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Vues: 13969 Created: 2007.08.03 Mis à jour: 2007.08.03

Le Chantage de Josiane

Le Chantage de Josiane

Par Roxanne.

Je m'appelle Roxane, j'ai 44 ans et j'habitais Genève au moment des faits. Aujourd'hui je réside en montagne non loin de Genève en Haute Savoie. J'ai trouvévotre site extraordinaire, J'ai écrit mes derniers soucis alors je vous propose d'en faire part aux autres amateurs de votre site..

La semaine suivante, André a dû s'absenter pour des raisons familiales. Tous les jours à la cantine de l'entreprise, je me tenais sur le qui-vive. J'évitais Josiane, sachant qu'elle avait une grande emprise sur moi, je ne voulais surtout pas accepter une soirée érotique en tête-à-tête avec elle. André avait été très clair pas question de profiter de mon corps et de mon vice sans sa présence. Il s'était érigé en protecteur. Josiane avait accepté, lui promettant tout ce qu'il exigeait.

Elle me tournait autour comme une buse en chasse. Je ne supportais pas les messes basses qu'elle tenait avec ses amies et amies tout en fixant son regard dans ma direction à la cantine et dans les couloirs. Mon calvaire a malheureusement été prolongé, André a été retenu plus longtemps que prévu.

Un jour tout de même, j'ai reçu en copie, un E-Mail de mon André. Il donnait de ses nouvelles et annonçait son retour pour le week-end suivant. Il précisait qu'après une si longue privation de nos caresses, il serait heureux que nous organisions une partie fine Josiane et moi pour son retour. Il rappelait que cela pourrai avoir lieu chez lui étant donné que Josiane détenait la clef de son appartement.

Le message ne m'étant pas directement adressé, je n'ai rien répondu. Seulement le lendemain je reçois copie de la réponse que Josiane lui a faite.

Elle prétend ne pas pouvoir être à Genève ce week-end et qu'elle prenait les dispositions pour que je me trouve dans sa villa ou elle me préparerait pour lui faire une fête digne de nos connivences.

J'ai trouvé un peu cavalier cette imposition, mais j'étais tellement heureuse de retrouver mon compagnon que je me préparais mentalement à accepter.

Dans l'après-midi, mon téléphone interne sonne. C'est Josiane qui m'appelle. Elle s'assure que j'ai bien reçu les copies des messages. Je réponds par l'affirmative. Alors tout de go elle me dicte son programme.

- Ma chérie ! Vendredi, c'est en ordre avec ta cheffe de service, tu quittes ton travail à 15h00 et me rejoins dans le parking de l'entreprise, vers ma voiture. Nous passons chez André récupérer certains objets que tu connais et qui s'y trouvent, puis ont file chez moi ! Il devrait nous rejoindre samedi dans la journée ou au pire dimanche matin ! Sois à l'heure si non gare !

Sans même me laisser le temps d'articuler une réponse, elle raccroche.

Le vendredi après-midi, la responsable du bureau, s'approche de ma place de travail et avec un petit sourire qui sème le doute dans mon esprit sur ce qu'elle peut bien savoir, me déclare :

- C'est l'heure mademoiselle ! Vous rappelez-vous que vous partez plutôt aujourd'hui ! Allez-y, je m'occupe de votre PC !

- Non ! Non ! Merci madame, j'ai bien le temps de tout ranger ! Merci !

Je ne voulais surtout pas qu'elle fouille dans mes fichiers, naïvement je veux toujours croire que mon ordinateur est protégé par mon mot de passe.

Au sous-sol, dans le garage, je cherche l'automobile de Josiane en vain. Les minutes passent et j'arpente les rangées de voitures. J'avais cinq minutes d'avances, maintenant j'en ai cinq de retard. Décidément je ne la trouve pas et je prends la direction de la sortie. A dix mètres de l'ascenseur, je suis aveuglée par les grands phares d'une voiture. Je me précipite dans le faisceau de lumière, la main sur le front pour me protéger de la lumière. Idiote ça ne sert à rien, les lumières sont de face. A quelques pas du véhicule, je sursaute et mon cœur s'arrête dans ma poitrine, un coup de Klaxon me brise les tympans. Je reprends mes esprits et ouvre la portière après m'être assurée que Josiane est bien à la place du conducteur.

- Six minutes de retard ! Ca me donne l'avantage de t'infliger une petite punition ! On verra ça plus tard !

La voiture démarre avant que je referme complètement ma portière !

