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Vues: 14637 Created: 2007.08.26 Mis à jour: 2007.08.26

La Servante Fessee

La Servante Fessee

Samedi soir, ma petite servante était en train de prendre un bain car, comme pour moi-même, je tiens à ce qu'elle aussi soit d'une propreté méticuleuse. Marie est dans mon service à peu prés depuis huit mois. C'est une jeune fille de 22 ans, assez jolie, de taille moyenne et d'une proportion agréable des membres. Elle est orpheline, et en conséquence bien contente de trouver une place agréable dans mon ménage. Lorsqu'elle entra chez moi, elle était presque absolument ignorante du service, mais peu à peu je suis parvenue à la styler selon mes besoins. Aujourd'hui, elle connaît déjà suffisamment ses fonctions, c'est-à-dire faire la cuisine, le nettoyage,...

En outre, je lui ai appris à m'aider à l'occasion à ma toilette intime. A maintes reprises, elle a donc pu se rendre compte de mon académie, soit au lit, soit au bain, soit à d'autres occasions aussi. Mais jamais encore je n'ai pu la décider à se mettre nue devant moi. Quand j'avais besoin d'un modèle féminin, je lui ai proposé de poser, mais elle s'est tellement récriée que j'ai renoncé à mon projet. Eh bien, la petite se baignait justement le samedi passé, et cela me donna l'occasion d'une inspection rapide de son armoire à linge.

Il est vrai que je la soupçonnais depuis un certain temps de porter mon linge à moi, car certaines pièces disparurent pour reparaître un jour aussi mystérieusement. Et que croyez-vous que mit à jour mon inspection? Pas moins de deux chemises et de deux pantalons qui me manquaient se trouvèrent dans le linge de ma servante! En fallait-il d'autres arguments? Certainement non, et vous comprendrez aisément que cette découverte me mit dans une colère assez explicable.

Lui signaler son renvoi? A quoi bon? Il m'aurait fallu simplement me priver moi-même d'un service accoutumé. D'ailleurs Marie a ses qualités dont la principale est sa discrétion absolue. Mais la laisser quitte pour une remontrance sévère, il ne fallait pas non plus y songer! Eh bien, me dis-je la situation n'est elle pas propice à l'initier dans un chemin encore inconnu? Et j'agis sans autres réflexions! Inconsciente de ce qui la menaçait, Marie pataugeait tranquillement dans la baignoire lorsque je fis soudain irruption dans la salle de bains.

La porte qui donne dans ma chambre à coucher manque d'un verrou, aussi je pus pénétrer chez la baigneuse sans avertissement. Me voyant entrer brusquement, Marie poussa un cri de surprise et croisant ses bras sur sa poitrine elle ressembla un peu à la Vénus du Capitole, visiblement embarrassée d'être ainsi surprise dans sa nudité. Sans prendre le moindre égard à sa confusion, je lui tendis simplement les corps du délit en questionnant:

- Voyez donc, Marie, ce que je viens de trouver dans votre linge! Ne voudriez-vous pas m'expliquer, ma chère, par quel hasard mystérieux se trouve subitement mon linge à moi dans le vôtre?

La jeune fille devint pourpre comme une pivoine et balbutia enfin:

- Je ne le sais pas... Mademoiselle!

- Ah, vous ne le savez pas?... Eh bien, je le sais moi, et cela me suffit! Écoutez donc je n'y tiens nullement à ce que mon personnel se pare de plumes étrangères! Je pourrais vous traiter de voleuse, vous flanquer à la porte et même prévenir la police, afin qu'elle s'occupe de vous...

- Oh, Mademoiselle... je vous en supplie!... Ne le faites pas. Je l'ai fait par étourderie et non par mauvaise volonté! Pardonnez-moi donc, je vous en prie...

- Je veux vous croire, Marie, que vous n'êtes pas malhonnête, mais vous m'accorderez sans doute que votre conduite mérite une punition exemplaire. Oui ou non?...

Un oui bien faible, bien confus répondit à cette question. Et je continuai:

- Bon! Nous voilà d'accord sur ce point! Écoutez donc ce que je vous dis! Vous avez le choix! Ou bien, je vous mets à la porte l'instant même, en prévenant la police, ou vous acceptez bien docilement la pénitence que je vais vous dicter!

