Vues: 11699 Created: 2007.09.18 Mis à jour: 2007.09.18

Jouer Au Docteur

Jouer Au Docteur

Author: procyonlotor

J'ai grandi vers la fin des années cinquante. Les choses étaient bien différentes de que ce qu'elles sont maintenant. Ce qui amusaient les jeunes filles de cette époque était tout différent de ce qui peu les distraire aujourd'hui. Nous formions un groupe d'approximativement six filles plutôt bien unies. Nous avions une cabane cachée dans les bois, construite de branches et de fougères, un refuge que nos parents ne connaissaient pas.

L'histoire que je vais vous recompter maintenant se déroule par un chaud jour d'été. Il y avait quatre filles de notre groupe. Judith était la meneuse, un vrai Garçon manqué. Elle pouvait obtenir que la plupart de nous fasse n'importe quoi si elle le commandait. Et ce jour là, Judith avait invité Robert, son plus jeune frère.

Quand tout le monde fut arrivé à la cabane, Judith a annoncé:

« Aujourd'hui, nous allons jouer au docteur... »

J'avais déjà été un peu surprise, les fois précédentes où nous avions déjà joué ‘'Au Docteur'' de voir comment les filles se dénudaient facilement. Mais cette fois il y avait un garçon de 14 ans présent. Judith a annoncé qu'elle aurait besoin d'un garçon et d'une fille pour jouer les patients lors de ses examens. Elle a donc choisi Robert et Catherine. Elle leurs a demandé de se déshabiller jusqu'à leurs sous-vêtements ; ce qu'ils ont fait plutôt rapidement et sans protester. Ces deux là semblaient plutôt vulnérable.

La maman de Judith était infirmière et sa fille rassemblait systématiquement tout le vieux matériel médical qu'elle pouvait se procurer et l'avait apporté dans un sac noir.

Judith a examiné Robert à l'aide d'un vrai stéthoscope en écoutant son cœur, puis ses poumons. Elle le fit respirer profondément puis lui demanda de tousser deux fois. Judith demanda à Robert de se lever, et elle annonça :

« Maintenant, voyons vos parties génitales ! »

Et elle a baissé son slip sur ses cuisses. J'ai bien aimé la vue de ses fesses nues. Judith a empoigné la verge de son frère d'une main pour la relever, et de l'autre à manipuler ses bourses. On aurait dit qu'elle voulait en vérifier le contenu. Robert a dû apprécier la manipulation parce que son pénis est resté droit lorsqu'elle l'a lâché. Et ça toutes les filles l'ont remarqué, Judith également puisqu'elle l'a aidé à relever son slip pour cacher cette érection.

C'était maintenant le tour de l'examen de Catherine.

Judith demanda que Robert reste pour l'aider, alors qu'il n'était encore qu'en slip. Catherine était très attirante pour une fille de 16 ans et était bien développée. Elle a laissé Judith ausculter ses poumons, puis son abdomen. J'étais secrètement très émoustillé de voir cette belle fille se faire détailler de la sorte et je pense que les autres gosses l'étaient aussi.

Judith a exercé quelques palpations énergiques sur le ventre de sa patiente. Celle-ci a tressailli, et poussée une petite plainte. A la demande :

« A quand remonte votre dernière selle ? »

Catherine a répondu :

« Il y a environ deux jours.

- J'ai justement ce qu'il faut pour vous soigner ! »

S'est exclamé Judith

Elle est allé à son sac noir et en a sorti une seringue à lavement. Elle a dit à Catherine que sa mère devrait lui en donner un par semaine, et qu'elle se sentirait beaucoup mieux.

J'étais fasciné de voir Catherine s'installer docilement en position prosternée pendant que Judith baissait sa culotte sur ses cuisses laissant ses fesses complètement nues. Je ne suis pas lesbienne mais j'ai quand même été allumé. Je n'avais jamais reçu de lavement et j'avais donc tout à apprendre.

Me prenant brusquement au jeu, j'ai demandé à Judith :

« Est-ce que tu ne pense pas qu'elle devrait être entièrement nue pour prendre son lavement ? »

J'avais vraiment une très forte envie de voir Catherine dans sa plus complète nudité. Judith a approuvé et avant que Catherine ne se soit rendu compte, elle perdait son soutien-gorge qui tombait par terre et sa culotte avait glissé au-delà de ses pieds.

J'ai été étonné de ce que Judith avait le contrôle complet de la situation. Robert avait maintenant une vraie érection. C'était très net et facile à voir puis qu'il ne portait toujours rien d'autre que son slip. Judith remplissait maintenant la seringue à lavement avec de l'eau qu'elle avait apportée dans un bidon de fer blanc. Avec le recule, je pense aujourd'hui que son instrument devait plutôt être d'usage vétérinaire. Elle a enduit d'un peu de vaseline la canule pendant que Catherine regardait, ne sachant plus où le jeu allait s'arrêter.

Elle a écarté les fesses charnues de la fille, ce qui exposa son anus, alors de son autre main elle a posé de la vaseline sur le petit trou, puis délicatement elle a enfoncé la canule aussi loin qu'elle le put, et elle a pressé le piston, doucement mais à fond. Puis Judith a demandé à chacun de nous de vider à notre tours une seringue dans le derrière de Catherine pour compléter son lavement.

