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Vues: 9172 Created: 2007.11.15 Mis à jour: 2007.11.15

La Boulangère Boulotte

La Boulangère Boulotte

Il y a quelques années je tenais mon cabinet médical dans le village voisin; le midi je rentrais déjeuner chez moi, et m'arrêtais acheter mon pain à la boulangerie de ma commune, distante de quelques kilomètres. A cette époque, la boulangerie était tenue par une employée, une petite femme d'une quarantaine d'années, petite et boulotte. Je devinais qu'elle devait avoir un joufflu bien rond et bien plein, comme le laissait devenir la largeur agréable de ses hanches et de ses mollets rebondis. Elle était très sympa, et nous parlions souvent longtemps, car d'un naturel bavard, elle prolongeait ces moments habituellement brefs.

Je m'aperçus vraiment du faible qu'elle avait pour moi le jour où, la boulangerie ayant été vendue, elle allait se retrouver sans travail, et qu'elle ne put me cacher sa tristesse et les signes de son attachement à moi en me faisant remarquer qu'elle ne me verrait plus, puisqu'elle habitait à une vingtaine de kilomètres.

Son dernier jour à la boulangerie, la voyant si tristounette, la mine défaite à l'idée de ne plus me revoir, je lui dis :

" ¬ Mais ça n'est pas grave… Vous savez où est mon cabinet, alors si vous avez le temps passez-y… Comme ça… pour discuter ; car il n'est pas question que vous changiez de médecin pour moi, je ne voudrais surtout pas qu'on puisse m'accuser de détourner la clientèle de mon confrère…"

Son médecin exerçait en effet dans la même commune que moi, et elle avait donc l'occasion de venir…

- "Oui, mais je n'oserai pas venir vous déranger…

- Ne vous en faites pas, il n'y a pas de problème… je suis rarement débordé…"

J'avais lancé ça ; maintenant la balle était dans son camp ; si elle passait c'est donc que l'envie la titillerait… Plusieurs semaines s'écoulèrent pendant lesquelles j'espérai un peu, au début, sans y croire…

Puis un après-midi, à l'heure de la consultation, je la trouvai là, dans la salle d'attente, toute seule… et elle avait apporté des gâteaux.

Je la fis entrer, m'assis à côté d'elle, fis bouillir de l'eau pour du café instantané, et nous parlâmes chaleureusement de choses et d'autres ; sa vie n'était pas très drôle, elle était désormais au chômage, s'ennuyait, elle qui aimait tellement voir du monde…

Elle fit allusion aussi à ses petits soucis de santé (étant donné que je suis médecin, la conversation avec des gens, même en dehors du contexte de mon travail, s'oriente souvent sur ce type de sujets, ce qui m'agace en général… mais là non ; car la tournure des évènements se mit à m'exciter…) :

- " …et puis en ce moment, je me sens gonflée…" sa main montrant son abdomen

- … Ah ? Vous êtes ballonnée sans doute… ?

- Oui… je ne sais pas…

- Faites voir", dis-je, me surprenant de ma propre audace ; et sans attendre, j'avais posé ma main sur son ventre rebondi… D'ailleurs, avant même que j'eus à insister, elle avait remonté son tricot, me montrant son abdomen replet, que je me mis à tâter avec délectation. Il était en fait plus tendu par l'embonpoint, que par les gaz en surplus…

- " Oui en effet, vous êtes ballonnée… " Ma main tâtait doucement son ventre, et elle semblait troublée par la situation… Je jouais sur l'ambiguïté de la situation et de mon rôle, bien que c'était pour moi très clair : elle était venue me voir pour une visite amicale, et non pas en patiente (et d'ailleurs, elle ne m'avait jamais consulté…). Je laissai s'installer un court silence mesuré, puis ajoutai, en prenant un air songeur :

- " Vous savez ce qu'il vous faudrait… ? Je sais, vous allez trouver que ça n'est pas tellement moderne, "dis-je en souriant"… c'est plutôt une recette de grand-mère, mais ça fait le plus grand bien…" Je ne la laissai pas répondre. " Un bon lavement ! " Et j'ajoutai aussitôt, sans temps mort, pour enfoncer le clou, d'un ton sérieux : " Oui un copieux lavement, évacuateur… abondant, ça vous nettoierait bien et vous soulagerait.

Son visage s'empourpra aussitôt ; elle savait la situation plus qu'ambiguë… Elle pouvait y mettre fin immédiatement… s'indigner, protester ou passer de sujet ; mais je connaissais ses sentiments à mon égard, et peut être de peur de perdre toute chance de continuer à voir innocemment son petit béguin, elle s'enquit, en balbutiant, et sans même un sourire d'ironie (ce qui aurait pu me faire mettre un terme au jeu) :

- " Vous croyez… ?

- Mais bien sûr. Rien ne vaut parfois les vieilles méthodes naturelles …

- Mais ça se fait encore, ça… ? Enfin, je veux dire, le matériel…Ca existe ?

- Mais bien sûr, vous l'achetez à n'importe quelle pharmacie ; il vous vendent tout ce qui faut : le pichet, la tubulure… la canule."

