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Vues: 5844 Created: 2007.10.23 Mis à jour: 2007.10.23

J'adore les Lavements

J'adore les Lavements

Je m'appelle Sophie , j'ai quarante ans. Ma jeunesse s'est passée dans une ferme. Mes parents sont d'origine modeste. Jeunes, ma soeur aînée et moi étions souvent constipées. Inutile de vous dire que les parents nous ont administré pas mal de lavements.

Cela se passait toujours sur un lit de la grande pièce qui faisait aussi office de cuisine, avec une grande table et des bancs. Un matin, ma mère et mon père décident de me donner un lavement. Ma mère me fait quitter la culotte de pyjama. Les fesses à l'air, jambes bien écartées, je m'étends sur le ventre. Mon père ayant rempli la grosse poire, ma mère lui passe la vaseline et, d'un coup il m'entre dans le derrière la canule de la poire. A l'instant même arrive Marcel, un ami et voisin d'enfance de mon père.

"Assieds-toi, Marcel, prends un canon, je purge Sophie." Il presse fortement la poire, je sens l'eau légèrement savonneuse qui me pénètre.

"Encore une poire et c'est fini. " Il la remplit à nouveau et, sans autre forme de procès, il me purge à nouveau. J'avais treize ans à l'époque mais déjà, à cet âge, j'étais heureuse de montrer mes fesses à un homme sans, bien sûr, le fai-re voir à mes parents qui l'auraient très mal pris.

Je me suis fait administrer par des hommes une pléthore de lave-ments. Je contacte un infirmier libéral et je lui dis que je dois passer une radio de l'intestin. On prend un lavement la veille et un autre quelques heures avant l'examen. J'attends la venue de l'infirmier en peignoir. Je n'ai que ma petite culotte. Je m'étends sur le lit, j'écarte bien les fesses pour bien montrer mon cul, mais c'est lorsqu'il introduit la sonde vaseli-née que je me sens secouée par un véritable orgasme. Parfois, j'ai eu droit à une pénétration vaginale.

Une fois, un bel homme vient. "Je suis l'infirmier, je viens vous faire le lavement évacuateur." Je sentais qu'il bandait beaucoup. Nue devant lui, je sentais qu'il n'en pouvait plus. Il m'introduit la canule bien vaselinée, me la retire, et recommence au moins trois fois.

"Maintenant, regarde ce que je vais t'enfoncer." Je vois une grosse et longue verge, raide comme un bâton."

"Non pas ça," dis-je. "Tu aimes le sexe, tu l'auras." Son gland chatouille mon anus vaseliné et, d'un coup sec, pénètre profondément dans le derrière. C'était ma première sodomie. "Maintenant je vais te purger comme il faut."

Le lavement fini, il m'introduit deux gros doigts dans l'anus. Désormais, je n'hésite plus à me faire prendre par l'anus à condition que l'homme mette un préservatif, car il y a maintenant des risques qui, avant, en principe, n'existaient pas.

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n/a Il ya 13 ans