- Mais Madame ! J'avais cinq minutes d'avance !

- Oui mais pas les yeux en face des trous !

La circulation est fluide et en un rien de temps nous nous garons au pied de l'immeuble d'André.

Josiane s'empare d'un immense sac de sport et me presse de descendre de l'auto.

- Allez nous n'avons pas de temps à perdre ! J'ai encore plein de courses à faire.

Dans le bel appartement, elle sort de son sac une jupe porte feuille ultra mini.

- File sous la douche ! Au lieu de rester plantée là, le regard bovin !

Je connais les lieux et sans mot dire, j'entre dans la salle de bain. Je me retrouve nue sous l'eau tiède. Josiane me crie de ne pas perdre de temps depuis l'autre pièce.

Pendant que je me sèche, elle entre en trombe, se saisi de ma jupe et de ma culotte et dépose à la place, la jupe portefeuille qu'elle a apporté.

- Eh ! Je n'ai pas de culotte de rechange ! Et vous êtres sûr que cette jupe va m'aller !

- A partir de cette minute ! Tu oublies les culottes et pour la jupe si elle me va, elle doit t'aller aussi, tu as les fesses plus petites ! Allez, je t'attends !

Je parviens à ajuster le vêtement mais il m'arrive au raz des fesses. Me promener comme ça sans culottes me gêne énormément.

Au moment ou je retourne au salon, elle termine de remplir son grand sac. Tout y est, les bâtons qu'André utilise pour m'attacher les jambes ou les bras écartés, tous les gadgets qu'il a bricolé, les faux sexes de plastique, les objets vibrants etc…

Elle referme la porte, nous descendons, sur le trottoir je tiens le bas de ma jupe pour qu'elle ne découvre pas mes fesses sous le vent. Je m'engouffre précipitamment à l'intérieur de la voiture.

Sortie de la ville, le bitume de l'autoroute est avalé sous le capot de l'auto qui file à vive allure. Nous sortons pour entrer dans le parking du grand centre commercial que je connais déjà.

- Allez ma fille ! Viens m'aider ! Il faut acheter pour trois jours !

- Ah non ! Il n'en est pas question, on voit mes fesses sous la jupe ! J'attends ici ! Pour rien au monde je vais m'exhiber !

Josiane se rassoit sur son siège !

- D'accord ! Tu ne veux pas obéir ! Je mets ça sur le compte ! Penche-toi en avant ! Allez !

De sa main posée sur ma nuque elle me plie contre le tableau de bord.

- Passe tes mains dans ton dos !

J'ai d'abord cru qu'elle allait me gifler et sous le coup de cette peur je me laisse courber en avant et mets mes mains comme elle me le demande. Clac et Clac elle m'a passé les menottes qui se trouvaient dans son sac à main et m'entrave les poignets dans le dos.

- Voilà comme ça je suis sur que tu ne feras pas de bêtises.

- Mais vous n'allez pas me laisser attachée et enfermée dans la voiture !

- Oui ! Je vais même faire mieux !

Elle déboutonne les quatre premiers boutons de mon chemisier, et échancre les pans. Le tissu est retenu par la ceinture de sécurité et j'ai pratiquement les seins exposés aux regards extérieurs. Je ne parle pas de mes cuisses qui ne sont pas du tout cachées par la jupe trop courte. Du côté du siège conducteur, elle s'ouvre et laisse voir ma cuisse presque jusqu'à la taille. Je commence à m'affoler.

Josiane rit franchement et m'enferme dans la voiture à clef.

Nous sommes parquées presque devant l'entrée du super marché et les clients frôlent tous la carrosserie. Je regarde Josiane s'engouffrer dans le magasin, je reste immobile pour passer le plus inaperçu possible. Je surveille le regard de chaque personne qui s'approche, espérant ne pas être découverte. Je serre mes cuisses l'une contre l'autre car l'ai l'impression que l'on pourrai voir mon entrecuisse.

Je suis hyper tendue, sur la montre de bord je m'aperçois que cela fait trois quarts d'heure que je suis ici et avec le soleil, la chaleur monte dans l'habitacle. J'ai les fesses et les cuisses moites et je sens la sueur couler entre mes seins. J'ai l'impression de suffoquer. Je m'applique à contrôler ma respiration mais je ne peux rien faire pour les battements de mon cœur.