A cette évocation (sur laquelle j'insistai lourdement, l'air de rien) elle rougit encore…

- " Mais… comment on fait ça… on le fait avec quoi ?" dit-elle très troublée, presque balbutiante…

- " Eh bien de l'eau bouillie, pas trop chaude, un tout petit peu de Mercryl, un peu d'huile d'amande douce, quoi…" - Oh, mais c'est trop compliqué pour moi… jamais je n'arriverai à faire ça, moi…"

Je sentis que son trouble n'empêchait pas une certaine malice de s'exprimer… Sa candeur devait être feinte, pour une bonne partie… Je saisis la nouvelle perche qui m'était tendue… Le Belle avait envie que je m'occupe de sa petite personne, de façon un peu plus intime, et comme il ne pouvait être question que je supplante son médecin - c'est moi qui avais fixé la règle…

Je pris mon air le plus détaché possible, jouant mon va-tout, risquant cette fois un refus ou un recul :

- " Si vous voulez, je veux bien vous aider… Vous achetez le matériel et vous m'appelez…

- …Oh, mais je ne voudrais pas vous déranger ; vous devez avoir du travail, et puis je n'habite pas à côté…

- Ne vous en faites pas… Vous m'appelez dès que vous avez acheté le matériel et moi, je viendrai quand j'aurai le temps… Je n'ai pas énormément de travail certains jours, vous voyez bien.

De toutes façons, vous n'êtes pas non plus à deux ou trois jours près ; ça fait déjà un moment que vous vous sentez gonflée ; ça traîne… dans deux ou trois jours ça ne sera pas parti… Et puis, si ça se passe tout seul, et bien tant mieux ; si vous n'en n'avez plus besoin, vous ne m'appelez pas, voilà tout."

Je ne voulais pas la brusquer, qu'elle prenne peur, se sentant obligée et qu'elle regrette déjà son invitation à m'occuper de ses intestins… Je lui laissai ainsi le temps de la réflexion ; ainsi, elle aurait le temps d'examiner ses désirs troubles, de se raisonner si elle devait le faire, et lui laissais encore l'initiative : si elle m'appelait, c'est qu'elle le désirerait vraiment ! Et puis si elle croyait aussi naïvement ce qu'elle faisait semblant de croire, c'est à dire que le lavement avait un intérêt indiscutable, elle n'était pas si bête pour ne pas savoir se l'administrer toute seule.

Et puis elle pouvait aussi demander à son mari de s'acquitter de cette tâche… Quel mari refuserait ?!

Si elle m'appelait, c'était donc qu'elle avait un désir trouble que je m'occupe de son fondement…

- " Eh puis ", ajoutai-je, mi-ironique, mi-tendre, posant ma main sur son épaule, "je ne refuserai rien à ma boulangère préférée…"

Je pariai plutôt sur ses craintes, ses remords, son manque de courage… ou bien le sang-froid qu'elle retrouverait une fois seule. En effet, j'avais cessé de me faire des illusions, quand, près de deux semaines plus tard, je fus surpris de son appel que je n'attendais plus :

- " Bonjour. Vous savez, c'est toujours pareil… Je me sens toujours ballonnée…"

Je m'interdis l'interrogatoire médical (bien montrer que je n'agissais pas en médecin, mais en presque ami soucieux de rendre service…) :

- " Bon… Vous voulez que je passe… ? Vous avez acheté le matériel…?

- Oui, je veux bien, ça serait gentil" (Je jubilais, secrètement surexcité…) " Oui, je l'ai acheté… et j'ai du Mercryl et de l'huile d'amande douce…"

Elle était à point la grosse poule ! Prête à m'offrir ses grosses fesses - plus haut signe d'abandon - en grand cérémonial…! J'allais prendre mon pied… !

- " Bon, je vais passer cet après-midi…

- Oh, mais je ne veux pas vous déranger… si vous ne pouvez pas aujourd'hui…

- Si, cet après-midi, ça va. Y a pas de problème…" Là, il fallait battre le fer quand il est chaud, ne pas laisser son désir retomber, ne pas lui laisser le temps cette fois d'éprouver un remord…

Quand je raccrochai j'avais un sexe dur comme du bois qui tendait mon pantalon… Elle m'avait donné son adresse sans omettre de me dire que son mari maintenant travaillait loin et ne rentrait que tard tous les soirs… Ca, c'était encore bon signe !

A 16 H, ma consultation juste terminée, je fonçai chez la belle, prenant bien soin de laisser ma mallette dans ma voiture : je ne venais pas en médecin (tant pis pour les voisins s'ils épiaient les visites de mon ex-boulangère, je n'avais pas d'alibi "médical" de la visite du docteur… il fallait savoir prendre un risque, quand une récompense aussi grande était au bout !)

Elle m'ouvrit, très rouge, mais avec un air grave… l'air affecté de la pauvre femme bien ennuyée avec son ventre, et moi je pris l'air de circonstance, l'air de l'opérateur très concentré sur ce qu'il va faire. Le jeu continuait !

