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Vues: 8208 Created: 2007.11.01 Mis à jour: 2007.11.01

La Punition de Petit Gars

La Punition de Petit Gars

Librement adapté d’un texte américain.

Author: procyonlotor

J'aimerais vous raconter mes expériences autour des lavements. Ma Maman nous donnait à ma sœur et moi des lavements depuis notre enfance. Je les ai toujours aimés, mais je ne savais pas pourquoi. À l’époque, j'étais un peu réticent quand à les recevoir, mais assez souvent j'entrais furtivement dans la salle de bains pour prendre un lavement par moi même sans me faire remarquer. J'ai toujours essuyé soigneusement le matériel et l’ai rangé rigoureusement affin que personne ne sache.

Ma sœur, Chimène, n'était pas aussi timide à ce sujet et a laissé Maman lui donner des lavements jusqu’à l’adolescence. Quelquefois elle les réclamait elle-même et Maman les lui administrerait. Quand je savais que Chimène recevrait un lavement, j'utilisais un petit miroir pour jeter un coup d’œil furtif sous la porte de salle de bains. J’avais généralement une bonne vue de la scène, c’est à dire voir la canule plantée dans les fesses de ma sœur.

S’il faisait nuit, j'avais encore une meilleure vue en allant dehors et en me mettant debout sur un cageot de bois pour jeter un regard discret par la fenêtre de la salle de bains. Oh, il y avait bien un rideau tirer, mais il était assez loin de la fenêtre et je pouvais avoir une vue plongeante vers le sol sans être remarqué, ainsi je voyais ma sœur recevoir son lavement et se tortiller quand les coliques devenaient trop insistantes. J'ai bien dû voir ma sœur recevoir ainsi une douzaine de lavements. J'avais toujours cette anxiété de me faire attrapé un jour, mais la scène était si passionnante que je trouvais que cela valait de prendre le risque. Chimène avait quatre ans de plus que moi et se montrait très autoritaire avec moi, j'étais terrifié à l’idée qu’elle puisse découvrir mon espionnage.

C'est finalement arrivé quand j'avais douze ans et elle seize. Nos parents nous avaient laissés seul à la maison un week-end, et la Chimène avait son invité son amie, Hélène. C'était un samedi soir, je venais d’utiliser la salle de bains et j’étais parti me coucher en haut quand je me suis rendu compte que j'ai oublié de me brosser les dents. Je suis revenu pour le faire et j’ai remarqué que Chimène et Hélène n'étaient pas en vue. J'ai remarqué également que la porte de la salle de bains était fermée et je pourrais entendre les deux filles parler et en écoutant attentivement. J'ai ainsi pu comprendre qu’elles avaient l’intention de se donner un lavement l’une à l’autre. Je pouvais déjà entendre l'eau couler, et je me suis rendu compte alors que c'était grand temps d’aller à l'extérieur et d’installer mon poste d’observation à la fenêtre. Je ne portais que mon pyjama et j'avais une paire de sandales. Rapidement j’ai attrapé le cageot en bois dans le garage pour me tenir debout dessus. Bientôt je regardais par la fenêtre de la salle de bains.

Elles portaient des nuisettes très sexy et apparemment tout se passait comme si Chimène allait recevoir le premier lavement. Hélène a dit :

« C’est ton tour en premier… »

J’en ai donc déduis qu’elles n’en étaient pas à leur coup d’essais. Je sais que Chimène avait déjà passé la nuit chez Hélène plusieurs fois, sans doute l’avaient-elles déjà fait là-bas. Ma sœur s’est installée par terre et tendu son postérieur. Hélène s'est assise à côté d'elle avec le pot de vaseline. Elle en a étalé un peu entre les fesses de Chimène, puis elle a pris la canule à lavement et l'a enfoncé dans son derrière. Elle a ramassé le bock, a ouvert la pince, et l'a tenu contre la baignoire. Quand toute la solution a rempli les intestins de ma sœur. Hélène a fermé la pince et retiré le tube du derrière de Chimène. Elle a dit qu'elle allait préparer le sien pendant que Chimène expulsait son lavement dans les toilettes.