Je commence à paniquer quand je constate qu'un homme chauve, passe trop souvent à mon goût, près de ma voiture. Il déambule, les mains dans le dos, l'air de ne pas me voir. Il s'éloigne, observe la faune des clients affairés et sans regarder dans ma direction repasse à proximité. J'essaie de l'apercevoir dans le rétroviseur, mais son orientation n'est pas favorable. Raide comme un piquet, je me force à l'immobilité. La silhouette de l'homme m'apparaît du côté conducteur maintenant. J'essaie de rentrer la poitrine pour tenter de permettre aux pans de mon chemisier de se rabattre, sans succès. Il fait encore un tour par l'avant, feint de chercher quelqu'un du regard en direction de l'entrée du centre commercial.

Soudain il se retourne et me regarde franchement, à cinq mètres du capot. Je fais comme si je ne m'en étais pas aperçus et regardais ailleurs. Quand il recommence sa marche tranquille dans ma direction, je baisse les yeux, terrorisée. Je sens sa présence mais je ne veux pas le voir. Je compte jusqu'à cinquante avant de le chercher du regard. Il a disparu et je me détends un peu. Je constate que le tissu sur mon ventre et mouillé de transpiration. Quand je relève la tête, il est à nouveau du côté conducteur, plus près encore qu'avant. Nos regards se croisent et il me sourit. Poursuivant sa promenade il passe de plus en plus près des vitres, il me jette des regards furtifs, je ne sais plus ou me mettre. Je prie pour que Josiane revienne mais j'ai beau scruter l'entrée, je ne la vois pas revenir. Je suis complètement terrorisée.

L'homme arrive par derrière à ma droite et plonge son regard sur moi. Heureusement il ne s'arrête pas et continue son manège. Je suis sur le point de suffoquer. Contournant l'avant, il vient m'observer par la fenêtre conducteur. Il sourit, repart, contourne la voiture et vient pratiquement poser son front contre la vitre du passager. Attachée incapable de me couvrir, je suis désespérée. Quand il repart, son front a laissé une marque de gras sur la vitre. Il m'observe par-devant maintenant. J'ai de plus en plus chaud, je voudrais glisser sous le tableau de bord.

Sauvée, je vois Josiane s'approcher. Elle arrive un immense sourire aux lèvres. Elle longe la voiture en me regardant comme pour juger de l'effet que je produis. Elle ouvre le coffre et dépose ses cornets.

- Elle vous plaît ? Ca vous fait tout chaud dans le pantalon ! Hein !

Salope, en plus elle l'aguiche. Il ne répond rien et me regarde avec un sourire moqueur.

La portière s'ouvre, elle s'installe.

- Pfououou ! Quelle chaleur !

Elle lance le moteur et branche la climatisation.

- Petite cochonne ! Tu t'es fait un copain ! Mon dieu tu es trempe ! Viens, je vais t'arranger ça !

Penchée sur moi, elle ouvre mon chemisier en grand et dévoile complètement mes seins luisants de sueur. Le type s'approche les yeux ronds. Elle attend quelques secondes qu'il soit plus près et me regarde bien puis elle démarre lentement pour qu'il ai le temps de bien me mater. Je la traite de salope et fond en larmes. Elle rit et se moque.

Tout en guidant la voiture, elle dirige toutes les buses d'air froid sur moi, c'est glacé et je commence à grelotter.

- S'il vous plaît ! J'ai froid maintenant !

- C'est pour éteindre le feu qui brûle dans ta chatte ! Ma fille !

Je claque des dents quand je reconnais la villa, devant. La voiture s'engage sous l'auvent, Josiane débarque, ouvre le coffre et disparaît dans la maison chargée des achats. Dix minutes plus tard elle vient me chercher. Sans être détachée, je suis poussée à l'intérieur de la maison.

- Monte dans ta petite chambre et couche toi à plat ventre sur le lit, les jambes écartées ! J'arrive ! Je reste dans la position, guettant les bruits. Je me détends peu à peu les yeux fixés sur la fenêtre. Quand elle entre dans la pièce, je reste immobile. Ma cheville droite est saisie, entourée d'un bracelet et fixée au pied du lit. Idem pour mon autre cheville. Ma jupe est dégrafée et glisse sous mon ventre, j'ai les fesses à l'air. Mon chemisier et remonté sous mes mains attachées. La fille passe alors une corde entre mes poignets attachés et l'allongeant au- dessus de ma tête, elle la passer autour d'un barreau de la tête du lit et tire. Mes poignets remontent dans mon dos. Elle tire jusqu'à ce que je couine, jusqu'à que j'ai mal.

Les coudes écartés, les poignets dans le milieu du dos, j'attends persuadée qu'elle va me fesser.

