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Vues: 16021 Created: 2007.10.27 Mis à jour: 2007.10.27

La Sieste

La Sieste

Par Charlène O.

Les histoires de cette série se passent dans une école de jeunes filles bcbg, l'Institut Ospif. Un univers de femmes. De femelles en chaleur, de salopes en rut. Où les jeunes filles de bonnes familles deviennent des lesbiennes déchaînées, tantôt par choix, tantôt par nécéssité.

Un univers féroce malgré la dentelle, où la jalousie n'est jamais loin et où la discipline de fer est une tradition...

Pour transformer ces jeunes filles en demoiselles bien élevées, Madame la Directrice a des méthodes bien à elle, et une imagination sans bornes. Elle adapte ses punitions tantôt corporelles tantôt psychologique aux personalités de ses élèves. Madame la Directrice manie aussi bien la cravache et le fouet que la poire à lavement et la culotte en caoutchouc...

Amanda découvre que toutes les siestes ne sont pas pareilles…

La nuit passée Amanda avait lu dans son lit en écoutant la radio, jusqu'à deux heures du matin. Et ce matin elle s'était assoupie en classe…

Madame Ghélains avait vu les cernes sous ses yeux et l'avait envoyée chez la Directrice, "pour une bonne sieste".

Gênée, la jeune fille avait frappé à la porte du bureau, espérant que la Directrice ne soit pas là, où qu'elle soit fort prise. Hélas, Madame la Directrice était bien là, et elle avait immédiatement envoyé Amanda dans ce qu'elle s'obstinait à appeler 'sa salle de bains'. Amanda avait dû attendre près de vingt minutes avant que la Directrice ne s'occupe d'elle.

En attendant, elle avait ouvert de grands yeux en découvrant cette énorme pièce entièrement blanche. Dans le coin il y avait un lit cage comme on voit dans les hôpitaux. C'est la seule chose qu'Amanda parvenait à associer à une sieste. Avec la table d'examen et les armoires remplies d'objets médicaux nickelés, on ne se serait pas cru dans une salle de bain, mais dans une salle d'opération d'un hôpital.

"Enlevez votre blouse, votre jupe et vos chaussures."

Amanda sursauta, elle n'avait pas entendu entrer la Directrice. Elle mit ses habits sur un serviteur muet, glissa ses chaussures sur l'étagère. Puis elle croisa les mains sur son bas-ventre, par pudeur. La Directrice abattit une parois de barreaux du lit cage.

"Couchez-vous. Vous avez mauvaise mine… Madame Ghélains a tout à fait raison de vous faire faire une sieste. Vous verrez, vous vous sentirez bien mieux après. A quelle heure avez-vous été vous coucher?"

"Euh, je ne sais plus très bien…" Elle grimpa dans le lit.

"Donc très tard, je présume…Vous vous êtes conduite comme une gamine, eh bien, je vais vous traiter comme une gamine… Couchez-vous sur le dos."

Les draps étaient frais et sentaient bon la lessive. Amanda était plutôt contente d'être couchée, elle sentit qu'elle ne mettrait pas longtemps à s'assoupir.

Entretemps la Directrice était allé chercher un grand verre de jus d'orange, ou du moins, ce qui semblait être du jus d'orange. Amanda le but d'un trait. C'était bon, mais il y avait un goût bizarre.

"Laissez-vous faire," lui intima la Directrice, "je vais vous préparer de façon à tirer le plus de profit de cette sieste." Elle revint avec une table roulante. Amanda ne put voir ce qu'il y avait dessus.

"Vous allez redevenir une gamine pendant quelques heures. Un petit enfant même. Et après ce traitement vous ne vous conduirez plus comme tel, je vous l'assure!"

Amanda se sentait moins tranquille: il y avait quelque chose dans la voix de la Directrice qui lui fit froid dans le dos.

La Directrice lui prit les mains et les attacha avec des menottes en toile renforcée qui étaient attachées à la tête du lit. De cette façon Amanda savait bouger librement les mains, mais ne pouvait pas aller plus bas que ses seins. Ses yeux s'agrandirent quand elle se rendit compte qu'elle était bel et bien attachée.

"On attache les mains des petits enfants, pour qu'ils soient bien sages…" fut le commentaire de la Directrice. Amanda devait être très fatiguée, car elle se sentait un peu dans les vapes. Elle ignorait que le jus d'orange n'était pas si innocent qu'il en avait l'air.

