Anonymous


Vues: 16623 Created: 2007.08.18 Mis à jour: 2007.08.18

Jeux Erotiques et Medicaux

Jeux Erotiques et Medicaux

Je m'appelle Violaine, brune, vingt-quatre ans, bien faite avec un beau cul. Depuis mon plus jeune âge, je suis une vraie obsédée du domaine médical. Blouses blanches, accessoires chromés, lavements, suppositoires, thermomètres, auto-tensiomètres, spéculum, je suis une dingue de tout ça!

Ma copine Sylviane aime aussi le domaine médical, surtout les visites. Elle est très mince, presque maigre, mais ses fesses sont bien dodues et elle a des nichons pointus. Nous aimons avoir des relations, de temps en temps, et nous y prenons du plaisir; mais nous tirons encore plus de plaisir côté anus. A la maison, le mien est souvent occupé. Cela me donne des jouissances très fortes. Par exemple, l'auto tensiomètre me plaît beaucoup et je commence à mouiller dès que je m'en sers.

L'autre jour ma copine Sylviane, habillée en infirmière, m'attendait avec deux thermomètres, l'un vaginal, l'autre rectal. Elle avait invité un homme qui lui avait promis de regarder en se masturbant, mais sans toucher.

Je m'installe sur le dos, les jambes relevées. Le thermomètre vaginal entre sans peine dans ma chatte mouillée, me donnant beaucoup de plaisir. Sylviane me demande d'une voix froide et professionnelle d'écarter un peu plus les jambes. Écartant mes fesses avec deux doigts, elle pose l'embout de l'autre instrument contre ma pastille fripée et la laisse pointé sur mon trou. "Fais-le pénétrer", lui dis-je. Ah! Je pousse un petit cri de plaisir, et ça y est, il est dedans ! Je mouille de sentir mon anus investi. Une fois de plus, le thermomètre vient de le perforer. Je me tortille tellement c'est bon!

Pendant ce temps, Sylviane me tend son gros pétard, agrémenté d'une large auréole brun clair autour de l'anus, tout en me tendant un thermomètre. Nous avons presque oublié la présence du voyeur; toutes à notre jeu érotique. J'administre deux belles claques sonores sur les fesses de Sylviane, les globes de chair rosissent un peu, et d'une seule poussée une bonne partie du thermomètre disparaît dans son fondement ! "C'est bon", dit-elle.

Après dix minutes de va-et-vient dans nos rectums, nous glissons un index coquin contre le clitoris de l'autre et nous nous faisons jouir comme deux folles. Quelques minutes plus tard, ma grosse seringue munie d'un tuyau et d'une canule, dont le renflement au milieu ressemble à un oignon, est prête pour l'intromission. Je l'ai entièrement remplie d'eau tiède. Je me dispose à quatre pattes, exhibant ma lune à Sylviane.

Après avoir humecté ma rondelle à petits coups de langue, elle enfonce la canule progressivement. Cela me procure un grand plaisir, surtout lorsque le renflement en forme d'oignon m'écarte la rondelle et me pénètre dans l'intestin. J'aime cette canule, qui a la particularité de ne pas s'échapper une fois logée dans le rectum. Sylviane me pratique alors trois injections très agréables.

Ma copine préfère une plus longue canule, fine, percée de trous sur la longueur. A chaque intromission, elle en prend environ un litre dans le ventre.

J'aime aussi sentir un doigt qui me chatouille le clitoris, pendant qu'un autre me rentre profondément dans la rondelle, accompagnant l'introduction d'un gros suppositoire.

Peu après, je lubrifie l'anus de Sylviane. Un suppositoire entre dans son cul, bousculant le thermomètre qui s'y trouve déjà. Cela m'excite à un tel point que je récla-me le même traitement.

Une fois satisfaites toutes les deux, nous nous rappelons notre voyeur. Pas une seule fois, nous n'avons fait attention à lui. "Ça vous a plu ?" demande Sylviane. "Oui, je me suis branlé plusieurs fois." Il s'en va après nous avoir serré la main, comme un patient chez le docteur!

J'aime bien avoir des spectateurs, mais j'aimerais encore plus connaître un homme du milieu médical. Je suis sûre, comme ma copine Sylviane, qu'après un bon examen rectal au spéculum, un gros organe viril ne devrait avoir aucun mal à nous perforer la rondelle!

Sylviane a trouvé l'adresse d'un gynécologue beau garçon, qui paraît-il ne répugne pas à tripoter les femmes qui viennent à son cabinet en porte-jarretelles, signe qu'elles cherchent une relation sexuelle.

J'en brûle d'impatience, espérant trouver un prétexte pour me faire rapidement pénétrer l'un des deux trous, d'abord avec des instruments, puis avec une belle bite épaisse. Thermomètre, spéculum, lavement puis grosse bite, mes trous en frémissent d'impatience!

J'ai trouvé ce texte dans une revue de confessions intimes en 1996. J'ai la faiblesse de croire qu'il s'agit d'un histoire authentique. En tous cas c'est surement un des témoignages les plus excitants que j'ai pu lire.Si Violaine, qui doit aujourd'hui avoir 28 ans, lit ceci, je serai très intéressé de connaître la suite…

aranam@hotmail.com

Comments

Charly75 Il ya 4 mois