Elle sort de la pièce, vaque dans la salle de bain et revient. Je ne cherche même pas a savoir ce qu'elle fait. Le matelas s'enfonce, elle est assise, sa main se pose sur ma fesse, je sursaute, j'attendais un coup. Une pointe froide se pose sur mon anus.

- Non ! Pas là ! Je vous en prie !

- Et alors ! Tu as envie de boire, c'est de la glycérine !

En un éclair je comprends, je vais avoir droit à un lavement. J'essaie bien de me débattre et surtout de serrer les fesses mais les jambes ainsi écartées laisse mon œillet sans défense.

Quand je sens la canule s'enfoncer dans mes entrailles, elle passe si facilement que toute résistance est inutile.

- Aïï !

Une partie plus large a eu plus de peine à passer mais la progression s'est arrêtée, je ressens une piqûre très profond dans mon colon. Une sensation de froid envahi mon fondement. Je tourne la tête tant bien que mal pour essayer de me rendre compte de la quantité qu'elle va me faire absorber. Horrifiée, je découvre qu'elle tient un récipient d'au moins 2 litres.

Elle me regarde radieuse, la sensation de froid se propage de plus en plus loin dans mon ventre, je respire fort. Quand la moitié du liquide a disparue dans mon ventre, je ressens les gargouillis presque jusqu'au sternum.

- Assez ! S'il vous plaît ! Assez !

- Ah ! Ah ! Je t'en remets l'équivalent et cela ressort par ta bouche ! Hi ! Hi ! Tu aimes ?

Je ne réponds pas, les yeux fixés sur le niveau du bocal de plastique. Tout mon bas ventre est gelé.

Josiane pose le récipient vide sur le lit et me présente une sorte de bouchon à la forme d'une toupille. Je comprends ou elle à l'intention de le mettre.

- Non ! Par pitié ! Je vous en prie !

- Pas d'affolement ! Ma belle ! Ca va passer comme une lettre à la poste ! Suffit de me pas résister.

Elle bouge la canule et cela me provoque des petites douleurs à l'intérieur.

- Serre les fesses quand je la retire ! Je ne veux pas une goûte sur le lit ! Et pousse quand j'enfilerai le bouchon !

Je ne sens pas la canule glisser hors de mon anus, en revanche quand la pointe du bouchon me perfore c'est une autre paire de manche. Je serre les fesses par reflex.

- Pousse, je te dis ! Pousse !

Je ferme les yeux, crispée ! J'ai peur que le liquide sorte. Une magistrale claque sur la fesse en même temps qu'une forte pression sur l'objet, mon cri vaut autant pour la fesse qui brûle que par la trop forte dilatation de ma rondelle, subitement distendue. Une fois l'objet passé, le sentir avalé par le muscle anal, devient délicieux.

- Bon ma Fille ! Va falloir faire remuer tout ça ! Il faut secouer pour bien nettoyer.

Son visage s'approche du mien, elle me bloque la tête en empoignant mes cheveux.

- Il y a deux solutions pour te faire remuer ! Te faire jouir ou te fesser ! J'avais l'idée de te faire jouir, mais ton retard et ton refus, me commande la fessée ! Alors prépare-toi mentalement j'arrive !

Elle m'abandonne tandis que j'enrage ! Je n'aurais jamais dû accepter de venir chez elle sans la présence d'André. Je l'entends revenir.

- Je ne te bâillonne pas ! Ici tu peux hurler de tout tes poumons ! Comme tu le sais les premiers voisins sont à plusieurs kilomètres !

Elle me dévisage, tapotant dans la paume de sa main, la tranche d'une raquette de tennis de table. Je me mets à trembler.

Elle reprend place sur le bord du lit et commence à caresser l'intérieur de mes cuisses. Ses mains sont douces et elle me caresse vraiment délicatement, c'est doux c'est chaud ça m'excite. Je me détends et m'abandonne. Ses doigts longent la fente de mon sexe et mon excitation se traduit par un léger roulement de mon bassin.

Soudainement, elle abat la raquette avec force et régularité, frappant du creux du genou jusque sous la fesse.

- Hum ! Hum ! Ouïï ! Hum ! Aï !

Je rue et me mords les lèvres. Dans mon ventre toute la masse de liquide s'imprime dans mes flancs et mon ventre. Mes cuisses commence par chauffer puis à brûler, Elle soigne les recoins, refrappe les endroits les plus sensibles. Je tente de retenir mes cris mais chaque coup est une surprise et je ne me contrôle plus. Elle ne cesse que quand mes cris sont devenus une longue plainte presque régulière.

