Anonymous


Vues: 4387 Created: 2007.10.19 Mis à jour: 2007.10.19

La clysterophilie ? J'aime ca !...

La clysterophilie ? J'aime ca !...

Depuis de nombreuses années, rien ne m'attire plus que la clystérophilie.

Et un jour, je me suis décidée à passer à l'action. J'ai passé une annonce dans plusieurs magazines spécialisés et j'ai sélectionné parmi les réponses un couple de mon âge qui ne correspondait le mieux.

Je les ai rencontrés chez eux et tout de suite, la conversation s'orienta vers le lavement et ils me passèrent une vidéo qui acheva de me mettre en condition.

La jeune femme sortit un moment et revint poussant une petite table garnie de tous les instruments nécessaires, bock, tuyau, canules, lubrifiant et même un thermomètre… Il avait été convenu d'avance que je subirai en premier le lavement.

Milène, la jeune femme me déshabilla gentiment et me fit agenouiller sur un fauteuil ; je présentai mes fesses sans pudeur.

Régis sont mari écarta doucement mes deux hémisphères,

- Edwige, mon enfant, préalablement au lavement, il est nécessaire que nous prenions ta température.

Je n'avais jamais envisagé dans mes rêves de lavement de faire intervenir le thermomètre, mais très vite je me rendis compte que la pénétration du tube de verre dans mon petit trou m'était très agréable ; avec une grande douceur Mylène enfonçait le thermomètre de plus en plus profondément.

Cela me renvoyait à mon enfance quand maman prenait ma température ; je me rendis compte que dès cette époque, ce geste plutôt humiliant ne me déplaisait pas du tout, bien au contraire.

Une foule de souvenirs revint à ma mémoire : j'inventais des symptômes et des malaises pour que maman ou l'une de mes tantes me glissent le thermomètre entre les fesses.

La progression de l'instrument médical cessa,

- c'est bien ma petite fille, tu es bien sage, nous allons attendre 10 minutes ;

pendant tout ce temps, Milène tenait le thermomètre, le retirait un peu de temps en temps pour le consulter, puis le renfonçait aussi loin.

J'ai osé leur faire part de ces souvenirs jusqu'à ce que la jeune femme retire le thermomètre de mon fondement et annonce,

- 37°8, tu as un peu de fièvre, un bon lavement te fera le plus grand bien.

Régis n'avait toujours pas lâché mes fesses, Milène promena la longue canule quelques secondes sur mon œillet, encore frémissant de la visite du thermomètre, avant de la placer au centre des fronces et d'appuyer délicatement.

Je sentis le bout renflé de la tige en plastique transpercer mon anneau qui résista un instant avant de la laisser entrer ; avec une lenteur qui m'excita encore plus, elle glissa au fond de mon rectum, bien plus loin que le thermomètre.

Enfin la progression cessa,

- Edwige, ma chérie, la canule est entrée entièrement.

Soudain un flot tiède et violent jaillit dans mes entrailles, faisant vibrer la canule et provocant d'exquises sensations à mon derrière.

Ce premier lavement dura une éternité, car Milène expérimentée en la matière, ferma plusieurs fois le petit robinet à la base de la canule, pour le rouvrir brusquement, pour renouveler le jaillissement dans mes profondeurs.

Lorsque tout le liquide fut écoulé,

- pour bien savourer ce lavement, nous allons attendre que les premiers effets se fasse sentir, restes bien tranquille.

Mais rapidement, l'envie de me soulager me tarauda et doucement ma nouvelle amie me retira la canule, puis me présenta un gros pot de chambre sur lequel je rejetais mon lavement.

Après quelques instant de repos, Régis m'invita à déshabiller Milène qui s'installa de la même façon que je l'avait fait et je fus enchanté de la vision qu'elle m'offrait : plus menue que moi, ses petites fesses étaient rondes et sa peau très fine lui donnait un air de fillette qui rendait encore la pratique du lavement encore plus excitante.

Bien entendu, je n'ai pas hésité à lui prendre sa température préalablement au lavement ; je contemplais longuement ces jolies fesses et l'adorable rosette rose-violacé tapie entre elles. Je me résolu enfin à glisser le thermomètre dans un orifice très gourmand qui absorba presque entièrement la tige de verre, me faisant craindre qu'elle ne disparut définitivement…Je maintint fermement le petit bout de verre entre les deux globes pendant les mêmes dix minutes que moi et de la même façon, je le retirais un peu pour le consulter, pour le replanter aussitôt.

Dès ce moment, je savais que mon excitation était bien plus grande à donner qu'a recevoir ; comme Milène était plus passive, nous étions destinées à bien nous entendre.

Les dix minutes écoulées, je retirait lentement le thermomètre,

- 38°2 mon Dieu tu es fiévreuse, vite le lavement.

Je posai le bout arrondi de la canule contre les fronces serrées de ce joli trou du cul et je sentis mon excitation grandissait au fur et à mesure que je faisais progresser la canule ; j'observais attentivement le jeu des fronces s'écartant pour laisser passer et quand la moitié de la canule eu disparu dans le fondement, j'éprouvais un violent spasme entre mes cuisses moites. Je fus obligée de demander à Régis de tenir lui-même le bock.

Je continuais a enfoncer tout doucement la canule dans la rondelle de la jeune femme ; juste avant que le robinet ne s'encastre entre les globes jumeaux, j'ouvris le robinet est terminait d'enfoncer la canule. Sentant le flot d'inonder, le petit trou de Milène se contracta et elle poussa un cri de plaisir.

L'expérience était concluante ; non seulement je gardai le contact avec Milène Régis, mais il devint mes amis et il se confirma qu'elle préférait recevoir plutôt que de donner. Il me fit rencontrer d'autres relations, avec lesquels j'ai eu des rencontre tout à fait satisfaisantes Chaque fois que je la rencontrais, même en dehors des lavements, je me débrouillais toujours pour trouver un prétexte à lui prendre sa température ; je la basculais en travers de mes genoux, relevait sa jupe, descendait sa culotte à mi-cuisses, écartais sa jolie lune dans laquelle j'enfonçais le thermomètre pendant au moins dix minutes.

Je pense sérieusement à ajouter à nos jeux quelques fessées, je suis sûre que cela ne lui déplairait pas..