Je n’en finissais pas d’attendre, je ne voulais pas manquer le joli postérieur d'Hélène recevant un lavement. Je m’énervais tellement sur place que je suis tombé du cageot sur lequel je me trouvais. Hélène revenait enfin avec le bock remplis et l’accrochait au mur. Tandis qu’elle attendais que Chimène ait fini sa toilette, elle purgea le tuyau de son air. Enfin Chimène est arrivée pour donner le lavement à son amie Hélène.

Hélène expliqua qu'elle préférait le prendre allonger sur le dos. Donc elle s’allongea ainsi sur le sol et releva ses jambes vers sa poitrine, offrant à Chimène (et à moi) une vue superbe de sa jolie fente rose et de son petit anus serré. Ma sœur a lubrifié le petit trou avec la vaseline et a inséré la canule. Je pouvais les entendre rire doucement alors que l'eau remplissait le cul d'Hélène. Chimène a dû arrêter l’écoulement deux fois avant qu'Hélène ait pris le bock entier. Elle s'est levée immédiatement et est parti tout de suite vers les toilettes. J’en ais déduit qu’elle devait être moins entraînée que ma sœur à recevoir de tels lavements. Chimène s’employait à nettoyer le matériel dans le lavabo.

C’est alors que tout à déraper ! J'ai vu Chimène se diriger vers la fenêtre et d’un mouvement brusque, elle a tiré le rideau! Nous étions nez à nez! J'étais pétrifié! Je ne savais pas quoi faire, J’aurais voulu partir, mais je savais qu’il n'y avait aucune issue pour m’enfuir, en plus je n’avais seulement que mon pyjama sur moi. Je marchais à l'extérieur dans la courette, sans but quand Chimène est sorti m'a attrapé et m'a poussé dans la maison. Elle m'a assis sur la table de cuisine et a commencé à me maudire et hurler contre moi. Elle voulait savoir depuis quant j'étais là et ce que j'avais vu réellement. Elle a rapidement obtenu une confession complète. Quand Hélène est revenue dans la pièce elle m'appelait aussi de toutes sautes de nom d’oiseaux ! Puis elles ont commencé à discuter de ce qu'elles allaient faire de moi. C'était l'heure la plus misérable de ma vie !

Elles sortirent toutes les deux de la pièce durant environ cinq minutes après m’avoir ordonné de rester assis là jusqu'à ce qu'elles aient pris une décision. Lorsqu’elles sont revenus Chimène portait le martinet que papa gardait dans son bureau et m'a donné le choix : Ou bien elles disaient tout aux parents et les laissaient décider de ma punition; ou le secret était garder entre nous et elles décideraient elles même de ma punition.

J'ai bien sûr demandé ce que serait cette punition. Chimène m’a dit :

« Puis que tu nous a regardé toute les deux recevoir un lavement, tu recevra un lavement de chacune de nous. En plus, tu recevras quelques coups de martinet sur ton cul nu de chacune de nous et nous restons à te regarder quand tu expulseras tes lavements ! »

En fait si elles en parlaient aux parents, elles devraient aussi expliquer pourquoi je les avais surpris en train de prendre un lavement ! Mais le fait de recevoir un lavement d’une belle fille comme Hélène avec ses gros nichons m’excitait terriblement et valait bien quelques coups de martinet… Alors tête basse, j’ai accepté d'un air penaud.