Les caresses reprennent, la sensation en mille fois plus douce qu'avant, je les trouve même fraîches, je me calme. Tout l'arrière de mes cuisses est caressé délicatement, quelque fois elle laisse ses doigts effleurer mon petit abricot, ses ongles crisser sur mes poils pubiens, je roule des hanches et écrase sa main entre mon ventre et le lit. Un doigt s'insinue délicatement entre mes lèvres intimes et me perfore délicatement. Il ressort.

- Petite putain ! Tu aimes ça ! Ca te fais jouir !

Je lâche un long soupire.

- Hum ! Hum ! Ouïï ! Hum ! Aï !

Les claques s'abattent sur mes fesses cette fois. Je recommence à ruer et à geindre. Elle tape beaucoup plus fort et les larmes embuent immédiatement mes yeux. Je hurle carrément quand la raquette frappe le bouchon qui m'obstrue l'anus. Josiane y revient régulièrement. Je l'implore et la supplie. A chaque coup je serre les fesses et mon anneau cuiller me brûle et m'envoie des décharges de douleur.

Mes rotules me brûlent également à cause du frottement sur les draps. Quand enfin la punition s'arrête, j'ai les fesses en feu. Je renifle, j'ai le souffle court et les sanglots secouent tout mon corps.

- J'espère que tu as compris qu'il ne fait pas bon me refuser quoi que ce soit ! Compris !

Je hoche la tête.

De sa main, elle dégage les cheveux ébouriffés qui couvre mon visage et du doigts elle étale les larmes sur mes joues.

- Humm ! Hum !

Sa main remue le plug qui bouche mon anus, comme pour s'assurer qu'il tient bien. Evitant de toucher mes fesses, elle caresse l'intérieur de mes cuisses et effleure les lèvres de me sexe. Ma respiration se calme. Je me laisse envahir par la douceur des divines caresses.

Elle tient maintenant dans la main un collier qu'elle passe délicatement autour de mon cou et qu'elle boucle. Au moyen d'une courte corde, mes mains sont reliées à la boucle fixée au collier. Le nœud terminé, elle détache la grande corde qui relie encore les menottes à la barre de la tête du lit. Elle libère mes chevilles et les masses pour faire disparaître les marques rouges, laissées pas les liens. Elle me saisissant par l'épaule, et me retourne. Ce n'est pas facile, j'ai toujours les coudes comme les ailes d'un papillon. Je couine, le bouchon fiché entre mes fesses me fait souffrir, sous le poids de mes hanches. Tout en massant mes seins, elle colle sa bouche sur la mienne et force sa langue entre mes dents. Je suis fâchée pour ce qu'elle m'a fait subir et je garde les dents serrées. Quand je sens qu'elle saisi mon téton gauche, ma mâchoire se dessert comme par miracle. Je la connais, elle est maîtresse dans l'art de martyriser cette partie délicate de mes seins. La langue chaude fouille mon palais, s'enroule autour de ma langue et je me sens fondre. Elle m'embrasse goulûment, je deviens toute molle. Mon mamelon roule entre ses doigts, c'est divin.

- Allez, on va terminer ce nettoyage en profondeur !

Aidée par Josiane, je me lève du lit tout délicatement. Debout, mes fesses me font une impression bizarre, elles ne se referment pas complètement et enserre l'objet planté dans mon orifice anal.

Ma démarche est grotesque, elle me conduit dans la salle de bain et me fait prendre position, nez contre le mur, assise sur la cuvette des toilettes. Prenant place derrière moi, un peu sur le côté, un petit tabouret sous ses fesses, elle passe sa main entre mes jambes que je suis forcée de garder bien écartées. Ses doigts décapuchonne mon clitoris et elle commence à le masser. Son autre main saisi la chose qui bouche mon anus et lui imprime des petits mouvements désordonnés. Les doigts sur mon bouton d'amour font naître en moi une forte excitation. C'est irrésistible. Les tiraillements de mon muscle anal y contribue aussi. Des roulements agitent mon ventre.

- Tu aimes ! Hein ! Petite cochonne ! Tu vas jouir ! Dis-moi ?

Ma respiration est puissante mon vagin se crispe comme pour serrer un objet imaginaire.

- Fais le dos rond ! Maintenant !