Mon statut la rassurait, ainsi que la gentillesse qu'elle me prêtait : elle savait que même si le jeu dégénérait, elle ne risquait rien avec moi, n'étais-je pas médecin ? C'est pourquoi elle allait me prêter son corps, ou plutôt la partie la plus secrète et la plus intime de son corps, celle qu'on ne montre en général pas facilement, mis à part à son médecin… enfin, c'était "pour lui rendre service", la soulager… (oui mais de quoi exactement, hein… ? Vous avez une idée, coquins… ?) Elle me fit entrer, me demanda, gênée :

- " Où faut-il que je me mette…?

- Eh bien… Vous avez un pouf… ? Le plus confortable est la position à quatre pattes sur un pouf, le ventre appuyé…

- Non, je n'en ai pas…

- Eh bien, tant pis… Le mieux, à ce moment-là, ce sera à quatre pattes sur le lit ; ça sera plus pratique pour moi, même si c'est moins confortable pour vous.

- J'ai déjà fait bouillir l'eau ; elle est en train de refroidir…

- Eh bien, c'est parfait."

(Elle n'avait pas perdu de temps, la cochonne…!)

Je pris donc tout l'attirail et versai l'eau chaude dans le récipient. Elle me conduisit dans sa chambre.

- "Allez installez-vous." Très rouge mais sans hésiter elle fit tomber sa jupe et sa culotte tandis que j'affectai de ne pas regarder, tout à mon affaire d'agiter l'eau dans laquelle je venais de verser la cuillère de Mercryl et quelques gouttes d'huile d'amande douce.

Quand je me retournai, c'était un fabuleux spectacle qui s'offrait à moi : un large fessier offert en offrande, d'un blanc laiteux, les mappemondes bien déployées, ses cuisses grasses et ses jambes rondes nues ; le spectacle d'une telle soumission ne pouvait laisser personne indifférent… Je pris un malin plaisir à effectuer une critique du matériel, comme un professionnel de la chose, doté d'une grande expérience en la matière :

- "Hum… Cette canule est un peu petite… J'espère que ça va aller…

- Pourquoi, c'est embêtant… ?

- Disons que… j'espère qu'elle ne va pas glisser et s'enlever toute seule… Enfin, elle a quand- même des crans pour la retenir, mais ils sont un peu petits ; si j'avais su, j'aurais amené deux ou trois grosses canules d'une taille suffisante, et qui ont une forme plus adaptée, plus sure…"

Je distillai ces mots bien mesurés, la laissant imaginer, devinant le trouble que ça faisait naître dans sa tête. Comment on pouvait innocemment parler de la sodomie par des instruments dans un but curatif, à une femme que je connaissais si peu et qui m'offrait son postérieur et sa plus étroite intimité. Je me régalais…

" Mais bon, je vais rester là pendant toute l'opération, et surveiller que ça ne parte pas. Mais vous, veillez surtout à ne pas pousser, et à bien retenir le lavement ; surtout quand il y en aura beaucoup.

- "Oui, oui, d'accord…"

J'installai le récipient sur une commode, en le rehaussant en le plaçant sur une pile de livres, puis je m'assis sur le bord du lit, juste à côté de la Belle. Je la fis reculer un peu, par prétexte de commodité, les genoux tout près du bord.

- "Ecartez un peu les jambes" dis-je en lui tapotant du dos de la main le gras de chaque cuisse, excité comme un fou par ce contact charnel, "il faut que vous soyez bien stable, bien confortablement installée."

Là encore, elle ne protesta pas, obligatoirement consciente pourtant de la mauvaise foi de ma demande, et de la façon indécente dont elle allait s'exposer encore d'avantage à ma vue. Mollement, et lentement, elle écarta les cuisses l'une après l'autre, dévoilant son abricot bien fendu et allongé comme une amande, et son petit trou ; je m'emparai de la partie interne de ses fesses que j'écartai doucement, constatant que son œillet froncé avait fait l'objet d'une toilette impeccable.

- "Bon, je vais vous lubrifier l'anus, " dis-je tout en prenant quelques gouttes d'huile d'amande douce, et je commençai à lui masser la petite cupule que je sentis sous la pulpe de mes doigts ferme, nerveuse… elle frissonna.

Je pris mon temps, sans néanmoins y passer 10 min, mais je donnais quand même l'impression de préparer une jeune pucelle pour sa première sodomie. Je me saisis enfin de la canule, et d'une main, écartant doucement l'intérieur des fesses pour exposer la rosette maintenant toute luisante, j'introduisis de l'autre la canule dans le sanctuaire, regrettant à ce moment-là qu'elle ne soit pas d'une taille plus conséquente, auquel cas j'aurai pu savourer le plaisir de forcer une résistance plus sensible.

- "Voilà, c'est en place. Je vais ouvrir maintenant le petit robinet, d'abord tout grand, puis quand vous commencerez à ressentir des crampes dans le ventre, vous me direz et que je ralentirai le débit…

- Oh, vous êtes un expert…" Je ne m'attendais pas à celle qu'elle eut osé ce compliment.

Puis après un silence : - "Je me sens en confiance avec vous." …

L'eau devait commencer à la remplir.

- "Ca va ? C'est bon ?"