« D'accord, je prend votre punition, mais vous me promettez de n’en parler à personne. »

Elles ont alors commandées :

« Nous sommes d’accord ! Maintenant, à poil ! Quitte ce pyjama et attend nous dans la salle de bains. Nous serons dans là dans 5 minutes et nous voulons te trouver à quatre pattes par terre ! »

J'ai fait comme elles m’avaient ordonnées. J’étais très excité à l’idée que j’allais recevoir un lavement de ces deux filles très attirantes (mais très méchantes). J'avais déjà reçu des fessées auparavant, mais jamais à cul nu. Il m’a semblé attendre beaucoup plus de 5 minutes avant qu'elles ne reviennent dans la salle de bains. Finalement, elles sont revenues et ont fermé la porte à clef :

« Tu es mauvais, tu es un sale frère ! Est-ce que tu es prêt pour ceci ? »

Elles avaient préparé le bock avec la grosse et longue canule vaginale, celle que je n’avais jamais osé essayer. Hélène s’est placée devant moi, et m’a serré la tête entre ses cuisses, elle tenait le martinet et le fait d’avoir la nuque contre les poils de sa chatte n’était pas de nature à calmer mon excitation.

« P’tit gars ! Tu vas recevoir la raclée de ta vie ! Et tu n’es pas près de l’oublier ! »

Pendant ce temps ma sœur Chimène me faisait goûter aux délices de la canule vaginale, et même sans lubrifiant, je regrettais de ne pas en avoir usé plus tôt. Je savais qu’elles avaient rempli le bock à raz bord, alors que lorsque j’en usais dans mes jeux solitaires, je n’avais jamais dépassé la moitié. Il était évidemment exclu d’élever la moindre protestation, je n’étais pas en position de dicter mes conditions. Bientôt je sentis l’eau du lavement couler dans mon ventre, presque aussi tôt Hélène commença à abattre le martinet sur mes fesses… La peste s’en donnait à cœur joie. Malgré mes efforts je gigotais pas mal sous les coups. Mais je ne pouvais pas faire grand chose pour me défendre avec ma tête coincée entre les cuisses somme toute bien musclées d’Hélène. Le lavement faisait son chemin dans mon ventre, et je découvrais l’angoisse de ne pas pouvoir me retenir devant ces deux filles, alors je me mis à les supplier oubliant toute fierté. Je m’excusais, je promettais de ne jamais recommencer, mais les coups de martinet continuaient de tomber à un rythme lent et implacable sur mon cul ! Ma sœur annonça enfin que j’avais tout pris. Aucun doute que sans cette nouvelle j’aurais explosé prochainement… Encore quelques coups sur les fesses et l’étau des cuisses d’Hélène me libéra et je pu me précipiter sur les toilettes. Ma nuque était toute mouillée, mais ce n’est que beaucoup plus tard que je compris la vraie cause de cette humidité.

« Voilà longtemps que tu n’a pas reçu de lavement, nous allons rattraper le temps perdu ! Tu va voire, cela remet les idées en place chez les petits vicieux comme toi ! »

Elles ne savaient pas que moi aussi je prenais des lavements clandestins, comme elles.

Et j'avais une érection quand je suis parti vers les toilettes dont je du laisser la porte ouverte. J’eu bien sûr quelques difficulté a m’asseoir à cause de la morsure des coup de martinet. Les deux filles étaient bien sûr là à me regarder et en profitaient pour m’envoyer quelques phrases désobligeantes. C’est Hélène qui fit remarquer :

« As-tu remarqué que ce petit vicieux est excité par son lavement ? »

Bien sûr, après les avoir vus échanger des lavements, les voir dans leur nuisette sexy, n’était pas fais pour arranger les choses. Aussi je faisais en sorte de chasser de mon esprit toutes images érotiques. Je ne voulais pas avoir une éjaculation pendant qu'elles regardaient!