"Mais je…"

La Directrice lui coupa la parole: "Les petits enfants ne répliquent pas. Tenez, vous avez sûrement encore soif." Et elle lui tendit un autre verre de jus d'orange. Amanda voulut se relever pour boire, mais se rendit compte que c'était impossible à cause de ses menottes. Puis elle vit que le dessus du verre avait un couvercle en plastique, muni d'une sorte de tétine. Elle prit l'embout entre ses lèvres et suça. Aussitôt le jus de fruit coula dans sa bouche. "Chouette!" se dit-elle "avec ce truc on peut même boire couchée, ça au moins c'est le progrès!"

La Directrice était penchée au dessus d'elle et Amanda fut gênée que la femme la voie en petite culotte. Elle sursauta et manqua de s'étrangler dans son jus d'orange quand la Directrice lui baissa carrément la culotte! Instinctivement elle voulut mettre une main devant elle pour se couvrir mais se rendit compte à nouveau qu'elle était attachée.

"Les bébés souillent leur lit, nous n'allons pas courir le risque, n'est-ce pas?"

Amanda ne voyait pas où la Directrice voulait en venir. Elle était affreusement gênée.

La culotte alla rejoindre les autres habits sur le serviteur muet. Amanda était rouge de honte. Entre ses seins elle pouvait tout juste voir les poils de son ventre sur son mont de Vénus. Elle voulut protester mais l'énergie sembla lui manquer d'un coup. Elle se sentait vraiment fatiguée et eut de la peine à garder les yeux ouverts. "Elle a sûrement déjà vu d'autres filles à poil" se dit- elle sans réfléchir plus loin. C'était drôle, mais elle n'avait soudain plus envie de se battre, de protester, c'était tellement fatiguant…

Elle réagit à peine quand la Directrice la retournait sur le ventre. "Pour être sûre que les bébés ne sont pas malades, on doit prendre leur température." Amanda ne sut pas si la Directrice pensait à voix haute ou si elle s'adressait à elle. Elle ferma les yeux, continuant de téter le jus d'orange.

La Directrice lui ouvrit les genoux. Quand Amanda sentit qu'elle lui écartait les fesses, elle serra instinctivement les muscles, mais cela demandait tellement d'énergie, qu'elle abandonna très vite. Elle sentit aussitôt qu'on appliqua quelque chose de froid et de gluant sur son petit trou, puis il y eut un frottement qui n'était pas désagréable: la femme était en train d'enduire le muscle de vaseline.

Inconsciemment Amanda soupira d'aise quand la Directrice lui enfonça un doigt dans le conduit anal, lubrifiant le sphincter. Elle enduisit soigneusement l'orifice de vaseline, puis, remarquant aux soupirs de l'adolescente que ce toucher ne lui déplaisait pas, fit délicatement quelques mouvements de va et vient. Amanda remua ses hanches, venant à l'encontre du doigt qui la pénétrait. Gênée, malgré l'alcool que la Directrice avait mis dans le jus d'orange, Amanda cacha sa tête dans l'oreiller, mais ne fit rien pour chasser ce doigt fouillant son intimité. Au contraire, elle souleva le bassin afin de mieux se présenter. La jeune fille se rendit pas compte que son maintient était franchement obscène, le derrière nu en l'air, s'empalant sur le doigt de la Directrice, puis se retirant, puis revenant..

Elle eut un petit cri de dépit quand la Directrice retira son doigt. Celle-ci le remplaça aussitôt par un gros thermomètre rectal qu'elle enfonça profondément. Le verre froid fit sursauter Amanda. Lentement elle se laissa glisser jusqu'à ce que son ventre repose sur le drap, le thermomètre pointant de son corps comme une excroissance obscène. Entre les cuisses, l'orifice luisant de son sexe montrait clairement que le corps de la jeune fille appréciait le traitement.

Après quelques minutes la Directrice retira la thermomètre lentement, en tournant, provoquant un nouveau cri de souris. "36,6 . Parfait."

Elle farfouillait à nouveau entre les fesses de l'adolescente, ouvrit le muscle anal, puis y glissa un assez gros suppositoire, puis un deuxième. Du bout du doigt elle les poussa aussi loin qu'elle put dans le conduit étroit. Amanda gémit, puis soupira, se battant contre le sommeil. Elle ne rendit pas compte de ce la Directrice lui avait mis dans le rectum. L'attouchement rectal lui avait été plus qu'agréable et elle se sentait légèrement euphorique, bien qu'une petite voix essayait de lui dire que ce que la Directrice venait de faire, n'était pas permis, qu'elle n'aurait jamais pu se laisser faire de la sorte…

Amanda protesta quand la Directrice la retourna sur le dos, mais n'eut plus la force de résister. Elle sourit, les yeux toujours fermés, quand la femme lui écarta les genoux, puis les releva en 'pose grenouille'. Autant se laisser faire: elle était incapable de se débattre et en plus, c'eut été tellement fatigant…

