Anonyme


Vues: 10079 Created: 2007.07.31 Mis à jour: 2007.07.31

La Maman de Martine

La Maman de Martine

La Maman de Martine Par Charlène O.

Les histoires de cette série se passent dans une école de jeunes filles bcbg, l'Institut Ospif. Un univers de femmes. De femelles en chaleur, de salopes en rut. Où les jeunes filles de bonnes familles deviennent des lesbiennes déchaînées, tantôt par choix, tantôt par nécéssité.

Un univers féroce malgré la dentelle, où la jalousie n'est jamais loin et où la discipline de fer est une tradition...

Pour transformer ces jeunes filles en demoiselles bien élevées, Madame la Directrice a des méthodes bien à elle, et une imagination sans bornes. Elle adapte ses punitions tantôt corporelles tantôt psychologique aux personalités de ses élèves. Madame la Directrice manie aussi bien la cravache et le fouet que la poire à lavement et la culotte en caoutchouc...

"Je suis Madame Lachaise, la maman de le petite Martine de deuxième… Je suis venue pour réclamer. Voyez-vous, ma fille est très intelligente; pourtant ce prof de chimie lui a collé un zéro pour son examen. J'exige que vous interveniez. En tant que directrice de cette école, vous êtes responsable des actes de vos employés…"

J'avais écouté son débit sans broncher, tout comme je n'avais rien dit quand Madame Lachaise était entrée dans mon bureau sans même frapper à la porte. Je connaissais la situation: la petite Martine était très intelligente, c'est vrai. Mais la petite garce était tout aussi paresseuse qu'intelligente. Elle n'avait pas étudié son examen, persuadé que la mémoire étant l'intelligence des imbéciles…

Prise de panique la petite Martine avait essayé de copier de sa voisine. Le prof de chimie, Madame Aureyc, l'avait avertie une première fois. Mais Martine avait recommencé, persuadée que le professeur n'oserait pas lui prendre sa feuille. Bien entendu, Madame Aureyc n'avait pas hésité, et lui avait donné un zéro, selon le règlement en vigueur dans mon école. Je n'aimais pas beaucoup Martine Lachaise, petite pimbêche prétentieuse, mais maintenant je savais de qui elle tenait cette mentalité arrogante.

"Alors? J'attends une réponse!" Son arrogance était palpable et je décidais sur le champs de lui donner une leçon. D'habitude je me limite à corriger mes élèves, mais dans ce cas-ci, je trouvais que je devais éduquer aussi la mère d'une de mes élèves. Je me levai et appuyai sur un des boutons de la commande qui se trouvait sur mon bureau. Quinze secondes plus tard, par la porte du fond caché par une tapisserie, ma secrétaire Claudine et son assistante Pascale entrèrent dans la pièce. Elles encadrèrent madame Lachaise.

"Madame Lachaise, vous avez eu raison de venir. Nous allons vous soigner. Quand vous sortirez d'ici, vous serez comme neuve…" Puis je m'adressai aux deux autres: "Bâillonnez Madame et conduisez-la dans ma salle de bains."

Claudine, qui était ceinture marron de karaté, lui prit les bras derrière le dos d'une prise imparable, tandis que Pascale noua un foulard sur la bouche trop maquillée de la jeune femme blonde. Les yeux de cette dernière s'agrandirent quand elle se rendit compte de la situation. Elle secoua la tête d'un air incrédule, comme si elle rêvait et allait se réveiller d'un moment à l'autre.

On la conduisit dans la pièce adjacente, celle que j'appelais "ma salle de bains". C'était une vaste pièce sans fenêtres, entièrement carrelée, même les murs. D'un côté il y avait un bain, un bidet et une toilette; de l'autre côté il y avait une table gynécologique que j'avais acheté dans vente publique. Dans le coin le plus éloigné, il y avait un coin-douche qui pouvait être fermé par un rideau en plastique.

"Couchez-la sur le ventre, sur le tapis de bain." La jeune femme se débattit de plus belle, mais une légère pression de Claudine sur les articulations suffit pour la calmer: quelques millimètres en plus et elle lui disloqua l'épaule. Claudine lui fit un croc en jambe et la coucha sur le tapis- éponge bleu. Madame Lachaise en perdit ses chaussures italiennes. Puis Claudine lui attacha les mains derrière le dos avec les menottes qui je lui passai.

Entre-temps Pascale avait ajusté la caméra vidéo sur la femme couchée. Le voyant rouge indiquait que toute la scène était enregistrée. "Nous allons vous soigner, vous purifier de toutes ses vilaines pensées que vous avez." lui dis-je à voix basse. "Et pour que personne n'oublie cette séance mémorable, mon assistante va tout filmer. Je vous ferai remettre une copie de la cassette par Martine…"

La jeune femme se débattit de plus belle, mais Claudine s'assit carrément sur son dos, la clouant au sol comme un papillon. Je me mis au travail. Je m'accroupis et d'un coup sec je relevais la robe noir jusqu'aux hanches. Comme chaque fois que je traitais une fille ou une femme, je sentis un agréable picotement entre mes jambes. Je souris à l'idée qu'après ce "traitement" je devrai sûrement changer de culotte…

Je m'adressai à Pascale: "Mademoiselle, voulez vous faire un travelling et filmer depuis le visage de Madame jusqu'à son postérieur? Là vous pouvez bloquer la caméra, car c'est à cet endroit que le traitement aura lieu."

