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Vues: 4982 Created: 2007.09.13 Mis à jour: 2007.09.13

La Notorieté

La Notorieté

A l'issue de la réception chez les Bradley, me voici donc chargé de l'instruction de cinq jeunes filles et d'un garçonnet d'une douzaine d'années. Tous étaient des enfants de familles bourgeoises. Durant tout l'été je me suis appliqué à éduquer ces charmantes adolescentes selon mes méthodes préférées, n'hésitant pas à zébrer leurs jolies fesses ou leurs seins à chaque fois que je le jugeais utile.

Pour les punitions plus sérieuses, je n'hésitais pas à me servir du coffret aux mandrins. Dilater ces jeunes culs me procurait toujours une vive excitation. Pourtant, c'est au jeune Jimmy que je dois une aventure peu banale qui, très certainement, changea mon destin.

Ce gamin était infernal, peu studieux et distrait. Après chaque leçon j'étais obligé de sévir et de le corriger ce qui n'était pas un exercice de tout repos. Ses parents avaient mis à ma disposition deux domestiques pour m'assister car, devant la menace de la punition, Jimmy n'hésitait pas à tenter de s'enfuir. Pour le fustiger, il fallait d'abord l'attacher ce qui n'était déjà pas facile. Durant les séances de flagellation, il hurlait systématiquement avant même que le martinet ne lui caresse les fesses mises à nues à grand peine. Nous étions en été, et lorsqu'il faisait chaud, il n'était pas rare que les fenêtres de la salle de punition restent ouvertes. Le voisinage pouvait donc entendre crier Jimmy. Un jour, alors que je sortais de chez mon jeune élève, un voisin m'interpella.

- Monsieur... Monsieur s'il vous plaît...

- Bonjour Monsieur. Que puis-je pour vous ?

- Excusez-moi de vous interpeller ainsi. Vous êtes bien le précepteur du jeune Jimmy ?

- En effet. Ses parents m'ont confié son éducation.

- Oui, je sais. Je viens de l'entendre crier.

- Ne vous inquiétez pas. Je n'ai pas tué ce garnement. Si je lui fais rougir, parfois, les fesses, c'est, bien entendu, avec l'accord de ses parents. J'espère que les hurlements de ce gamin ne vous ont pas dérangé. La prochaine fois, je veillerai à fermer la fenêtre.

- Oh non, pas du tout. Non, vous n'y êtes pas. Bien au contraire. Si je me suis permis de vous interpeller, c'est que je crois que j'aurais besoin de vos services. Mes voisins m'ont dit le plus grand bien de vos méthodes. Accepteriez-vous de venir chez moi quelques instants ? J'envisage de faire appel à vos services, mais j'aimerais en parler tranquillement.

- De suite ?

- Si vous n'y voyez pas d'inconvénients.

- Il se trouve que j'ai un peu de temps libre, alors pourquoi pas.

- Mais, excusez-moi, je ne me suis même pas présenté, Simson, Jack Simson.

- Peter Crowley, pour vous servir.

Quelques instants plus tard, je prenais connaissance des intentions de Monsieur Simson, confortablement installé sous les arbres du parc de sa demeure.

- Monsieur Crowley, ce que j'ai à vous demander va, peut-être, vous surprendre, mais je sais que vous êtes l'homme de la situation.

- Dites toujours, nous verrons.

- Je sais que je peux compter sur votre parfaite discrétion, si vous décliniez mon offre.

- Vous pouvez y compter.

- Voilà, je souhaite que vous exerciez, chez moi, vos talents de maître de pénitence. Vous n'aurez pas de cours à donner. Je compte sur vous, uniquement, pour imposer de sévères pénitences à une personne du sexe féminin.

- Pourquoi pas. Quel âge à votre fille ?

- Je n'ai pas de fille.

- Votre nièce ? Votre pupille ?

- Non... Ma femme, tout simplement.