Mon ventre se rentre, mes fesses avancent un peu. Les doigts pincent fort mon clitoris tandis que l'objet dilate mon anneau cuiller en tirant vers l'extérieur. Je n'ai même pas peur que cela me fasse mal, les ondes de plaisir envoyées par la stimulation des doigts qui mordent mon clitoris est tellement forte que je reste suspendue à cette douce sensation. Une petite secousse nerveuse électrise mon bassin et le raisonnement du bruit du liquide qui s'échappe de mon ventre envahi la pièce. Un sentiment de honte ralenti la montée de mon plaisir mais Josiane plante deux doigts dans ma vulve et leurs imprime un mouvement rapide de va et vient. Mes intestins qui se vident ces doigts qui me fouillent, je ne peux lutter contre l'orgasme qui me secoue. Le flot qui s'échappe de mes entrailles n'en fini plus. Josiane me serre très fort contre elle pour empêcher que mes convulsions de plaisir dirigent le jet au dehors de la cuvette. Je suis secouée, mes cuisses serrent spasmodiquement la cuvette froide entre elles. Je laisse échapper un long cri de plaisir et je m'effondre, le nez sur les froides catelles du mur devant moi.

Je reprends mon souffle, Josiane me tient fermement de ses deux doigts enfoncés dans mon sexe, elle pince mon os pubien. Je n'ai aucune réaction quand elle enfonce deux doigts dans mon anus en les vissant. Je me laisse manipuler comme un morceau de viande.

Les attouchements digitaux cesse et la fille actionne la chasse d'eau. J'émerge de ma torpeur quand elle me saisit par les cheveux pour me faire relever.

- Hummm ! Tu es propre de l'intérieur ! Tu es même grasse de l'intérieur ! Un bon lavement n'a jamais fait de mal à personne ! N'est ce pas ! Les muscles entre mes cuisses sont engourdis et je me laisse guider, la démarche mal assurée. Elle saisit le grand sac de sport au passage et nous descendons au rez de chaussé.

Entrées dans la cuisine, elle me place dos à la table ronde, elle débarrasse les cornets de victuailles qui s'y trouvent, saisi une barre dans le sac de sport et s'accroupit devant moi.

- Allez écarte ! Idiote ! Pas besoin de te faire un dessin !

J'écarte les jambes qu'elle fixe à chaque extrémité de la barre. Elle se redresse, et ouvre les menottes. Je peux enfin passer mes bras devant moi et j'en profite pour masser mes poignets. Josiane me débarrasse de mon chemisier qu'elle jette dans un coin. Elle me passe des bracelets de cuir autour des poignets et s'emparant d'un second bâton, mes poignets sont alors fixés à chaque extrémité. Se reculant pour juger de l'effet elle me décroche un large sourire.

- Allez, il est temps qu'on s'occupe de moi ! Tu es désirable nue et harnachée ainsi ! Couche-toi sur la table.

Elle saisit le plateau pour empêcher le meuble de basculer sous mon poids. La table n'a qu'un pied central. Je pose mes fesses sur le bord et me couche lentement.

- Plus haut les fesses ! Plus au centre !

Je me contorsionne, je n'arrive pas à m'aider des mains, elles sont maintenues écartées par le manche de bois.

Elle me fait me centrer jusqu'à ce que ma tête tombe en arrière de l'autre côté de la table. Tête bêche, jambes pendantes, je repose allongée sur la table ronde. Elle sort une corde du sac, saisi la barre qui relie mes mains, la passe au-dessus puis derrière ma tête. Elle noue le lien autour du bois et disparaît sous le meuble. Je sens mes chevilles tirées en arrière sous la table. Les deux barres sont reliées sous la table, m'imposant une immobilité totale. La position, une fois la corde tendue et très inconfortable. Je suis contrainte de décoller les reins du bois et de me tenir arquée.

Les mains de Josiane jouent avec mes mamelles aplaties comme des œufs sur le plat. Elle relève sa jupe et baisse sa culotte. Elle s'en débarrasse, coince sa jupe sur son ventre et approche son entrejambe de ma figure renversée. A deux doigts elle déplisse ses lèvres intimes et pose son sexe sur ma bouche. Ma langue dardée plonge dans l'espace de chair rose. Je m'applique, elle remue du bassin. Soudain elle se retire.

- Je déteste tes mamelles flasques ! Je vais leurs donner meilleur forme !

Au moyen d'une autre corde sortie du sac elle entame de l'enrouler autour de la chair tendre. Elle a de la difficulté, la chair gélatineuse se dérobe sous le lien. Elle finit par en emprisonner un et pour mieux tendre la peau à la base, se saisi de mon téton et tire vers le haut !