J'ai été la dernière à lui injecter ce complément. J'ai remarqué que lorsque j'ai inséré la canule, Catherine n'a pas eu de mouvement de recul, je lui ai vidé doucement la seringue dans le derrière et elle a poussé un long soupire qui ressemblait à une plainte. J'imagine que son intestin devait commencer à être sérieusement plein. Aussi dès que j'ai retiré l'instrument, elle s'est relevée et s'est sauvée sans se soucier de ne pas être habillé. Elle a couru jusque derrière un buisson où nous avions creusé un trou en guise de latrines et ses seins bondissaient de droite et de gauche à chacun de ses pas. Elle s'est accroupi et a tout laissé partir. Je lui ai apporté un rouleau de papier hygiénique pour qu'elle puisse s'essuyer.

Après ceci elle est revenue encore toute nue, elle a attrapé Robert qui était toujours dans un état d'érection monstrueux, a baissé son slip et lui a fait une superbe branlette jusqu'à ce qu'il ait craché son venin loin devant lui.

Quelques jours plus tard, Judith est encore venue à la cabane avec son mystérieux sac noir. Une nouvelle fois elle nous convia à jouer au docteur, et c'est moi qui ais été désigné comme volontaire pour être la patiente.

Entre temps, j'avais pris le temps de demander à Catherine de me raconter comment elle avait vécu son lavement surprise. Elle m'avait expliqué qu'en dépit du coté un peu bourru des circonstances où elle l'avait reçu, cela lui avait fait beaucoup de bien. Le fait qu'il ait été fait à l'eau froide, n'avait bien sûr rien d'agréable.

« L'eau qui te gonfle le ventre et te donne la colique, n'a rien de sécurisant, mais quand tu va te vider, tu te retrouve en pleine forme, avec une grande sensation de légèreté. »

D'ailleurs, elle se demandait comment elle allait pouvoir persuader sa mère de lui donner des lavements à la place de cette immonde tisane laxative qu'elle lui imposait régulièrement.

Donc, c'était mon tour de montrer que j'étais une fille déterminée à qui rien ne fait peur. Je me suis déshabillée sans montrer d'hésitations : Ce jour là nous n'étions que des filles.

Judith sortie son stéthoscope et commença de m'ausculter. Elle écouta mon cœur, ma respiration, puis passa à la palpation de mon abdomen. Lorsqu'elle m'appuya ses deux pouces justes au-dessus des aines, je poussais un petit cri. Elle venait de me faire mal, et je savais que c'est la que l'on diagnostique la constipation.

« Mademoiselle, depuis combien de temps n'avez-vous pas été aux toilettes pour la grosse commission ?

Quatre ou cinq jours... »

Je venais d'en rajouter au moins deux pour être sûr d'avoir un lavement. Je voulais absolument expérimenter ce traitement qui m'avait tellement impressionné en tant que spectatrice.

« Mais, mademoiselle, c'est très grave, vous risqué une occlusion intestinale, je vais devoir vous purger immédiatement ! »

Et voilà que Judith sort de son sac un drôle de tuyau de caoutchouc, avec une hernie au milieu.

« C'est le dernier cri en matière de matériel à lavement, je vais pouvoir pomper dans votre ventre autant d'eau que votre état le nécessite sans retirer la canule. Je viens de le recevoir. Mademoiselle, finissez de vous déshabiller, et mettez-vous en position. »

Je me suis débarrassée de mon soutien-gorge et de ma culotte, et je me suis placé à genoux, assise sur mes talons, jambes légèrement écartées et buste penché en avant, comme je l'avais vue faire à Catherine. Pendant ce temps, Judith est allée chercher sa réserve d'eau. Elle a placé une extrémité du tube dans le bidon, a pompé sur le renflement et bientôt l'eau a giclé par l'autre bout. Son doigt enduit de vaseline est venu pénétrer mon anus pour le lubrifier, rapidement remplacé par la canule.

Là, ho ! Surprise, le jet que j'ai reçu dans le rectum était chaud ! Je ne sais si elle l'avait fait exprès, mais Judith avait laissé séjourner son bidon en plein soleil où il avait eu le temps de monter en température. Doucement, elle m'a envoyé des giclées d'eau chaude qui se répandirent dans mon bas-ventre. Comme pour Catherine, elle a invité les autres filles à venir m'en pomper, elles aussi chacune leur tour. Toute cette chaleur si près de ma foufoune, plus mon excitation, plus mon ventre qui gargouillait... Entre mes jambes j'apercevais mon ventre dilaté et ma chatte qui gouttait... J'en étais à me poser la question de savoir s'il n'y a pas une fuite entre mes deux orifices quand j'ai perdu la notion des bruits ambiants, je ne voyais plus rien, je n'étais plus que cette merveilleuse sensation tiède, je ne touchais plus terre... j'étais seulement merveilleusement bien !

Ce sont les coliques qui m'ont ramené sur terre... J'ais crié :

« Arrêtez ! »

Et quelqu'un m'a retiré la canule des fesses. Doucement, je me suis relevée, précautionneusement, et calmement je suis allé vers les toilettes. Je faisais très attention que mes seins ne tressautent pas !

Lorsque je suis revenu me rhabiller, les deux seins blottis dans la paume de mes mains, Judith était en train d'ausculter une autre fille, mais elle ne devait pas être constipée puisqu'elle n'a pas eu de lavement.

Ce ne sera que beaucoup plus tard que je comprendrais que ce jour là, j'avais connu mon premier orgasme...

Chose surprenante, nous sommes toutes arrivées vierges au mariage, mais vierge ne veux pas dire nigaude. Le sexe n'a jamais effarouché l'une d'entre nous. Je suis encore toute mouillée rien que de penser à cette période.