- Oui, oui…"

L'adverbe était volontairement ambigu, mais n'appela pas d'autre commentaire.

Son ventre se remplit rapidement, et elle commença à gémir.

- "Ca commence à se remplir ? Vous avez des coliques ?

- Oui, un peu…

- Alors on va ralentir le débit. Je vais vous masser un peu le ventre, ça va aller…"

Sur ce, je remontai son léger tricot au-dessus de son ventre qui commençait à s'arrondir. Je me mis à le masser doucement avec des mouvements circulaires de la main, d'une façon qui tenait plus d'une caresse que du massage. Mes mouvements se faisaient te plus en plus larges, et à chaque fois j'effleurais son mont de vénus renflé. Une fois de plus, elle ne protesta pas.

De temps en temps, sous prétexte de vérifier qu'elle n'était pas en train de se sauver, je titillai un peu la canule, la faisant appuyer sur les bords de n'anus.

Le récipient fut bientôt vide, mais je proclamai qu'elle devait en recevoir un deuxième immédiatement, car les récipients qu'on vendait de nos jours étaient tout petits, et comme j'avais décrété dès le début qu'il lui fallait un copieux lavement…

- "Oh mais jamais, je ne pourrai le retenir… !

- Mais si, je vais vous aider, s'il le faut. Je vais retirer la canule et vous allez serrer les fesses et les cuisses de toutes vos forces pendant que je vais aller chercher encore de l'eau." Heureusement il en restait encore dans la casserole ; elle avait vu grand, la grosse poule. Si elle avait préparé tout ça, il fallait qu'elle se le prenne ! Punie par là où elle avait péché… (Péché de gourmandise ?) Tant pis pour elle, si elle avait eu les yeux plus gros que le ventre : j'avais envie de la voir se gonfler, se dilater, son ventre s'arrondir comme si elle était enceinte de 8 mois !

Je revins bien vite. Elle gémissait, se lamentait. Il allait falloir que je l'aide, la soutienne. Je me dépêchai d'ajouter un peu d'huile d'amande douce seulement (surtout pour mon plaisir !), et cette fois-ci, je lui introduisis fermement la canule dans son oeillet qui palpitait nerveusement. J'ouvris le robinet lentement, et repris le massage de son ventre, qui, déjà replet du fait de l'embonpoint, se tendait et devenait énorme. Les bourrelets disparaissaient sous la tension intense.

Elle se plaignit de plus en plus. De l'autre main, je tenais fermement la canule en place, non sans appuyer du majeur resté libre sur les rebords de l'anus qui se bombait de façon inquiétante.

Elle supplia. Je la tançai cette fois, de façon un peu plus autoritaire. Elle devait tenir.

- "Et puis vous êtes une fille courageuse." J'utilisai volontairement ce mot, lui faisant sentir qu'elle n'était pas une grosse mémère, mais une bonne grosse fille désirable, digne d'être mon objet sexuel, soumise à mes caprices, à mes doux supplices.

- "Allez, pour vous soulager un peu, on va déjà dégrafer ce soutien-gorge qui vous oppresse ; vous respirerez mieux, et ce sera plus facile à supporter." Sans attendre un acquiescement ou une protestation, je joignis immédiatement le geste à la parole, décrochai les agrafes et libérai les grosses sphères blanches qui jaillirent et pendirent comme des obus. Je me retins pour ne pas m'en saisir et les malaxer.

Elle continuait à se remplir comme une outre.

- "Oh, je n'en peux plus… Jamais je ne vais pouvoir. Je ne peux plus en recevoir."

- Allez, allez, c'est presque fini…

- Pitié…"

Elle me suppliait, demandait grâce, suppliait son maître. Tout en maintenant la canule je posai le reste de la main sur sa vulve, sous prétexte de prendre appui. C'était doux et chaud.

Le récipient était vide.

- " Tout est passé. Mais maintenant il va falloir être encore courageuse. Je vais retirer la canule et vous allez devoir vous retenir : il va falloir garder le lavement quelques minutes et faire circuler l'eau bien partout.

- Ooooh… Jamais je ne pourrai. J'en peux plus…! Jamais je ne pourrai le retenir encore. S'il vous plaît…

- Je vais vous aider. Je vais faire bouchon."

Et sur ce, je retirai doucement la canule de la main gauche, puis je lui enfilai mon index droit jusqu'à la garde, qui glissa sans difficulté dans le canal serré bien huilé.

- "Allez, vous allez vous mettre sur le côté, lentement… puis vous tourner sur le dos. Après vous mettrez les jambes bien en l'air."

Elle s'exécuta lentement et lourdement, bien soumise, m'obéissant au doigt et à l'œil …surtout au doigt : mon index planté jusqu'au fond de son cul !

Elle était très rouge, le visage en sueurs, mais désormais ça n'était plus dû au trouble mais à la chaleur de l'eau qui la remplissait, et aux difficultés qu'elle avait pour contenir les contractions de son ventre.