La Directrice travailla vite et bien: en quelques minutes elle avait enduit la vulve de la jeune fille de crème à épiler, provoquant de petits cris gênés quand elle touchait des endroits sensibles. Puis la femme avait gratté la crème avec un petit ustensile en plastique vert, emportant les poils. Quand elle eut fini de rincer l'entrejambe avec un gant de toilette, Amanda était glabre comme un nouveau né. L'adolescente n'était pas consciente du fait que tous ses poils pubiens étaient partis, mais sentait très bien que sa vulve était devenue beaucoup plus sensible qu'elle ne l'était déjà. Elle ne réfléchit pas plus loin, et gémit à nouveau de plaisir quand les mains habiles de la Directrice l'enduisirent d'huile de bébé odorante. Chaque pli, chaque recoin de chair fut soigneusement badigeonné. Dans un sursaut de lucidité Amanda se rendit compte qu'elle avait les genoux relevés et écartés, et que donc elle exposait largement son intimité aux regards de cette femme, mais elle n'en avait cure, elle se sentait si bien… "La Directrice sait s'y prendre avec ses élèves," se dit-elle encore.

"Levez votre derrière!". Cela lui couta un effort prodigieux pour lever les fesses. La Directrice glissa quelque chose sous le derrière d'Amanda.

"Je vais vous mettre une couche-culotte. Vous êtes redevenu une petite fille, maintenant. Vous allez faire une longue sieste. Puis je reviendrai vous chercher."

Malgré l'alcool Amanda sursauta et voulut empêcher la Directrice de lui mettre cette chose infâme, mais la femme la repoussa sans peine. Amanda se mit à pleurer doucement. Elle était bel et bien à la merci de cette femme diabolique. La couche-culotte avait une drôle d'odeur chimique, qu'elle reconnaissait vaguement. Ses lèvres tremblaient en un rictus honteux quand la Directrice replia la couche sur son ventre. Elle se sentit soudain affreusement ridicule avec cette couche-culotte de taille adulte. On aurait vraiment dit qu'elle était redevenue un bébé.

La couche était douce et horriblement chaude: dès que la Directrice eut collé les fermetures, Amanda sentit qu'elle transpirait abondamment sous la couche. A nouveau sa résistance diminua. Elle se sentit bien, au chaud, protégée, à l'abris de tout, et se laissa aller à sa torpeur.

"Maintenant la culotte!"

La Directrice lui mit une grande culotte en plastique d'un blanc laiteux, qu'elle ferma avec des boutons-pressions. De larges élastiques fermaient la culotte à la taille et aux ouvertures des jambes, la rendant parfaitement étanche. Le plastique fit un drôle de bruit quand Amanda bougeait. Elle sentait très bien les élastiques serrer la peau de son ventre et de ses cuisses: la couche-culotte se trouvait entièrement recouverte par la culotte. Comme cela il n'y avait pas de risques de fuites.

Puis la femme releva les barreaux du lit cage.

"Vous voilà prête pour votre sieste. Je vais éteindre la lumière et vous allez dormir. Si vous dormez sagement, vous serez à nouveau une grande fille…"

La Directrice quitta la pièce, laissant Amanda prisonnière dans son lit cage.

Dès que la porte fut fermée, la jeune fille se regarda le ventre dans la pénombre: l'énorme culotte était grotesque. Elle qui ne portait que de petites culottes fines! On aurait dit un Bibendum. Le gros paquet entre ses cuisses l'empêchait de fermer les jambes. La transpiration abondante dans la couche étanche lui donnait l'impression d'être trempée, mais comme ses mains étaient attachées, elle ne pouvait même pas sentir dans sa couche.

Amanda essaya de se relever. Rien à faire. Puis elle tira sur ses liens. Rien à faire non plus, c'était de la toile solide et il lui aurait fallu des ciseaux ou un couteau pour la trancher. En plus, la jeune fille se sentait très fatiguée; sa résistance à la Directrice quand celle-ci lui avait mis cette couche-culotte l'avait éreintée. Elle décida de prendre son mal en patience et de voir les choses du bon côté: elle échappait aux cours de l'après-midi et pouvait rattraper ses heures de sommeil. Elle se laissa donc doucement glisser vers une agréable torpeur…

Hélas, avant même de s'endormir elle sentit un besoin naturel se manifester. Sa vessie se signalait… Probablement qu'Amanda avait bu trop de jus d'orange…

"Il faudra tenir jusque après la sieste", se dit-elle.

Mais très vite un autre besoin se fit sentir: elle devait aller à la 'grande' toilette: une crampe dans son bas-ventre lui fit savoir qu'elle ne devrait pas attendre trop longtemps...