Interloqué, je restais muet quelques instants. J'étais vraiment surpris de cette demande. Je n'avais, encore, jamais exercé mes talents sur des adultes.

- J'avoue que je suis surpris. Pourquoi ne la punissez-vous pas vous-même ?

- Cela m'arrive, mais ce serait beaucoup mieux si cela était fait par une tierce personne, vous, par exemple. - Mais, est-elle au courant de vos intentions ? Si j'acceptais, j'exigerais son plein consentement préalable.

- Elle est consentante. Nous en avons déjà parlé ensemble. Jamais je ne me serais permis de vous accoster si je n'avais pas eu son accord. D'ailleurs, je vais aller la chercher pour vous la présenter.

Mon hôte me laissa seul quelques instants. Je réfléchissais à l'étrangeté de cette situation qui, au fond de moi, m'excitait au plus haut point. Je me disais que je prendrais ma décision lorsque j'aurais vu madame Simson.

Ma décision fut vite prise lorsque je vis Monsieur Simson venir jusqu'à moi, accompagné par une charmante jeune femme aux magnifiques cheveux blonds tombant sur les épaules. Elle avait environ vingt-cinq ans, alors que lui en paraissait cinquante.

- Monsieur Crowley, permettez-moi de vous présenter ma femme, Janice.

- Mes hommages, Madame.

- Bonjour Monsieur.

Sa voix était douce et tremblante, ses joues pourpres cachaient mal son émotion. Je décidais d'aller droit au but.

-Madame, vous a-t-on informé du but de ma visite ?

- Oui Monsieur, parfaitement.

- Etes-vous d'accord pour accepter des punitions physiques que je vous imposerai ?

- Oui Monsieur, c'est pourquoi nous vous avons fait venir.

- Erreur, Madame, c'est votre mari qui m'a contacté.

- S'il vous a contacté, Monsieur, c'est sur ma demande.

Janice se mit à parler, à dévoiler ses intentions. C'était bien elle qui avait pris l'initiative de me faire contacter et non son mari. Elle était une fervente adepte des pénitences physiques et trouvait que celles imposées par son mari étaient trop rares et trop douces. Le brave homme n'avait pas la volonté de faire souffrir un si joli corps.

- Je connais votre réputation et j'ai entendu parler de vos méthodes. Je pense que vous êtes l'homme de la situation. Ma démarche doit vous surprendre.

- Oui Madame, plutôt. Ainsi donc, vous aimez souffrir.

- Non monsieur. Ne vous y trompez pas. Il m'en coûte beaucoup d'accepter de me soumettre à vous. Je dois même vous avouer que je résiste peu à la douleur et l'idée de la souffrance que vous m'imposerez m'effraie.

- Je ne comprends vraiment pas. Pourquoi rechercher la souffrance si celle-ci vous effraie ?

- C'est une très bonne question. Je ne sais pas si j'ai la réponse. Pour moi, je considère la souffrance volontaire comme une pénitence sincère et presque comme un devoir. J'ai été élevée dans cet esprit. Mon père était pasteur. Il était très strict avec ma mère, ma soeur et moi- même. Les punitions corporelles étaient fréquentes et redoutables. Une fois par trimestre toute la famille se voyait imposer une pénitence corporelle "pour le rachat de nos péchés" disait-il. Lui- même se faisait flageller par ma mère. Les pénitences qu'il nous imposait durant la période du carême étaient encore plus pénibles, plus rudes. Mon père est mort subitement alors que j'avais 15 ans. Depuis ce jour, il n'y a plus eu de pénitences imposées à la maison.

- Je crois que je comprends un peu mieux votre attitude. Mais, si je peux me permettre, il me semble que votre père vous aimait bien peu pour être si dur avec vous.