Quand elle fut sur le dos, on eut dit une femme sur le point d'accoucher, et je caressai de la main gauche son ventre tendu à craquer, par des caresses larges, mon index droit profondément maintenu en elle. Ses gros seins blancs s'étalaient sur sa poitrine, mais elle ne se préoccupait plus du spectacle indécent qu'elle me livrait… il est vrai que je la tenais d'un doigt dans son cul et que c'était bien plus humiliant !

Elle était offerte, quasiment nue…

Finalement, je décidai de mettre fin au supplice et je la suivis jusqu'aux toilettes, mon doigt toujours planté entre ses fesses, puis je le retirai et la laissai se libérer sur la cuvette, ce qu'elle fit avec un air de soulagement, presque de plaisir. Je restai debout devant elle, pendant toute cette opération, histoire de lui montrer, que désormais, symboliquement, elle m'appartenait.

- "Normalement, il vous faudrait en prendre un deuxième, juste dans la foulée…

- Oh non… !!!

- Bon, d'accord… mais quand même, il va falloir vérifier que vous êtes bien "lavée"…

Une fois qu'elle se fut bien vidée, je la fis revenir et s'installer à quatre pattes dans la même posture. Elle s'exécuta docilement. Sa croupe majestueuse était offerte, les fesses larges et étalées, d'un blanc de nacre, luisantes, les cuisses grasses, tout cela était bien tentant, et je me retenais pour ne pas me mettre à pétrir ces belles chairs.

Je pris entre les doigts délicatement l'intérieur de ses fesses, les écartant doucement, ce qui exposa son anus rose à ma vue, prenant le temps de l'inspection ; elle se laissait faire sans broncher, comme une poupée pantelante. Je pris de l'huile et lentement j'enduisis la rosette en effectuant des petits cercles concentriques, en appuyant légèrement, lui massant son œillet tendre, faisant durer l'opération, bien sûr bien plus qu'il n'était nécessaire. Puis mon index autoritaire s'arrêta sur le centre du petit cratère et je l'enfonçai avec délectation, le plus lentement possible, savourant les palpitations que je sentais sur mon doigt. Une fois de plus elle était conquise, la place forte était prise, toute résistance abandonnée.

Je fis tourner mon doigt dans toutes les directions, comme pour un toucher rectal consciencieux, appuyant sur toutes parois avec insistance. Tout ceci n'était bien entendu pas nécessaire pour vérifier que le rectum était nickel, surtout qu'avec le nombre de litres qu'elle s'était prise, il ne pouvait rester la moindre parcelle sale.

Elle ne protesta néanmoins pas, et me laissa faire, se prêtant en connaissance de cause à ce jeu qui devait la troubler elle aussi, par conséquence.

Cependant, malgré mes envies, et en l'absence d'invitation de sa part à pousser plus loin le jeu, je préférai en finir là ¬ la mort dans l'âme (et un bâton raide dans le pantalon) ¬ en espérant vivement qu'elle me laisserait une deuxième fois jouer avec son ventre et son anus, à des petits jeux d'eau.

Je retirai mon doigt, que j'inspectai… "Là, parfait. Vous êtes propre comme un sou neuf."

Je me levai pour partir. " Bon, eh bien je vais vous laisser… "

J'avais néanmoins la ferme intention de lui laisser une porte grande ouverte pour qu'elle m'invite à recommencer à m'occuper de son corps :

- " …mais vos petits problèmes peuvent recommencer. Quand on a tendance à être gonflée…

Alors dès que ça recommence, vous m'appelez et je me ferai un plaisir de venir m'occuper de vos intestins ! "

Je lui serrai la main ; elle était très rouge, confuse, les yeux troubles, osant à peine me regarder. Je partais en la laissant sur sa faim. Qu'allait faire ? Me sauter dessus ou me laisser partir et jouer le jeu quelques jours plus tard en me rappelant à l'aide ?

Et si ça n'est pas ça qu'elle avait espéré ?

Et si elle était déçue que nous ayons fait ces jeux d'eau au lieu d'une relation sexuelle plus habituelle ?

Elle pouvait alors me le faire comprendre dans l'instant, ou bien, en proie à la déception, à la frustration, me laisser partir et ne jamais plus me rappeler.

Tant pis, je prenais le risque. J'avais envie de continuer lors d'une prochaine fois de cette façon, en poussant le jeu plus loin cette fois, mais je n'avais pas envie d'une relation sexuelle banale, d'un morne adultère. Je préférais encore tout perdre.

J'en remis une couche en partant, déjà dehors, alors qu'elle m'avait accompagné sur le pas de la porte : " Et surtout n'hésitez pas ! "

La suite montra qu'elle n'était pas dénuée de curiosité, qui, comme chacun le sait, est un vilain défaut

La Boulangère Boulotte 2

15 jours plus tard, je reçus un coup de fil, et cette fois il me sembla que le ton était quelque peu malicieux, presque entendu :

- Oh vous savez, ça recommence, je me sens gonflé, j'ai le ventre chargé. J'ai peur qu'on soit obligée de recommencer.

- Oh mais s'il le faut, il le faut. Je peux venir m'occuper de votre cas, si vous le désirez.

- Aujourd'hui ? .ou même demain si vous ne pouvez pas facilement aujourd’hui.

