allez vous ?"

"Mais... à ma cuisine, Madame..."

"Non, non ! restez là, j’ai besoin de vous. J’ai vu hier que vous étiez très adroite, et vous allez m’aider."

De ce coup là, alors, je n’en revenais pas. La petite encore, ça passait, mais Madame !... Mais elle ne me laissa pas le temps de réfléchir. Allez, vlan ! je la vois qui rejette ses couvertures, qui se couche sur le côté, et qui me relève sa chemise de nuit. "Oh !..."

que je ne peux m’empêcher de crier. Madame se met à rire...

"Quoi, Justine ? ça vous déplaît ?"

"Oh !... non... Madame... Alors ? Ben, j’ai été un peu surprise... Je ne m’attendais pas... Mais, sûr, ça, ne me déplaît pas, parce que Madame en a de belles fesses..."

"Ah ! ah ! voyez vous ça, cette coquine ! Mais vous avez raison, Justine. C’est vrai, je le sais que j’ai de belles fesses. Seulement, ce n’est pas pour les admirer que je vous ai fait venir, c’est pour m’aider à prendre mon lavement... comme pour Mademoiselle hier."

"Oh ! Madame... je n’oserai jamais... Quoi donc ? Heu... écarter... la fente de Madame... Que vous êtes sotte, ma pauvre Justine ! Mais si vous oserez, ce n’est pas compliqué .... Tenez..."

Et la voilà qui se prend elle même une fesse dans chaque main et qui tire dessus pour les séparer...

"Là ! qu’elle me dit. Ça ira comme ça ? C’est assez ouvert ?"

"Dame... oui, Madame... "

"Alors, allez y, ma fille, et doucement... non ! attendez, je préfère m'assurer que je n'ai pas de fièvre, vous allez tout d'abord me prendre la température."

Sur ses indications, je dénichais le thermomètre dans la table de chevet ; ce que c’était rigolo de voir Madame avec ses cuisses et son beau derrière tout nus, et puis ses deux mains bien plaquées sur ses fesses qu’elles tenaient bien grandes ouvertes. Et ce que ça m’amusa de lui entrer le thermomètre dans son beau macaron brun, d'autant qu'elle ne m'arrêta que lorsque le tube de verre ne dépassa presque plus d'entre ses fesses.

Au bout de cinq minutes, sur son ordre, je lui retirais l'engin médical et le lui tendis,

"37°8, c'est trop pour le matin, donnez-moi vite ce lavement."

Je procédais à l'introduction de la longue canule pendant qu’elle tortillait ses fesses comme sa fille avait fait la veille. Quand j’ouvris le robinet, elle tourna la tête vers moi et me fit un drôle de sourire. Je tenais l’irrigateur dans mes mains et je rigolais en moi même de voir le tuyau de caoutchouc qui se perdait entre les fesses de Madame qu’elle maintenait bien serrées maintenant.

"Vous pouvez l’enlever,"

me dit elle au bout d’un moment. Alors, comme cette fois ci elle avait retiré ses mains, je fus bien obligé de lui écarter moi même ses fesses pour faire sortir la canule. C’était bien la première fois qu’il m’arrivait de toucher toutes nues des fesses de patronne et puis de voir ce qu’il y avait entre, et ça me faisait un drôle d’effet. Madame s’en aperçut bien et me dit :

"Allons, Justine, on fera quelque chose de vous. Vous êtes une vraie soubrette, et je suis bien contente de vous avoir à mon service. Et vous, Justine, êtes vous contente ?"

"Oh ! oui, Madame !"

que je ne pus m’empêcher de répondre.

"A la bonne heure... Maintenant, vous pouvez vous en aller. Je n’ai plus besoin de vous pour le moment ; revenez dans deux heures pour reprendre ma température ; emportez le thermomètre pour le nettoyer."