C'est alors qu'elle comprit. En une fraction de second elle fut dégrisée. C'était diabolique! La Directrice l'avait attachée et langée justement pour qu'elle ne puisse pas aller à la toilette! C'est aussi pour cette raison qu'elle lui avait donné deux grands verres de jus d'orange… D'ailleurs, il avait eu un goût bizarre, ce jus d'orange… Et ce qu'elle lui avait mis dans le derrière, c'était quoi alors? Très vite une crampe lui apporta la réponse: cette horrible femme lui avait mis des suppositoires laxatifs dans le petit trou!

L'adolescente se débattit de plus belle, mais ne parvint pas à se libérer. A chaque mouvement la culotte en plastique faisait un bruit honteux dans le silence de la pièce…

Entre les élastiques de la taille et ceux des ouvertures pour les jambes, Amanda était comme dans une gangue chaude et humide. C'était affreusement frustrant de ne pas pouvoir repousser cette énorme chose que la Directrice avait mis entre ses jambes, cet énorme paquet qui faisait office de culotte. En vain Amanda tenta d'enlever sa couche-culotte en se frottant contre les draps, mais chaque fois elle glissait. A la fin, épuisée, elle abandonna, pleurant en silence.

Sa gymnastique lui avait fait oublier que sa vessie était pleine et que les suppositoires commençaient à faire leur travail… Elle se mordit les lèvres, se frotta les jambes l'une contre l'autre pour ne plus sentir cette pression dans son ventre, mais en vain, dès qu'elles'arrêtait de bouger, le besoin se fit plus pressant.

Amanda secoua la tête, elle n'allait quand même pas…?

Elle refusait de donner satisfaction à la Directrice qui avait fait toute cette mise en scène juste pour l'humilier, pour qu'elle soit obligée de se souiller…

Mais la pression dans sa vessie devint intenable. Elle ouvrit les genoux largement pour donner à sa vessie un peu plus de place, mais se rendit compte qu'alors elle risquait de ne plus savoir contrôler son petit trou… Affreux dilemme…

Ses reins commençaient à faire mal, n'arrivant plus à évacuer l'eau qu'ils filtraient.

Et si elle faisait un petit pipi, juste un petit filet…? La Directrice ne verrait rien: un peu d'urine serait immédiatement absorbé par la cellulose et deviendrait invisible, surtout qu'avec tout le jus d'orange qu'elle avait bu, le liquide devrait être tout clair et donc ne ferait pas de marques jaunes sur la couche. Quand la plante de ses pieds et le dessus de ses mains se mirent à picoter tellement le besoin d'uriner fût pressant, elle serra les dents, décidée à relâcher un peu de l'affreuse tension dans sa vessie… Elle se laissa aller… Mais rien ne venait! Depuis les années qu'on lui avait appris à être propre, elle ne pouvait pas uriner comme cela, habillée et couchée, malgré la pression qui devenait lancinante. Il lui fallut se relaxer avant de pouvoir enfin se laisser aller.

"Aaahhh!" cria-t-elle de soulagement, sentant l'affreuse pression graduellement diminuer. Elle gémit de bien-être, sentant confusément que son 'petit pipi' était devenu un pipi-fleuve et que même si la Directrice était soudain devenue aveugle, elle verrait tout de suite qu'Amanda, la grande bringue, avait fait pipi dans son lange comme un bébé. Pas moyen d'arrêter cette cataracte: c'est comme si son sphincter se vengeait: "tu m'as fait attendre, eh bien, maintenant je ne t'obéis plus!"…

Le liquide brûlant se dispersa dans la couche, réchauffant encore un peu plus son ventre. Elle était mouillée du nombril aux reins. La sensation était drôle: elle faisait pipi, mais rien ne coulait en dessous d'elle, le lit semblait rester sec. Le bonheur se mua en désespoir en pensant à la scène que la Directrice ne manquerait pas de lui faire quand elle viendrait la sortir de son lit- cage. Elle pouvait déjà s'imaginer les commentaires humiliants…

Une nouvelle crampe l'empêcha de continuer ses réflexions. Elle avait l'impression que son ventre était un ballon. Comme la couche était trempée et chaude après cette cataracte, elle ne se rendit pas tout de suite compte que la dernière crampe avait fait des dégâts. Lors de la crampe suivante elle sentit une giclée entre ses jambes et sut que ce ne pouvait pas être du pipi… Morte de honte elle ferma les yeux et cessa de se battre. Elle se mit à sangloter convulsivement. Elle ouvrit les cuisses et se laissa aller. Elle se soulagea les intestins en de long jets brûlants…

Des heures plus tard, la Directrice trouva Amanda profondément endormie, couchée sur le dos, les jambes largement écartées de peur de faire déborder sa couche pleine…

Copyright: © Charlène O. (février 2001)