Chimène a proposé :

« Donnons-lui le lavement suivant sur le dos, nous pouvons voir si cet instrument grandit à mesure que l'eau remplit son cul ! »

Hélène a dit ordonner :

« Va t’installer sur ton dos ! Il y a bien assez longtemps que tu te vide et nous sommes prêtes pour la suite de ta punition P’tit gars. »

Je me suis allongé sur mon dos relevant mes jambes écartées comme je l’avais vue faire à Hélène un peu plus tôt, laissant libre accède à mon anus. Hélène poussa la longue et grosse canule dans mon fondement aussi loin qu’elle le put. Chimène tenait le bock plein au-dessus de moi.. Hélène jouât alors avec la canule dans mon anus jusqu’à ce que mon membre viril soit redevenu aussi dure qu’un roc, puis elle a ouvert et l'eau a jailli dans mon ventre avec tant de force que je dus mettre toute mon attention sur mon anus pour contrôler toute cette eau en mouvement, que je ne pensais pas à mon érection. J'essayais de retenir l'eau !

Hélène n’en perdait pas une miette, elle a fait remarquer mon érection à ma sœur, et a tapoter doucement avec son doigt. Soudain, je me suis senti partir, rien ne pouvant m'arrêter ! J'ai reçu mon sperme sur mon visage. Chimène et Hélène ont ri bêtement :

« Super ! Nous n'avions encore jamais vu un garçon cracher son venin auparavant ! »

Elles paressaient fascinées par ce qu’elles venaient de voir. Le lavement étant rentré en totalité, elles m'ont laissé aller aux toilettes sans attendre. Puis alors qu’elles rangeaient le matériel, elles m'ont dit :

« Tu as pris ta punition comme un bon garçon et nous te pardonnons ! »

Chimène m'a prise dans ses bras et m’a dit :

« Excuse nous d’avoir été si dur avec toi, mais ce que tu as fais n'était pas très agréable. »

Finalement, il me restait plus qu’à brosser mes dents et aller me coucher. Il était minuit passé. Mon cul était encore rouge du passage au martinet, et en dehors de cela, la punition avait été assez plaisante, bien que ce fût tout de même très humiliant. Elles ont essayé d'être agréable avec moi pour le reste du week-end.

Après le départ d’Hélène, Chimène avait beaucoup de questions à me poser. Elle voulait savoir depuis combien de temps je l'espionnais lorsqu’elle prenait ses lavements dans la salle de bains. Je lui ai fait promettre de ne plus me punir si je lui disais. Puis je lui ai expliqué que je l’avais vu prendre au moins une douzaine de lavements, soit par Maman, soit toute seule. Sa surprise était grande, alors elle m’a demandé :

« Quel plaisir trouves-tu à me regarder prendre mes lavements ? »

Alors Je lui ai expliqué que Maman m'a donné des lavements jusqu'à ce que j’ai huit ans. Et je me sentais plutôt honteux et embarrassé de devoir lui dire que j'en avais besoin d'un, donc j'ai appris à les prendre moi-même. Je lui ai fait remarquer que Maman lui en a donnés bien au-delà de ses 8 ans et que j'aurai souhaité pouvoir lui en réclamer aussi, mais ne pas oser.

Elle m’a dit :

« Tu sais quoi? Je n'avais pas la moindre idée que tu aimais recevoir des lavements. Si tu veux que quelqu'un te les donne, je serais vraiment heureuse de te rendre ce service. Je devine que si tu m'a regardé prendre une douzaine de lavements, alors je te dois bien une douzaine de nettoyages profonds. »

Maintenant elle paraissait soulagée et souriait. Elle me confia qu'elle trouvait les lavement relaxant, très agréable et amusant. Elle ajouta qu'avec Hélène, elle s’étaient déjà donné deux fois des lavements l'une à l'autre. Elle me dit que Maman ne lui avait plus donné de lavement depuis qu'elle avait 13 ans, mais que comme moi elle préférait recevoir un lavement plutôt que de le prendre par elle-même. Alors elle est venue contre moi et a mis son bras autour de mon cou et m’a dit :

« Puisque tu aime me regarder prendre mes lavements, je peux bien te laisser me les donner. Je te propose qu'à partir de maintenant nous nous donnerons nos lavements l'un à l'autre ! »

J'ai souri et j’ai répondu :

« C’est une bonne idée ! Les parents ne risquent pas de rentrer avant ce soir, je propose que nous commentions tout de suite ! »