Consciencieusement Pascale se mit au travail, filmant avec plaisir les yeux horrifiés de la maman de Martine… En-dessous de sa robe elle portait un panty noir et à travers le fin Nylon on apercevait une mignonne petite culotte blanche, garnie de dentelle. Je pris l'élastique du panty à deux mains et le descendit comme on pèle une anguille, jusqu'aux genoux. La jeune femme se mit à gémir et ferma les yeux.

Le picotement entre mes jambes se fit plus pressant. J'aspirais un bon coup pour résister à la tentation de mettre ma main sur mon sexe et de me caresser sur place. Je me concentrais sur mon travail.

Avec lenteur calculée je lui descendis le slip blanc jusqu'à mi-cuisses, dévoilant un superbe fessier où les premiers rayons de soleil de l'été avaient déjà dessiné la marque blanche du bikini. Spasmodiquement les puissants muscles des fesses se contractaient, puis se relâchaient.

"Mademoiselle, voulez-vous faire un close-up de l'entrejambes de Madame? N'oubliez pas non plus de filmer la jolie culotte, qu'on puisse bien voir comment elle en a joliment garni le fond à la crème au beurre…" La madame en question serra violemment les cuisses.

"Claudine, passez-moi l'écarteur je vous prie." L'écarteur était une caissette en bois, de la taille d'une boîte à chaussures. J'y rangeais quelques godemichets. Après un court mais inégal combat, la caissette fût placée entre les genoux de la femme, entre le panty retroussé et la culotte blanche enroulée, maintenant les cuisses écartées. De cette façon nous avions une magnifique vue sur l'entrejambes de la jeune femme. J'enfilais de fins gants chirurgicaux.

"Mademoiselle, pouvez-vous filmer le sexe de Madame? Que l'on voit bien combien les lèvres sont gonflées, surtout qu'elles sont rasées de près." Je passai une main entre les cuisses écartées. Pas un poil…

"Notez que Madame la Salope s'est même entièrement rasée le pubis… Bon, maintenant je vais délicatement ouvrir le sexe de Madame, que vous puissiez filmer l'entrée de son vagin…"

Avec le pouce et l'index de la main gauche j'écarta les lèvres glabres, exposant la chair ruisselante. Je serrais mes cuisses comme si c'était mon sexe qui était exposé à la caméra, puis je pénétrai ce vagin de deux doigts. Je ne rencontrai aucune résistance: malgré que la maman de Martine serrait ses cuisses de toutes ses forces sur l'écarteur, ses muqueuses intimes étaient réceptives. Encore une femelle trahie par son intimité…

Quand je ressortis mes doigts, ils étaient gluants des sécrétions intimes de Madame Lachaise. Pascale filmait tout avec l'application d'une camerawoman professionnelle.

"Madame Lachaise, nous allons commencer votre traitement!" lui dis-je triomphalement. Elle se cabra au mot "commencer", pensant sans doute qu'elle avait déjà tout subi ce qu'elle pouvait subir…

Je lui ouvris les fesses d'une main, pris une bonne dose de vaseline de l'autre, et l'appliqua sur son anus. Elle tenta de bouger, mais le poids de Claudine l'en empêchait.

Après avoir tourné quelques fois autour du muscle, je me mis à pousser de plus en plus fort jusqu'à ce que mon médius pénétra le conduit anal. La sensation était exquise: mon doigt était comme pris dans une gangue brûlante qui palpitait rapidement. Je courbais le doigt et me mis à le bouger dans le rectum de la jeune femme, pour mieux dilater le sphincter. Puis un deuxième doigt vint rejoindre le premier. Elle gémit de plus belle. Ses fesses s'étaient couvertes de chair de poule. Quand j'écartais mes deux doigts enfouis dans son ouverture intime pour y glisser un troisième, un vent s'échappa.

"Voyons Madame Lachaise, vous pourriez essayer de vous retenir. Nous allons remédier à cela en vous donnant un lavement." Là, la maman de Martine se mit vraiment à gigoter de plus belle, voulant absolument nous communiquer son désaccord.

Je retirais mes doigts et les remplaça par l'embouchure fixée sur le tuyau de l'appareil à lavement. Je le glissais le plus loin possible dans son rectum, suivi du tube de plastique transparent, puis j'ouvris le robinet. Pascale avait rempli le sac de caoutchouc rouge au maximum, ce qui faisait plus de deux litres.