- Cet après-midi, il n'y a pas de problème. Demain ça sera plus difficile.

Dès 16 H 15 je sonnai ¨à sa porte. Elle m'ouvrit. En se déshabillant! Elle vit mon coup d'oeil surpris, malgré moi.

- Je me suis mis à l'aise, maintenant que je sais comment ça se passe.

Elle faisait allusion au dégrafage du soutien-gorge. Dommage, ça allait me priver de ce plaisir. Mais bon, je savais m'adapter.

Tout était prêt : l'eau chaude et le reste. Elle me regarda effectuer le mélange.

Vous voulez apprendre ¨à faire la préparation ? Serait-ce que vous auriez l'intention de vous passer de mes services ensuite ? Madame ne serait-elle pas satisfaite de moi ? Comme aurait dit un valet de chambre.

- Oh SI ! Ne put-elle s'empêcher de s'exclamer, le regrettant aussitôt. Elle rougit très fort. Je souris immédiatement, accentuant son trouble.

J'en profitai pour sortir de ma poche la canule que j'avais apporté. Spécialement pour vous ! Je lui exhibai sous les yeux un engin plus large que mon pouce, avec plusieurs anneaux empêchant l'expulsion. Cela avait plus d'un mini gode que d'une canule.

Ses yeux exorbités regardaient la canule, comme hypnotisés, avec un trouble non dissimulé. Ses joues devinrent écarlates.

- Allez, en place ! Dis-je un peu grivoisement, sur un ton ironique, et ponctuant mon propos d'une claque retentissante sur une de ses larges fesses.

Langoureusement, mais en un clin d'oeil, elle s'était installée à quatre pattes sur le bord du lit, cuisses largement ouvertes, d'une façon on ne peut plus lascive.

Je m'agenouillai derrière elle.

- Voyons tout d'abord si vous êtes bien propre. Il ne faudrait pas favoriser les infections.

Et posant mes deux mains possessives, largement ouvertes sur les fesses écartées par la posture, j'examinai l'anus rond, bien creusé la vulve renflée et offerte de façon obscène. Cette prise en main devait être aussi humiliante que ma remarque.

Je caressai du plat des deux mains le pourtour du sanctuaire, la région fessière alentour, frôlant les rebords de la vulve.

Puis, en toute impudeur, je relevai le déshabillé jusqu'au dessus de sa poitrine, exposant les seins globuleux.

- Un lavement se donne toujours seins nus.

Elle ne dit rien, son silence valant accord et signifiant l'acceptation de sa soumission.

- On va lubrifier tout d'abord consciencieusement la cible, dis-je en enduisant la petite rosette d'un gel à l'eau, et en effectuant avec le doigt des petits mouvements concentriques de plus en plus appuyés. Jusqu’à ce que d'une pression plus importante la petite porte étroite cède sous mon doigt.

- oMmmmm ! (surprise.)

- Je vais vérifier l'état du rectum, et si vous n'ètes pas bouchée.

Le toucher rectal d'abord lentement rotatif, devint de plus en plus appuyé sur toutes les parois, avec des mouvements de va et vient. Il n'y avait plus d'ambiguïté sur le fait que j'étais en train de la doigter avec application, la grosse poule ! On aurait pu dire que j'étais en train d'essayer de l'élargir, de la préparer à autre chose qu'un lavement. Et j'y comptais bien ! Il n'y avait aucun doute qu'elle allait finir enculée cet après-midi même, empalée, embrochée, enfilée, emmanchée. bref, enculée par mes soins !

Finalement, les bonnes choses ayant une fin et avant d'enchaîner, je lui introduisis lentement la canule. Son anus s'ouvrit délicieusement, laissant passer le tube, se dilatant avec volupté. J'ouvris le petit robinet … la base du tuyau et l'eau jaillit en elle immédiatement.

Elle recevait docilement son lavement, … quatre pattes comme une chienne ! Ses gros seins globuleux pendaient comme des obus.

M'enhardissant, et n'y tenant plus, je m'assis sur le lit juste à coté d'elle et commençai à palper ses gros seins l'un après l'autre de ma paume gauche, tandis que de la main droite je flattai la croupe épanouie et les cuisses franches et généreuses.

Elle ne dit rien mais se mit à haleter légèrement. Mes doigts s'activèrent autour de la canule plantée en elle, et descendirent sur la vulve que j'ouvris avec impudeur, trouvant avec plaisir une humidité qui ne laissait plus de doute sur son état à ce moment.

Ma main gauche commença à s'activer dans une frénésie d'excitation, passant d'un sein à l'autre. Ma main droite caressait le pourtour de sa vulve, pelotait la chair grasse de ses cuisses. Je pris la canule entre deux doigts et commençai à lui imprimer des mouvements oscillatoires. Elle se mit à gémir.

Emporté par l'excitation, j'y allai de mes commentaires salaces :

- Mmmmh. Voilà une bonne grosse fille qui va être bientôt être parfaitement lavée ! Rose et propre, comme une grosse poupée !

J'abandonnai la position pour aller me poster à genoux, derrière elle, admirant le magnifique spectacle s'offrant à moi.

