Je suis un homme de 34 ans et j'ai fait la connaissance de Vincent, 23 ans, dans un café du quartier Saint-Germain-des-Prés à Paris.

Nous nous sommes ren-dus chez lui; Vincent m'a tout de suite fait part de son goût pour les lavements; j'ai accepté de lui en faire un quoique je ne l'ai jamais fait avant; je me souviens qu'il bandait en remplissant l'instrument dans la salle de bains.

Quant à moi, je l'attendais en me masturbant sur son lit. Lorsque tout a été prêt, il a placé une alèse en caoutchouc sur le couvre-lit, et il s'est agenouillé en levrette les cuisses écartées, sur le bord du lit.

J'ai approché la canule en ébonite noire de l'orifice de son anus; il se trémoussait de plaisir pendant que je lui enduisais l'anus de vaseline; au moment ou j'ai enfoncé la canule, un peu d'eau chaude s'est échappée et a coulé entre ses fesses, ce qui a paru lui plaire.

En ce qui me concerne, j'avais hâte que le lavement passe pour introduire ma verge entre les plis boursouflés de son anus tout congestionné par la présence de la canule et du liquide qui passait.

J'ai glissé ma main entre ses jambes; il bandait dur; je l'ai masturbé à gestes lents pour qu'il n'éjacule pas trop vite; puis je me suis approché de lui et je lui ai placé ma verge entre les cuisses, le gland tout contre les testicules. Le lavement était maintenant entièrement passé.

J'ai retiré rapidement la canule de ses fesses, posé le bock vide sur la table de nuit, et je suis revenu derrière lui, le sexe tendu.

Il a cambré les reins un peu plus sans changer de position; je lui ai écarté les fesses au maximum avec les mains pour mieux dégager l'anus, et d'une seule poussée je lui ai enfoncé toute ma verge sans qu'il ne résiste; il a gémi faiblement quand j'ai commencé à aller et à venir entre ses fesses, se redressant pour mieux voir mon membre disparaître en lui; j'avoue que ce qui m'a le plus excité sur le moment, c'est la chaleur de l'eau du lavement toujours présente dans son rectum; cela me chatouillait délicieusement le gland à chaque poussée de la verge; de même, chaque mouvement en arrière de mon sexe s'accompagnait d'une giclée d'eau chaude contre mes testicules qui accroissait encore mon excitation.

Quand j'ai senti venir l'orgasme, je me suis penché sur son dos, j'ai saisi sa verge à deux mains et je l'ai masturbé vigoureusement; il a serré les fesses en gémissant et c'est à peine si j'ai senti son sperme jaillir, entre mes doigts, au moment où, serré contre lui, le sexe immobile enfoui dans son ventre, j'ai éjaculé dans la tiédeur humide de son rectum...