Anonymous


Vues: 4404 Created: 2007.09.12 Mis à jour: 2007.09.12

La canule de tante gilberte

La canule de tante gilberte

Je m'appelle Marie, j'ai presque vingt ans et je suis déjà une lesbienne accomplie. Je ne vous raconterai pas mes premières expériences, mais une histoire datant de l'été dernier.

Cet été, j'ai eu la possibilité de partir trois semaines en congés chez une soeur de ma mère, âgée de trente-cinq ans. A vrai dire, elle m'excitait énormément depuis toujours. Au bout d'une semaine, je n'arrivai pas à cerner son personnage,

Tantôt dur, tantôt câlin. Je n'osai rien tenter. A I'occasion de courses dans un supermarché éloigné, la tante me laissa seule à la maison. J'en profitai pour aller voir d'un peu plus près ce qu'elle cachait dans les armoires de sa chambre.

Ma découverte me troubla au plus haut point: Plusieurs gros thermomètres, un bock et plusieurs canules, mais surtout une bouillotte avec un long tuyau terminé par une énorme canule, d'un centimètre au départ, s'élargissant sur quatre centimètres au moins, puis se rétrécissant sur trois centimètres. Avec ça dans les fesses, il y a de quoi grimper aux rideaux! A partir de ce moment, je ne rêvai plus que des thermomètres et de recevoir un grand lavement bien chaud dans mon derrière. J'avais déjà eu étant enfant, en plus de prises de température, plusieurs de ces traitements par ma mère. Dommage que ça n'ait pas continué…

J'élaborai un plan pour qu'on me prennes la température et ensuite recevoir la canule dans le cul. Un matin je dis à ma tante que je me sentais mal, que sans doute j'étais constipée et que je souffrais beaucoup. En plein dans le mille !

- Reste au lit, je reviens pour prendre ta température,

Elle rentra avec un thermomètre qui, s'il n'était pas aussi gros que ceux de son armoire, était plus important que ceux que mon petit oeillet avait connus.

- Tends-moi ta grosse lune que j'y plante ce thermomètre,

je me tournais sur le coté, lui laissant le soin de relever ma nuisette ; sa main douce sépara mes deux collines, d'un doigt elle mouilla ma rosette et le thermomètre entra dans mon rectum plus profondément que jamais, m'arrachant un sursaut.

- je t'ai fait mal ma chérie,

- non, mais je n'ai jamais reçu quoi que ce soit aussi loin dans mon derrière,

- ne te tracasse pas, on s'y habitue bien et on ne peut plus s'en passer.

Au bout d'une éternité elle ôta le tube de verre,

- 37°6, c'est trop pour le matin et tu est bien constipée, c'est certain.

Je ne me souvenais pas avoir encore apprécié autant le thermomètre…

Elle me proposa un lavement. Quelle ne fut pas ma surprise quand elle arriva avec une poire ridicule. Je ne pense pas avoir été plus déçue qu'à ce moment-là! Je m'écriai:

- Non pas ça, la bouillotte!

Ma tante était presque interloquée, moi rouge de honte. Un ange passa. Tout d'un coup je vis dans ses yeux une drôle de lueur:

- rassure-toi, je suis sûre que tu es très atteinte par ta constipation. Je vais d'abord t'administrer une ou deux poires et nous passerons ensuite à un grand lavement.

Finalement, les introductions répétées de la petite canule de la poire, c'est pas mal après tout…Au dernier retrait, je sautais au cabinet pour me vider.

Je retournais dans mon lit, dix minutes plus tard, elle revenait avec l'attirail tant désiré.

Elle me fit allonger sur le ventre, une jambe surélevée par deux gros oreillers recouverts d'une grande serviette éponge:

- La canule est grosse, mais conçue pour les petits derrières récalcitrants ; l'eau est très chaude. Tu vas avoir un peu mal, mais je suis là pour te soulager.

L'introduction fut fantastique. J'en mouille encore. Puis un lent branlage débuta : tante Gilberte injecta l'eau chaude par longues rasades. Impossible de tenir ! Je jouis mais la suppliai d'arrêter. Elle me fit exploser plusieurs fois avec son double branlage canule-clitoris.

- Il ne reste plus qu'un demi-litre sur deux, tends-moi bien tes fesses, je vais tout t'injecter d'un seul coup !

J'ai cru m'évanouir ! Passé le traitement et le soulagement aux WC, Gilberte me consola dans ses bras. La nuit fut une suite de soixante-neuf, d'engodages, etc.

Le lendemain, c'est Gilberte qui reçut le même traitement de mes propres mains, d'abord la température avec un des gros thermomètre et deux litres et demi avec la bouillotte...

Pendant ces vacances, je ne reçus pas moins d'un lavement tous les trois jours à la grosse canule et, chaque jour, ma chère tante me prenait longuement la température avec l'un de ses gros thermomètres…

Ce ne furent pas mes dernières vacances…