L'eau était froide, comme je l'avais demandé. Comme cela, Madame Lachaise sentirait mieux la progression dans ses intestins. Dès que l'eau entra par son anus, elle se mit à gémir et bouger son derrière d'une façon hautement comique. Pascale n'en ratait rien avec sa caméra vidéo. Le niveau dans le sac baissait vite et la jeune femme devait avoir le ventre douloureux. Je fis lever Claudine du dos de Lachaise, puis passai un manche à balai en-dessous des hanches de la femme. A deux nous lui soulevèrent le bassin, permettant ainsi à son ventre de se détendre plus facilement. Elle ressemblait maintenant à une femme enceinte de sept ou huit mois. La douleur se dessina sur son visage. Plus de traces d'arrogance...

Quand le sac fut vide je lui dis: "Maintenant je vais retirer l'embouchure de votre rectum. Je vous conseille de bien serrer les fesses, car si vous me faites ne fût-ce qu'une goutte sur le tapis, je vous la fait lécher…" Je retirais le tuyau et l'embouchure dont le bout était légèrement souillée. La femme n'arrêtait pas de gémir, le ventre distendu comme un amateur de bière.

A deux nous l'aidâmes à se lever et se diriger vers la toilette dans le fond de la pièce. Au moment où elle allait s'asseoir j'interrompis son mouvement: "Stop! Encore un petit instant et vous pourrez vous vider à votr'aise.." et d'un geste preste je lui remis son slip de dentelle blanche en place, suivi du panty noir.

Ses yeux s'agrandirent quand elle comprit enfin ce que venais de faire. Mais déjà Claudine et moi l'asseyèrent sur la toilette. Tandis que Claudine lui poussais les épaules en arrière contre la lunette levée, je lui maintenais les genoux ouverts afin de permettre à Pascale de bien filmer la scène.

Madame Lachaise secouait la tête avec véhémence, des larmes faisant couler son maquillage. Puis nous entendîmes un vent, suivi d'un bruit humide. Elle ouvrit les yeux en grand quand elle sentit que ses intestins avaient commencé à rejeter l'eau et que sa culotte de dentelle et son panty faisaient écran, maintenant le liquide maintenant chaud entre ses cuisses.

Une nouvelle crampe fut suivi d'un nouveau jet, inondant sa vulve; une traînée humide apparut sur le devant du panty noir. Puis on entendit couler l'eau dans la toilette, la culotte ayant dépassé sa capacité. Plusieurs minutes passèrent, avec une crampe toutes les trente secondes. Nous attendions la scène finale.

Enfin l'expression horrifiée atteignit son apogée quand le contenu plus ou moins solide de ses intestins fut aussi éjecté et se fraya un passage entre ses cuisses. La masse brûlante déforma le panty noir. Madame Lachaise se battit pour se lever, pour ne plus sentir ce contact ignoble entre ses jambes, mais nous la tenions solidement.

Puis, voyant que la jeune femme avait totalement vidé ses intestins, je lui permis de se mettre debout. Le fond du panty pendant lamentablement à mi-cuisses. Je lui souris et au même instant je lui plaquais ma main gantée entre les cuisses et me mis à masser la masse chaude, la forçant entre les lèvres de son sexe, dans l'ouverture de son vagin, et sur son bas-ventre. Elle se mit à uriner, en proie à une crise d'hystérie. L'urine se mélangeait à la masse nauséabonde et coulait le long de ses jambes, traçant des lignes gluantes sur le panty noir.

Avec Claudine je mis la jeune femme sur une grande feuille de plastique et nous la soulevâmes jusqu'à la douche. Là sa robe et son soutien-gorge furent enlevés. Madame Lachaise avait une triste mine, nue jusqu'à la ceinture, et pour le reste, habillée du panty noir déformé de tous le côtés par cette masse gluante.

Ses mains furent attachées à une chaîne qui descendait du plafond. Claudine prit la lance d'arrosage et rinça l'entrejambe de la jeune femme à grands jets. D'abord la masse fut diluée et rincée. Ensuite, après avoir enlevé le panty et le slip de dentelle, il a fallu beaucoup d'eau avant que nous puissions enfin admirer le sexe rasé de la maman de Martine.

Quand Madame Lachaise fût enfin propre, nous avons achevé notre besogne en lui rinçant les intestins plusieurs fois: pendant Claudine et moi la tenaient, Pascale insérait l'embout du tuyau d'arrosage dans son anus, puis ouvrait l'arrivée d'eau. Le ventre se distendait à vue d'oeil. Ensuite Pascale retira brutalement le tuyau, permettant à l'eau de s'échapper. Quand l'eau qui sortait était devenue aussi claire que celle qui y entrait, on pouvait conclure que Madame Lachaise était enfin propre comme un sou neuf.

Depuis ce jour là, la petite Martine a toujours fait de bons examens, sa maman veillant consciencieusement à ce qu'elle étudie bien sa matière…

fin de l'épisode Copyright: © Charlène O. (juin 2000)