- Encore une fois, vous vous trompez. Mon père nous adorait et nous l'aimions beaucoup, nous aussi. Pour lui, la pénitence physique était la seule qui soit sincère. Il ne nous imposait rien qu'il n'accepte de se faire imposer à lui-même. Mais il savait aussi nous récompenser et nous monter sa tendresse et son amour. L'ambiance, à la maison, n'était pas triste. Bien au contraire, je crois que, vu que nous connaissions la souffrance à certains instants, nous savions savourer les moments de bonheur qui s'offraient à nous.

Janice m'expliquait son enfance. Avec pudeur et sincérité elle me parlait de ses peurs, des pénitences qu'elle avait subies. J'avais en face de moi une jeune femme adorable et, je l'avoue, excitante. Il ne me tardait plus qu'une chose, voir son corps offert et la dominer. Je me délectais à lui faire raconter quelques détails de ses souvenirs d'enfance. Je la sentais gênée de répondre avec précision à certaines de mes questions, mais, déjà, j'entrevoyais sa démarche. Elle s'obligeait à répondre. Me parler de ses pénitences d'adolescente ou d'enfant était déjà un acte de soumission à mon égard. Son mari nous écoutait converser, sans intervenir.

- Vous me dites que les pénitences imposées en période de carême étaient les plus dures. Voulez-vous me raconter celle qui vous a le plus marquée ?

- Elles m'ont toutes marquées d'une façon ou d'une autre. Cela se passait traditionnellement durant la semaine sainte, la semaine qui précède Pâques. Le lundi et le mardi étaient jours de jeûne pour tous. Mes parents ne mangeaient rien de deux jours et buvaient beaucoup d'eau. Ma soeur et moi avions un régime de faveur. Nous étions autorisées à boire un verre de lait le matin et à manger une grosse tranche de pain le soir. C'était notre seul repas. Le mercredi était jour de pénitence pour mon père et ma mère. Jusqu'à l'âge de douze ans, ce jour-là, nous étions, ma soeur et moi, systématiquement éloignées de la maison. Mon père recommandait aux personnes à qui il nous confiait de continuer à nous faire suivre le régime alimentaire imposé les deux jours précédants.

Le soir, lorsque mon père venait nous chercher pour nous ramener à la maison, il avait les traits tirés, il avait l'air fatigué. Une fois chez nous, il n'était pas difficile de deviner que notre mère avait pleuré. Elle avait les yeux rouges, les joues marquées par les larmes et, visiblement, elle était exténuée. Je me rappelle comme elle aimait, alors, à nous serrer dans ses bras. Elle nous embrassait et je me souviens avoir remarqué des larmes sur ses joues. Elle nous envoyait nous coucher en nous demandant de bien faire nos prières afin d'être courageuses pour notre pénitence du lendemain. En effet le jeudi nous était réservé . Le vendredi saint était jour de prière au temple du village où mon père exerçait son sacerdoce. Le samedi nous nous reposions et le dimanche de Pâques, après l'office c'était la fête à la maison, une vraie fête.

L'année de mes douze ans j'ai eu mes premières règles. Ma mère et mon père m'ont alors déclaré que j'étais désormais considérée comme une femme et qu'à compter de ce jour je subirai des pénitences d'adulte et que j'assisterai à celles de mes parents. Ces paroles provoquèrent en moi un étrange mélange de fierté et de peur. Je pense réellement que les séances du carême suivant sont celles qui m'ont le plus marquée.

L'évocation de ces souvenirs d'adolescente faisait couler quelques larmes sur les joues de Janice. En ce qui me concerne, je bandais ferme et je prenais un malin plaisir à lui faire donner des détails afin de provoquer une gêne qu'elle n'arrivait plus à cacher. Plusieurs fois elle s'interrompit, espérant que j'aurais pitié et que j'arrêterais mon interrogatoire.

- Poursuivez, madame. Donnez-moi des détails sur ces séances qui vous ont tant marquées.

