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Vues: 5346 Created: 2007.07.11 Mis à jour: 2007.07.11

Lavement et Martinet

Lavement et Martinet

Ma frigidité a été vaincue par la flagellation et j'adore le martinet. Cela tient sans doute à la nature de l'instrument et à la manière de s'en servir. De toutes les manières d'être «corrigée» voici celle que je savoure particulièrement: recevoir, nue, à genoux et blottie, le martinet sur les fesses.

Il y a d'abord l'excitation de se dénuder, en conservant ses bottes, symbole de l'autorité, mais de l'autorité maintenant bafouée, la délicieuse humiliation de se jeter a genoux devant le «maître», l'agréable sensation des reins qui se cambrent et des formes qui saillent, le claquement du martinet, instrument de correction par excellence, sur les fesses, siège de la pudeur et de la volupté à la fois.

Lorsque je suis agenouillée sur la moquette, appuyée au bord du lit ou d'un fauteuil, mon mari se place derrière moi, assez près pour ne pas avoir à frapper violemment. Les coups de martinet qu'il m'applique sur les fesses ne me causent aucune douleur, mais une vive excitation qui me permet ensuite un orgasme parfait.

Moi, qui suis plutôt fière et autoritaire dans la vie courante, j'éprouve de fortes sensations à m'humilier et à me soumettre avant les ébats amoureux. J'éprouve alors une joie indicible à m'agenouiller ou même à me prosterner, fesses largement écartées, soit pour recevoir le martinet, soit pour me faire administrer un lavement, car, comme beaucoup d'entre-vous, j'ai découvert, moi aussi, le pouvoir érotique du lavement; soit, enfin, pour le coït vaginal ou rectal.

J'ai même constaté que l'anus et les fesses sont des zones particulièrement érogènes; c'est pourquoi je souhaite comme prélude aux relations sexuelles avoir préalablement reçu le martinet ou un lavement, ou encore mieux Si nous disposons d'un temps suffisant, les deux à la fois. Je préfère le bock à injection à la poire, car cela prolonge le plaisir; en outre, le tuyau de caoutchouc me fait l'effet d'un long fouet.

Ensuite, toujours dans la même posture, les cuisses largement écartées, je reçois le martinet sur les fesses ce qui me donne une excitation inouïe, car dans cette position, je dois faire un effort surhumain pour retenir le lavement. Et c'est d'ailleurs le «maître» qui décide du moment où je puis me rendre à la salle de bains, de plus, il m'oblige à y aller à genoux, ce qui exige un contrôle extraordinaire de mes sphincters, mais me donne une délicieuse appréhension. Revenue à la chambre. je connais alors plusieurs orgasmes successifs sous les étreintes de mon mari, devenu maître amoureux.

Danièle, Lille

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clyso Il ya 5 ans