- Quel cul magnifique ! Plantureux, opulent, majestueux, lascif. J'avais saisi ses fesses à pleines mains et les malaxais lentement et voluptueusement.

J'avais deviné que vous aviez un beau cul, bien large, mais à ce point. Je n'aurais pas imaginé qu'il était aussi magnifique et aussi bandant !

Ah si on m'avait dit. Si j'avais osé espérer que j'aurais un jour votre bon gros cul entre mes mains.

Quelle blancheur ! Ah les belles chairs ! Je suis sur qu'il est aussi large à l'extérieur qu'étroit et douillet à l'intérieur.

A ces mots, je sentis qu'elle frémit, émettant une plainte à peine audible, son large postérieur eut comme un petit tressautement sous mes doigts.

J'ajoutai immédiatement, accentuant mon emprise :

- Eh bien oui, dis-je, mes mains se crispant sur ses fesses comme des serres cherchant à emprisonner le plus de chair possible : Un cul pareil est fait pour être baisé ! Les fessiers comme le votre sont faits pour être immolés. et sur l'autel de la sodomie, encore !

Et puis, J'ADORE ENCULER LES BONNES GROSSES MEMERES ! Ce disant ma main droite s'était abattue sur la fesse correspondante, claquant la chair d'un son retentissant.

- AIE !

- Les larges et somptueux fessiers comme le votre, il faut en jouir de toutes les façons. mais au plaisir de leurs propriétaires. A la manière douce comme à la manière forte. Ma main gauche ponctua mon propos en s'abattant sur sa large croupe, cette fois à gauche.

- AIE !

- Humm. Et, bon Dieu que j'aimerais en devenir le propriétaire légataire.

- Doucement s'il vous plait, gémit-elle d'une petite voix plaintive.

Devant son consentement tacite, et respectant ses désirs, mes mains s'abattirent alternativement coté droit, coté gauche en cadence, en une danse lente et rythmique, enchaînant une série de claques plus sonores que cuisantes, lui enlevant à chaque impact des cris saccadés. Ses fesses laiteuses rosissaient, et son gros cul était secoué en rythme, de même que la canule toujours plantée en elle ; son ventre arrondi comme celui d'une femme enceinte de 7 mois faisait des glouglous comiques, ce qui devait accélérer le débit de l'eau qui s'écoulait en elle.

Je branchai un deuxième broc puis je lui claquai de la même façon ses cuisses grasses, mais tout en ménageant la peau plus sensible.

Au bout du troisième broc, elle était à point : le ventre plein et rond comme une outre distendue et la peau du postérieur et des cuisses bien rose ! Elle gémissait, se lamentait, le visage crispé par l'effort de retenue. Elle me supplia qu'elle ne pourrait plus tenir d'avantage, de la laisser libérer ses entrailles.

Je retirai la canule que je remplaçai immédiatement par mon pouce droit. Ma paume empoigna son sexe humide, mes doigts s'égarant dans l'entrée joliment rose. Ma main gauche caressa son ventre distendu et globuleux, pelota de façon obscène ses seins bien pleins. Je caressai aussi son visage lunaire et mon index s'introduisit dans sa bouche, surprise tout d'abord, qu'elle accepta, refermant ses lèvres charnues dessus.

- Je vais vous guider vers les toilettes. Elle suivit docilement, et l'asseyant sur la cuvette, je retirai mon pouce, avec un bruit de bouchon. Le flot aussitôt s'entendit, tandis que les traits de son visage se détendirent emprunts d'une sincère satisfaction.

M'étant déboutonnée, c'est un sexe dur, dressé par une formidable érection que je lui exhibai sous les yeux ; ceux-ci, se levèrent vers moi, doux et interrogateurs, et mon regard calme mais ferme lui envoya la réponse, tandis que ma main gauche sur sa nuque attira doucement mais fermement son visage vers le membre. Je m'amusai à caresser son visage partout avec mon vit raide dans un premier temps, puis je posai la tête de la verge sur ses lèvres qui s'ouvrirent et l'engloutirent sans hésitation.

Tandis qu'elle l'avait bien en bouche je pris ses seins à pleines mains que je me mis à pétrir avec satisfaction.

Quand enfin, le flot de son ventre se tarit, je la fis se lever, et penchée en avant de façon humiliante, je lui passai sur l'arrière train un gant de toilette pour qu'elle soit bien nette. Puis :

- Venez, nous allons vérifier tout ça, dis-je doucement, lui pressant sa large taille.

Elle se réinstalla docilement, habituée maintenant au rituel, et écartant ses fesses sans ménagement je commençai une inspection en règle, passant la pulpe de mon index dans tout le sillon fessier, m'arrêtant avec intérêt sur l'anus rose, aussi propre et doux qu'au premier jour. Enfin, je maintins toutes ces chairs dans le plus bel écartement, offrant à ma vue de la façon la plus impudique toute son intimité, et ma langue commença un ballet endiablé sur ses parties les plus secrètes, lui arrachant un soupir. Puis des gémissements d'extase de plus en plus forts. Je nettoyai de cette façon toute cette zone (ce qui n'en avait plus besoin) montant et descendant de la vulve à la rosette, qui se mettait à palpiter, de plus en plus affolée.