- Lorsque la semaine sainte arriva j'ai été soumise au régime des adultes, c'est-à-dire que j'ai jeûné durant deux jours n'ayant le droit que de boire de l'eau . Ma soeur cadette, elle, avait droit au lait du matin et au pain. J'étais très fière "d'être une grande". Le mercredi matin, de bonne heure, ma mère accompagna ma soeur chez des amis pour qu'elle y passe la journée. Pendant ce temps, mon père prépara la salle de pénitence. Il s'agissait d'une grande chambre aux poutres apparentes. Un poêle à bois chauffait agréablement la pièce. Il passa des cordes autour des poutres et me demanda de l'aider en allant cueillir des orties au fond du jardin. Je prenais mon rôle à coeur et j'en ai ramené une pleine brassée. Lorsque ma mère est rentrée, mon père lui fit signe de se diriger, sans plus attendre, vers la salle de pénitence. Elle ne dit mot et entra dans la pièce aménagée. Mon père nous fit réciter une prière, puis d'elle-même, ma mère s'est déshabillée, elle nous a embrassé et a dit : "Mes bourreaux adorés, je suis à vous ; aidez-moi à faire pénitence."

Je me rappelle que je ressentais une étrange angoisse. J'avais les larmes aux yeux et mon coeur battait très vite. Jamais, je n'avais vu ma mère nue. Elle se laissa lier les poignets et attacher aux cordes qui pendaient du plafond. Mon père lui fixa également une barre d'entrave au niveau des chevilles. Celle-ci lui maintenait les jambes bien écartées. Son corps, légèrement en extension était parfaitement offert. Je la trouvais très belle, mais j'osais à peine la regarder.

La main paternelle, armée d'un martinet, frappa une première fois les fesses offertes. Un gémissement étouffé sortit de la bouche de la suppliciée tandis que moi, je poussais carrément un cri. Mon père m'avait entendu, mais il continua son oeuvre. Les lanières de cuir marquaient la peau blanche de raies rouges. La pénitente se contorsionnait dans ses liens et, bientôt, elle éclata en sanglots. Moi, je tombais à genoux et, également en pleurs, je suppliais mon père d'arrêter, ce qu'il fit. Il vint vers moi, me prit contre lui et me consola en me parlant doucement ; puis il me demanda de passer un gant humide sur le visage de ma mère. Elle me sourit, me remercia et me dit : "A toi maintenant. Fouette-moi." "Non, je ne veux pas, je ne peux pas". "Mais si ma chérie, je le veux et puis il le faut."

Je pris la cravache que me tendait mon père et, maladroitement, je me mis à frapper, ou plutôt à caresser, les fesses. Puis, peu à peu, je pris de l'assurance et je portais les coups avec plus de fermeté et de précision.

- C'est bien, ma chérie. Maintenant, c'est toi qui va avoir le privilège de torturer sa jolie poitrine. Tu vas la cravacher jusqu'à ce qu'elle pleure.

- Oui papa.

Croyez-moi, cher Monsieur, je ne me reconnaissais pas. Je prenais un certain plaisir à la faire souffrir. Le bruit mat de la cravache sur la peau tendre, le mouvement des seins et, bientôt, ses cris me mettaient dans un état second. Lorsque, sur ordre de mon père, j'arrêtais, je transpirais à grosses gouttes et je regardais ma mère pleurer sans retenue. Sa poitrine était boursouflée de stries. Elle dut alors subir une bonne frottée aux orties tant sur les fesses que sur les seins. Un instant de repos lui fut accordé. Elle fut détachée. Me rendant compte de la souffrance que je lui avais imposée, je me suis effondrée en larmes et, me jetant contre elle, je lui demandais pardon. Elle me serra fort contre son corps en me disant qu'elle ne m'en voulait pas, bien au contraire, elle me remercia d'avoir fait mon devoir avec courage. Ces paroles me rassurèrent un peu. Elle s'allongea, ensuite, sur le lit et fut sodomisée à l'aide de mandrins de bonne taille avant de recevoir un grand lavement préparé par mes soins. Enfin ses épreuves s'achevèrent, elle eut la force de nous remercier et nous embrassa tendrement. Son visage allait rester marqué par les larmes et la fatigue toute la journée.