Nous sommes allés dans la salle de bains et Chimène a préparé un lavement pour me le donner. Elle en a profité pour me faire voir comment elle l’aimait, alors m’a fait baissé mon pantalon et mon slip a graissé mon petit trou et m’a fait prendre ce lavement tout en douceur. Lorsque je suis revenu des toilettes, elle avait déjà re-préparé un lavement, elle a baissé sa culotte et levé sa jupe. puis elle s’est installé devant moi sur le sol de salle de bains. Elle avait déjà graissé la canule, donc je pouvais la glisser entre ses fesses doucement dans son rectum et ouvrir la pince. Il ne me restait plus qu’à tenir le bock au dessus d’elle.

C'était la première fois que je donnais un lavement à quelqu'un d’autre que moi. J'en étais très excité. Je ne parvenais pas à croire que je donnais réellement un lavement à ma grande sœur. Voir de si près cette canule que je venais de lui enfoncer dans l’anus… Finalement le bock était vide, je lui ai annoncé qu’elle avait tout pris. Elle a tourné la tête pour regarder, j'ai refermé la pince, j’ai retiré la canule de son derrière et j’ai mis le matériel dans le lavabo. Je lui ai demandé si je devrais partir mais elle m’a dit que je ne la dérangeais pas, elle est allée sur les toilettes et a laissé tout laissé partir. Elle m'a dit que pour la première fois que je donnais un lavement à quelqu'un, je m’en tirais vraiment bien.

Finalement, il y avait un bon côté à s’être fait prendre à les espionner dans la salle de bains.

A la suite de cette aventure, nous nous somme donné des lavements à l'un l'autre régulièrement jusqu'à ce qu'elle ait 23 ans et qu’elle soit mariée. Elle m'a confié après son mariage que son mari n’aimait pas donner ou recevoir des lavements. Pour lui il s’agissait juste d’une procédure médicale ennuyeuse. C’est pourquoi, pour notre santé et pour le plaisir Chimène m'inviterait quand son mari était absent pour que nous nous donnions des lavements l'un à l'autre.

Nous parlons parfois du jour où elle m'a attrapé à la regarder avec Hélène prendre leurs lavements et de la punition qu'elles m'avaient donné. Nous rions de cette aventure et elle m’a dit depuis qu'elle n'aurait pas été si dur avec moi si elle avait su que je cherchais surtout quelqu'un pour me donner des lavements. J'ai admis de mon côté, qu'il y avait quelque chose d’érotique d'être forcé de se mettre nu et de présenter son cul à deux très belles filles dans leur nuisette sexy et transparentes et recevoir comme punition pour les avoir regarder prendre leurs lavements, une fessée au martinet !

Quelquefois nous remettons la situation en scène pour le plaisir et elle me donne une fessée douces avant mon lavement. Parfois même nous inversons les rôles, cela lui rappelle des souvenirs d'enfance, quand elle était une mauvaise petite fille et que Maman lui claquait les fesses. Je pense qu'elle se sentait un peu coupable de m’avoir puni si durement à l’époque. Elle admet qu'elle était très fâché contre moi d’avoir fait ce que j'avais fait ce jour là.

Il y a encore chose que je dois ajouter. Cela peut même faire un bon titre pour mon histoire :ce serait “la Punition de P’tit gars”. Ma sœur a gardé le nom de P’tit gars du premier jour quand elle me donnait mon lavement avec Hélène, c’est elle qui m’avait appelé de la sorte. Toutes les fois que les circonstances nous permettaient de nous donner un lavement, elle venait vers moi et disait :

« P’titgars je pense que nous avons besoin d’un bon lavement ! »

je n’ais jamais dis non.

Chimène et moi sommes devenus plus proches que jamais lorsque que nous avons découvert notre intérêt commun pour les lavements. Cette complicité à paru laissés nos parents perplexe, mais ils n’ont jamais compris pourquoi. Et nous ne leur avons jamais expliqué.

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