- Aï ! Ouuuu ! Aï !

- Ha ! Ha ! Faut souffrir pour être belle !

J'ai hâte qu'elle en finisse, ses ongles griffent ma peau tendre.

- Aï ! Ohhhhh ! Aï !

Mon autre téton subit la même torture et en relevant la tête, je découvre mes deux seins compressés qui pointent vers le plafond.

Mon nez se retrouve entre ses fesses et ma langue s'agite dans sa vulve !

- Hummm ! Lèche petite chienne ! Lape-moi, Oui ! Bois-moi !

Ses mains pelotent durement mes mamelles et elle balance du bassin pour choquer son clitoris sur mon menton. Mes joues sont inondées par l'abondante liqueur de plaisir que sa vulve produit.

Elle pousse si fort qu'elle va me casser la nuque. Son souffle devient rauque, je tente de donner le plus de volume possible à ma langue pour lui fouiller la tunique vaginale plus largement encore. Elle est au bord de l'orgasme, je sens qu'elle va se rendre. Je sens ses cuisses trembler contre mes tempes, sa main saisi ma nuque et avec une force terrible, me plaque le visage contre son entre jambe. Sa voix devient hystérique et ses couinements puissants.

Elle s'immobilise, tétanisée. Seul ma langue bouge doucement au fond d'elle et je ressens ses contractions intime autour et à la pointe.

Le temps est suspendu, son cri est resté bloqué dans sa gorge.

Quand elle me lâche, elle se recule, la main pressée entre ses jambes comme pour retenir le plaisir encore un peu.

Je la regarde à l'envers reprendre son souffle. Ma tête est lourde et je sens les pulsations de mon cœur cogner dans mes tempes.

- Hummm ! J'adore comme tu me dévores !

De sa main elle me caresse les joues et essuie sa mouille déposée sur mon visage.

- Je voudrais redresser la tête ! S'il vous plaît Madame !

- Non ma belle c'est tes jambes que je vais redresser ! Je ne me suis pas donné la peine de te donner un lavement pour ne pas profiter de ta propreté intérieure !

Elle disparaît sous la table, je sens l'attache de la barre qui relie mes jambes se libérer, je suis moins cambrée et je peux les balancer dans le vide. L'attache de la barre qui relie mes bras n'est pas libérée, mais doit être fixée au pied de la table. Elle réapparaît.

- S'il vous plaît ! J'ai tout le sang dans la tête !

Sans répondre, elle se place entre mes jambes. Fixe une autre corde à la barre, la fait glisser sur mon estomac pour la passer entre les liens qui compressent mes seins. Saisissant le bâton qui relie mes chevilles, elle m'oblige à remonter les jambes, puis tire sur la corde. Mes jambes se plient et mes talons se rapprochent du bord du plateau de la table, je m'apprête à les poser, mais elle m'oblige à lever plus haut. La traction de la corde qui passe entre mes seins se fait violente, je plie complètement les cuisses, mes genoux se trouvent presque à la hauteur de mes seins. Je sens l'air rafraîchir l'intérieur des lèvres de mon vagin, il doit être béant dans ma position, jambes largement écartées et repliées.

- Aï ! Ouïï ! Ma poitrine ! Vous m'arrachez les seins ! Aï ! Ouïï ! Noooooonnn ! Hummm !

- C'est pour que tu restes bien ouverte ma douce !

La tête dans le vide, les bras forcés de rester repliés presque sous le plateau et les cuisses repliées et bloquées par la corde qui étire mes mamelles si je ne fais pas l'effort de garder la position, je suis contrainte de faire le dos rond et les pointes de mes vertèbres me font souffrir, pressées contre le bois.

Les deux pouces de la fille dégagent les poils qui masque encore un peu ma vulve, ils glissent le long de mon sexe pour se poser et presser mon petit muscle anal.

- Ohhhh ! Non ! Pas là ! Je vous en supplie !

- Oui ! Oui ! Je peux même te fouiller de la langue ! Tu es si propre ! Allez détend toi !

Elle caresse mon entre fesses, parcoure ma raie, défroisse mes petites lèvres. Agenouillée devant mon derrière exposé, elle m'ouvre l'intérieur du vagin a petits coups de langue, y presse les indexes. Ce n'est pas franchement excitant mais quand elle donne des petits coups de dents sur mon clitoris, ma vulve se liquéfie. Mon sexe est sucé, massé, pénétré, visité de la langue et des doigts. Elle me fouille profondément et écarte les doigts en ressortant. Je dois être dégoulinante. Je laisse échapper des soupirs de plaisir et des couinements. Les doigts qui plongent presque jusqu'au fond s'écartent et tirent les chairs de l'entrée étroite, me rendent folle.