Mais, ce n'était pas fini. L'après midi ce fut mon père qui fut soumis à la pénitence. Lorsque ma mère, d'un ton ferme, lui demanda de se déshabiller, il s'exécuta sans une hésitation. Il se retrouva, très vite, attaché pour être flagellé. Je n'osais pas regarder. D'abord, je n'avais jamais vu mon père nu, ni aucun autre homme d'ailleurs. Les seuls sexes mâles sur lesquels mes yeux s'étaient portés étaient ceux de nourrissons ou de jeunes enfants. Je me sentais très gênée, je restais dans un coin de la pièce et je regardais le bout de mes pieds. Et puis, voir un homme fouetté par des femmes ne me paraissait pas naturel ; pour moi, l'homme c'était le maître...

Ma mère comprit vite la situation que je vivais. Elle me prit par la main, m'amena jusque devant le sexe offert et me fit une leçon de choses des plus explicite. Elle m'obligea à prendre dans mes mains les testicules puis le vit qui se mit à grossir de façon que je jugeais démesurée. Ce jour-là, j'appris tout ce que devait savoir une jeune fille, dans les moindres détails. Puis, nous avons fait subir au pénitent les épreuves qui lui étaient destinées, flagellation, pose de pinces sur le sexe, engodage pour terminer par un lavement. En fin d'après-midi, ce fut mon tour. Ils m'ont imposé à peu près les mêmes épreuves. J'ai beaucoup souffert, j'ai beaucoup pleuré mais j'étais fière de subir comme une adulte et je crois que j'ai mieux supporté de souffrir moi-même que de faire souffrir les autres.

- C'est bien Janice. Une dernière question avant que je me retire : vous receviez souvent des lavements ?

- Oui Monsieur. Pour mes parents le lavement était considéré comme un excellent médicament et comme une épreuve purificatrice. A la maison, la seringue était toujours à portée de la main et servait régulièrement pour les uns et les autres.

- Et depuis votre mariage, continuez-vous à en recevoir ?

- Oui Monsieur, cela arrive parfois lorsque mon intestin montre quelques signes de paresse. J'ai fait l'acquisition d'un bock qui est beaucoup plus pratique que la seringue.

- Quelle quantité de liquide recevez-vous, en général ?

- Un litre à un litre et demi.

- Sachez, Janice, que j'ai fait des études de médecine et que j'ai de bonnes connaissances en la matière. Il n'est pas impossible que je vous en fasse profiter.

Janice ne répondit pas, elle se contenta de baisser les yeux. Elle avait parfaitement compris mon allusion. Je pris congés de Monsieur et madame Simson après avoir convenu d'un premier rendez-vous deux jours plus tard. En me raccompagnant, Monsieur Simson me demanda d'être intransigeant avec Janice. Il reconnut sa faiblesse et son incapacité à lui imposer lui-même des pénitences sévères.

Etant seuls, nous nous sommes également mis d'accord sur le montant de mes honoraires. J'ai aussi demandé à ce que Janice soit prête lorsque j'arriverai, c'est-à-dire nue et attachée en bonne posture pour être flagellée.

- Ce sera fait comme vous le souhaitez cher Monsieur Crowley.

- Au revoir Monsieur Simson. Je serai là samedi à 15 heures.

Sur le chemin du retour, j'avais presque du mal à réaliser ce qui m'arrivait. Jamais je n'avais eu à m'occuper d'une femme adulte. Loin de me gêner cette idée m'excitait au plus haut point. Je réfléchissais aux épreuves que je pourrai bien inventer pour innover et faire effectuer une bonne pénitence. L'idée de me servir de mes connaissances en médecine me séduisit. Il fallait simplement que je me procure un peu de matériel spécialisé. Pour ce faire il ne me restait plus qu'à rendre visite à un de mes meilleurs amis qui avait fait ses études avec moi et qui aujourd'hui exerçait comme chirurgien dans un grand hôpital de Londres.