- Pas de police! De grâce, ne me rendez pas malheureuse pour toute ma vie!

- Soit! Vous vous soumettez donc à la punition que je vais vous infliger?...

- Je l'accepte, pourvu que mademoiselle me garde à son service!

- Vous vous avouez donc coupable et d'avoir mérité une punition comme on l'infligerait à une petite fille étourdie? Oui? Eh bien donc, je vais vous punir de cette manière très sensible en vous administrant vingt-cinq claques sur votre joufflu!

- Oh! Mademoiselle!

- il n'y a pas de oh!... Réfléchissez bien, ma fille: ou bien vous acceptez cette condition, ou vous ne l'acceptez pas. Vous n'avez qu'à choisir. Je vous laisse cinq minutes pour vous décider! Si vous acceptez mon propos, vous n'avez qu'à sonner en sortant de la baignoire. Vous êtes justement dans la tenue la plus favorable pour recevoir une correction!...

Là-dessus je me retirai pour attendre dans mon atelier le signal indiqué. Il ne tarda pas à arriver. Un tintement très court, presque imperceptible de la sonnette vint m'annoncer au bout d'un instant que Mlle Marie avait pris sa décision. Alors je vins la retrouver dans la salle de bains. Marie avait quitté la baignoire comme je l'avais ordonné et s'était enveloppée de son manteau de bain pour sécher. Ce vêtement la couvrait complètement jusqu'aux pieds. En bas seulement se montraient les bouts de ses orteils roses, qu'elle a du reste d'une forme irréprochable et presque classique.

Se blottissant étroitement dans le tissu de laine, elle me fixa en sanglotant silencieusement. Une Madeleine expiante moderne! Je la contemplai avec un véritable intérêt artistique en songeant que j'aurai le plaisir d'admirer enfin l'académie de la jeune fille confuse. Après un instant de silence, je dis enfin:

- Quittez votre manteau de bain, Marie, et étendez-vous là sur la banquette!

- Mais... mais... alors je serai... je serai... complètement nue, Mademoiselle!

- Naturellement vous serez nue, ma fille, et nue comme un ver! Nue de la tête jusqu'aux pieds! Cela vous humiliera dans votre amour-propre et vous apprendra mieux que tout qu'une servante ne porte pas la main aux linges de sa maîtresse. Allons exécutez-vous! J'attends!

Alors, il y eut une nouvelle hésitation pénible, et il me fallut répéter ma sommation, avant que Marie se décidât à déployer lentement la couverture de sa nudité. Me saisissant alors du vêtement d'un geste rapide, je lui arrachai et voilà la gentille fille intégralement nue devant moi. La prenant par les bras, je la fis virer sur ses talons pour la pousser du côté de la banquette qui me sert d'habitude pour mes massages. Titubant sur ses jambes, Marie y tomba et y fut bien vite allongée de toute sa longueur. L'enlaçant par mon bras gauche au milieu du corps, et la soulevant légèrement, je lui fis bomber la croupe où se creusaient deux fossettes par la contraction nerveuse des fesses.

Et voilà que ma main droite vint s'aplatir soudain sur la surface pâle de ces deux joues jumelles avec un crépitement de coups de pistolet. Marie fit un sursaut brusque en poussant un grand cri, tandis que ma main se marqua distinctement en une marque rouge sur la surface de l'épiderme. Un !... Deux!... Et clac, clac, clac! Trois! Quatre! Cinq!... De plus en plus les fesses se rougirent au fur et à mesure que la correction se poursuivit avec une cadence bien mesurée.

Oh, je ne crois pas qu'elle fut même trop douloureuse car comme je ne fouettais qu'à main nue je ne pouvais certainement pas causer trop de dégâts. Seulement - et maintenant il rue faut vous faire un aveu personnel - ce contact étroit avec ce corps de jeune fille me fit trembler moi- même jusqu'aux bouts des orteils que je sentis remuer nerveusement dans mes souliers.