Elle poussait maintenant des râles de contentement, et je décidai de passer aux choses sérieuses, lui déclarant que j'allai sérieusement m'occuper de son cul. Je pris mon tube de gel et lui en étalai une bonne quantité dans toute l’entrefesse. Puis retrouvant le chemin que la canule avec fait, je la pénétrai de mon index sans difficulté et commençai à la doigter avec science.

- oHummm. Aujourd'hui, on explore la poule aux oeufs d'or. Mais sans surprise : la poule n'a pas d'oeufs ! Et pour cause : on l'a vidée ! .Mais la leçon de la fable c'est que C'EST CE CUL, LE TRESOR ! Et il faudrait être idiot pour ne pas en jouir dans l'instant !!!

Retirant mon index, je la fis se relever pour se tenir à genoux, et je lui ordonnai de se tenir elle- même les fesses écartées, bien ouvertes.

Je sortis un préservatif de ma poche que je déballai et le plaçai sur mon membre tendu comme un arc, et dur comme jamais.

Puis je lui pris les bras et l'attirai en arrière vers moi. Ce qui la fit se cambrer, ployée en arrière, son énorme cul tendu vers moi comme un volumineux ballon, tandis que je présentai mon vit à l'orifice étroit du sanctuaire.

- Je vais vous baiser comme le mérite ce volumineux joufflu : PAR LE CUL ! Ensuite, je vous enfilerai et vous tisonnerai la chatte. Je ne voudrais pas nous priver de ce plaisir.

Mais pour finir, C'EST DANS VOTRE CUL QUE JE REVIENDRAI AFIN DE ME REPANDRE !

Un cul aussi large et aussi magnifique, on lui doit cet hommage ! Sur ces mots, la tête de mon vit posé sur la cible de son oeillet poussa son avantage et força la corolle, et elle poussa un cri pénible. La grosse poule était sacrifiée ! Un bras enserra son gros ventre et l'autre sa poitrine, la main la tenant fermement par le sein gauche, et tandis qu'elle n'avait pas lâché ses fesses bien écartées, je la tirai sur moi, l'empalant sur ma queue raide qui l'ouvrit, forçant un canal brûlant et serré comme celui d'un jeune fille !

- o Aaaaaaah. ! mmmmmmhhh !

- On ne t'avait jamais prise par le cul, ma Belle, hein. ?!

- Aaah non.hooonnn

- Et alors. ? Tu trouves ça comment. ?

- Ahhhh. ça fait un peu mal. Mais c'est booon.

Je la laissai un peu s'habituer, son petit trou se dilater ; déjà, je le sentais moins crispé sur mon vit. Mais bien enserré quand même.

- o C'aurait été dommage de ne jamais t'enculer. Tu es bonne, tu sais. ?! TU ES BONNE PAR LE CUL !o

- Ohhhh..

- o

Et là dessus je commençai à la larder de coups de pine. Mes mains la saisissant par la taille, sa taille large et grasse, l'empalant rythmiquement sur moi. ; Ça commençait à chauffer agréablement.

- Je t'embroche, ma grosse poularde, je te farcis le cul à la manière du Chef ! La poule au pot, défoncée par le pot. AH QUEL DELICE !

Elle haletait, gémissait, commençait à crier. J'empoignais sa vulve grasse, renflée et dodue comme une caille, la malaxant avec frénésie. Je l'amenais au comble de l'hystérie : elle était trempée, elle gueulait, beuglait, poussait des râles d'une voix forte et saccadée, haletait, délirait des bribes de paroles à peine intelligibles, me brûlait de sa propre excitation.

Personne n'aurait reconnu la bonne petite boulangère de campagne, polie et sage, au cours de cette scène lubrique, mais plutot une grosse salope, rose et rouge, luisante de plaisir, suant sous les coups de boutoir qui lui perforaient les miches, sous la queue du male qui lui défonçait la rondelle.

Je jouis en poussant un rugissement obscène et elle trembla, secouée par un orgasme qui l'agita en saccades ; elle jouit de faire jouir un male en rut, jouit d'être possédée, offerte, prise par un homme entreprenant qui avait forcé ses résistances, s'était payé le culot de la traiter comme un objet sexuel, s'était approprié son gros cul à faire bander un mort, son gros corps, ses entrailles.

Elle fit appel plusieurs fois par la suite à mes services, mais avec parcimonie. Un jour elle vint même au cabinet je l'enculai copieusement sur le bord de la table, à la va-vite, et la peur d'être entendus malgré la bonne isolation phonique décupla notre excitation. Puis un jour elle acheta avec son mari une petite boulangerie dans le Centre de la France et quitta la région.

Elle eut néanmoins le temps de venir me faire ses adieux en cachette, qui furent mémorables : une véritable explosion de chair ; je me souviendrai longtemps de ses râles et de la vue de ses grosses fesses celluliteuses qui ondoyaient sous mes coups de reins de male en rut !

Comments

jean07 Il ya 12 ans  
kiala Il ya 13 ans  
n/a Il ya 14 ans