Ce fut fait dès le lendemain. Nous étions suffisamment intimes pour que je lui avoue, sans détour, le but de ma visite. Il se mit à rire.

- Tu ne changeras donc pas mon cher Peter. Tu as de bonnes bases de médecine et je vais te rendre le service que tu me demandes avec grand plaisir. Si tu as besoin que je t'aide auprès de ces dames, n'hésite pas? Tu te rappelles nos folles nuits de potaches. Quels souvenirs !

Je repartis de chez mon ami avec plus de matériel que je n'espérais. Il me fournit des aiguilles à injection, des aiguilles à suture, des sondes diverses ainsi que du matériel de petite chirurgie et un magnifique bock à lavement d'une contenance de trois litres.

Le samedi, à l'heure convenue, je me présentais chez les Simson. C'est le maître de maison qui vint, lui-même, m'accueillir. J'avais amené avec moi une mallette contenant du matériel de base, des martinets, des cordes, le coffret aux mandrins ainsi que le bock à lavement que j'avais bien l'intention d'étrenner.

- Entrez donc. Janice est prête, comme vous l'avez souhaité. Je l'ai mise en place moi-même il y a à peine cinq minutes. Elle vous attend avec impatience, je présume.

En pénétrant dans la salle, je découvris le spectacle excitant du corps de la jeune femme et je compris pourquoi elle était impatiente. Elle était attachée, pendue par les pieds, jambes écartées, la tête en bas, les poignets liés et maintenus reliés au sol par une fine corde. C'était splendide à contempler. Connaissant l'inconfort d'une telle position je me fis un devoir de commencer, sans plus tarder la flagellation.

Muni d'un fouet souple, en cuir tressé, je fis rapidement gémir puis crier Janice. Je ne me privais d'aucune partie de son corps cinglant aussi bien les cuisses que les fesses ou les seins. Pour meurtrir son sexe si bien offert je me servis d'un martinet puis d'une fine badine. Sous ce supplice la pénitente hurlait sa douleur sans retenue.

- Arrêtez, c'est trop... ayeee... arrêtez...

- Offrez votre souffrance à Dieu. Continuez, demanda son mari.

- Non ! pitié ! je vous en supplie.

Elle avait beau supplier, je lui fis subir ce traitement pendant plusieurs minutes avant de la libérer de son inconfortable position. Je pensais à l'humiliation qu'avait dû ressentir Janice de m'être présentée dans une posture aussi impudique. Elle resta à terre, sanglotant, pendant un long moment.

- Puisque vous vous sentez bien par terre, restez-y. Mettez-vous à plat ventre, jambes bien écartées et je vous prie de ne pas bouger.

Sans un mot elle exécuta l'ordre. J'allumais une bougie et je fis couler les gouttes de cire, une à une, sur les fesses déjà marquées par le fouet. Janice gémit, mais resta docile. C'est dans cette même position qu'elle fut sodomisée à l'aide de mandrins. Son mari lui tenait les épaules plaquées au sol tandis que, placé entre ses jambes, j'enfonçais les instruments de supplice dans son fondement. Elle supporta assez mal ce traitement.

Je fis remarquer à Janice que les gods ressortaient de son cul entièrement maculés d'excréments.

- Comprenez-vous ce que cela signifie Janice ?

- Hélas Monsieur, je crois bien que oui !

- Ah, vous avez deviné. Alors qu'est-ce qui vous attend Janice ?

- Vous allez m'administrer un lavement Monsieur.

- Je vois que vous êtes perspicace et intelligente. Je sais que ce ne sera pas votre premier. Regardez donc ce que j'ai emmené.

- Oh mon dieu, comme ce bock est grand. Vous n'allez pas le remplir, j'espère. Jamais je ne pourrai supporter une telle quantité.

- Non, je ne vais pas le remplir, enfin pas aujourd'hui. Je tiens néanmoins à ce que vous fassiez un effort sur la quantité.