Car sous la grêle qui tombait sur ses fesses, Marie savait admirablement danser des fesses. Les crispant d'une part à faire disparaître presque complètement la raie médiane, les écartant un instant après à me dévoiler le secret intime de leur centre, elle remuait les jambes sans relâche tout en crispant spasmodiquement les orteils. Clac! Clac! Clac!... Vingt-trois!... Vingt-quatre!... Vingt-cinq!... Enfin c'était fini! Lâchant ma proie sanglotante, je lui laissai un moment de repos, en me repaissant la vue des soubresauts et des mouvements désordonnés de cette croupe couleur de feu.

C'était fini, en vérité, mais ce n'était fini que pour le premier acte, hélas! Car pendant que ma main gauche reposait sous le ventre de ma servante, j'avais cru m'apercevoir d'un état de tension inaccoutumé. Cela me suggéra bien vite l'idée de profiter des circonstances pour satisfaire ma curiosité dans la direction de l'autre sport aussi. Marie s'était mise sur son séant endolori en y passant sa main, tandis que les larmes lui coulèrent le long des joues.

- Marie, lui dis-je au bout d'un instant, il me semble que vous avez le ventre bien dur. Approchez donc un peu, ma fille, afin que je m'en convainque!

La fille obéit sans mot dire. Lentement, à petits pas, elle s'avança vers moi.

- Oh! je vois bien, lui dis-je au bout d'un instant. Il me faut certainement vous faire prendre un remède!

Restez comme vous êtes et allez préparer immédiatement l'irrigateur. Je vais vous administrer sur-le-champ un bon lavement qui vous guérira!

A l'énoncé des mots "irrigateur" et "lavement" Marie devint pourpre comme une cerise et essaya de récrier. La menace d'une seconde fessée la soumit vite à ma volonté. Intégralement nue, comme elle l'était, elle se mit à la besogne dont elle n'ignorait certainement pas les détails. Seulement, jusqu'à présent ses préparatifs n'avaient été admis qu'à ma propre personne, car, en effet, ce ne fut pas la première fois que ma servante m'ait aidé à prendre un clystère!

Mais cette fois, c'était pour elle-même qu'il lui fallut préparer l'instrument d'hygiène corporelle et, je vis clairement comme cette tâche la troublait. Je n'y fis pas même attention, suivant des yeux les mouvements de ce jeune corps nu, où reflétait la lumière électrique en des reflets clairs. Assise sur la banquette j'attendis avec patience que Marie ait terminé ses préparatifs. Enfin ça y était! Le récipient bien rempli, et le mécanisme monté, je forçai Marie à oindre de ses propres doigts la canule de vaseline, ce qu'elle fit visiblement confuse.

Alors je la fis prendre place sur la banquette. Seulement, cette fois je ne la fis pas s'allonger sur le ventre, mais se mettre à genoux, le buste appuyé sur ses coudes, et les fesses bien en évidence. Déposant l'irrigateur sur un guéridon voisin, je me saisis de la canule. Du pouce et de l'index de ma main gauche, je séparai largement les deux croissants de lune, d'un mouvement expert je logeai la canule qui glissa jusqu'à la garde et, la maintenant en place avec ma main gauche, j'ouvris de ma main droite le robinet.

Il y eut un petit gazouillement lorsque le piston commença sa course et le tuyau de caoutchouc se tendit par la pression du liquide. Et le jet tiède jaillit. Et "l'opérée", par ses soupirs et le gigotement de ses fesses, me prouva clairement que ce genre de traitement était loin de lui déplaire...

Le lendemain matin, m'apportant mon déjeuner au lit, Marie m'avoua, quoiqu'hésitante, que ç'avait été le premier clystère qu'elle eut pris de sa vie, mais qu'elle se sentait beaucoup mieux. Me garde-t-elle rancune? J'en doute. Evidemment sa colère ne peut pas être trop grande, car elle se montre d'un empressement absolument appréciable.

Cependant son trouble persiste encore. Chaque fois que nos regards se rencontrent, elle devient rouge comme une pivoine en détournant les yeux. Ma fille, je te promets que. tu t'accoutumeras avant peu à la fessée comme au clystère, car me voilà lancée dans un chemin où il sera difficile de trouver le retour...