- Oui monsieur, je ferai de mon mieux.

- Je n'en doute pas, Janice.

Elle eut droit à un moment de repos, le temps que l'on fasse chauffer de l'eau à bonne température. Lorsque tout fut prêt, je fis mettre la belle jeune femme à quatre pattes, une bassine placée entre ses jambes légèrement écartées.

-Voyez, je n'ai mis que deux litres dans le bock.

- Mais c'est beaucoup trop. Jamais je ne pourrai prendre deux litres. S'il vous plaît Maître, pas tout ça.

- Allons, allons pas de jérémiades prématurées. Ecartez bien vos fesses qui j'enfonce la canule dans votre petit trou.

- Ayee !

La canule bien enfoncée dans le cul offert, je me relevais, tenant le bock à la main. Je vérifiais que le niveau descendait et je variais la hauteur du récipient en fonction des réactions de Janice. Le premier litre fut assez vite absorbé et sans trop de problèmes. Il n'en fut pas de même pour la suite de l'injection. Vers les un litre et demi, elle se mit à se trémousser et à supplier que j'arrête l'injection.

- De grâce, Maître ! Ayez pitié ! Je vais rejeter... je vais...

- JAAANICE... La pénitente n'avait pu se retenir d'avantage et laissa échapper un flot important et continu de liquide nauséabond. La canule avait été éjectée et traînait par terre. Après avoir fermé le robinet d'arrivée, je fis part de ma déception à la jeune femme.

- Mais enfin, Madame... Vous auriez pu vous retenir.

- Non Maître. Je ne pouvais plus... C'était trop dur.

- Deux litres est une quantité tout à fait raisonnable. Puisque vous ne savez pas faire un effort quand on vous le demande, nous prendrons d'autres dispositions la prochaine fois.

- Oh monsieur, ne dites pas que je ne fais pas d'effort, s'il vous plaît. je vous assure que c'était absolument insupportable.

- En pénitence, on doit parfois subir l'insupportable, n'est-ce-pas ?

- Oui Maître, je sais. Excusez-moi.

- Relevez-vous. Allez rejeter le reste. Je vous prie, ensuite, de nettoyer vos saletés. Vous pourrez, une fois ce travail terminé, aller vous faire un brin de toilette et vous rhabiller.

Janice ne se fit pas prier pour exécuter mes ordres. Monsieur Simson m'invita à prendre un rafraîchissement sur la terrasse. Nous en avons profité pour reparler de la séance.

- Ai-je répondu à votre attente, Monsieur Simson ?

- C'était parfait. Mais appelez-moi Jack, cela me ferait plaisir.

- D'accord, moi c'est Peter. J'ai peur d'avoir été un peu trop dur avec votre femme.

- Non, je ne crois pas. Je pense qu'elle savait parfaitement qu'en faisant appel à vos services elle serait traitée avec sévérité. Mais, nous le lui demanderons lorsqu'elle nous rejoindra.

Un moment plus tard, Janice fit son apparition, lavée, rhabillée et bien recoiffée. Ses traits étaient tirés et sa fatigue était visible. Son mari l'invita à s'asseoir à nos cotés. Jack prit la parole.

- Mon ami Peter a peur d'avoir été trop dur au cours de cette séance.

- Il est vrai qu'il a été sévère avec moi, mais je savais à quoi m'en tenir lorsque j'ai accepté de faire pénitence par son intermédiaire. Excusez-moi encore pour le lavement, mais je n'ai vraiment pas pu...

- Ce n'est pas bien grave. Mais si vous acceptez que je continue à m'occuper de vous, je vous montrerai que vous pouvez aller beaucoup plus loin. Acceptez-vous Janice ?

- Oui maître, j'accepte. Bien sûr, je ne souhaite pas subir un tel traitement tous les jours.

- Une fois par mois, me parait un bonne fréquence.

- Je le pense aussi et je suis à votre entière disposition.

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