- Ahououououo ! Non ! Aïïïïï !

Sans que je puisse le prévoir, les doigts n'ont pas repris leur place dans ma vulve mais ont forcé mon anus. Je retiens mon souffle crispée. Elle me pilonne régulièrement, vissant les doigts, cherchant à m'élargir le muscle anal rapidement. Je fais entendre des petits cris de douleur.

Quand elle cesse je suis exténuée. Les mains de chaque côté de mon sexe, quatre doigts enfoncés dans ma vulve, elle m'ouvre comme un forceps. Sa langue cherche à me pénétrer l'anus. Je le sens à sa douceur sur mon anneau cuiller entrouvert par la manipulation.

- Hummm ! Tu es bonne !

Je l'entends fouiller dans le grand sac mais je ne peux rien voir. Après qu'elle ait lâché mon sexe, je n'ai pu que hurler quand elle m'a enfoncé d'un seul coup un gros objet froid. Elle me pistonne avec, les premiers mouvements m'ont arraché encore quelques cris de douleurs mais maintenant je chante au rythme des profondes et longues pénétrations. Elle s'arrête avant que le plaisir gagne trop en puissance.

- Regarde ! Tu le reconnais ! C'est celui qui nous est réservé !

Péniblement, bloquant ma respiration je redresse la tête pour voir dépasser de mon entrejambe entre mes seins devenus rouge vif, le gros gland de plastique frère jumeau de celui qui est planté dans mon ventre. En riant, elle reprend son pilonnement en m'enfonçant en plus deux ou trois doigts dans l'anus, c'est très gros et je geins.

La douleur qui irradie mon petit trou, le plaisir de la chose qui masse les chairs de mon vagin, je ne sais plus quel saint implorer.

Aïï ! Ohoooo ! Hummm ! Aïïïï !

Mes jambes tremblent. Je n'arrive pas à m'accoutumer aux doigts enfoncés dans mon anus.

- C'est bien ma belle ! Tu vas le prendre ! Tu es bientôt prête !

Je ne comprends pas vraiment mais quand elle cesse de me déchirer l'anneau cuiller, je crois défaillir quand je sens que c'est le membre de plastique qu'elle tente de forcer dans mon cul.

Elle le pousse et elle le vrille, je hurle et pleure, je proteste, la tête de l'objet est passée m'envoyant 100'000 mille voltes dans le corps. La chose progresse en dilatant les parois de mon colon. Pour me calmer, elle fait rouler mon clitoris. Elle le pousse trop loin, j'ai trop mal, je hurle comme une possédée. Elle doit avoir eu peur, elle s'est arrêtée. Mes larmes brouillent ma vue mais je la sens s'approcher de mes fesses. La chose remue en moi mais sans ni entrer ni sortir. Dans un ultime effort je redresse la tête pour voir. Josiane est en train de faire entrer la partie extérieure dans son sexe. Elle attrape mes cuisses et quand je sens son pubis se plaquer contre moi je comprends qu'elle se fait jouir en s'empalant dessus. Je suis secouée par ses va et viens, elle s'accroche à mes cuisses et quand elle tire dessus, les cordes autour de mes seins, les allonge douloureusement. L'objet qui relie nos deux corps doit être à l'horizontale et si serré dans sa vulve que le mouvement s'imprime dans mon fondement et m'arrache des petits cris.

Heureusement elle jouit rapidement. Je suis exténuée et en pleurs, Mes seins et mon cul ne sont plus que douleur lancinante. Elle se libère de l'engin, me le retire sans ménagement, m'arrachant un ultime cri.

Quand elle le plonge dans ma chatte, je n'ai aucune réaction mais quand entamant de me pistonner tout en roulant mon clitoris entre ses doigts, c'est une longue mélopée de plaisir qui s'échappe de ma bouche. Elle pilonne en puissance comme jamais un homme me la fait. L'objet but contre ma matrice m'arrachant des hoquets, les décharges qui m'électrisent provenant de mon clitoris et m'irradie jusqu'au cerveau, me rendent folle et je chavire dans un orgasme qui me crispe tellement qu'un de mes seins est tellement tiré qu'il échappe à la corde.

Elle retire l'objet et caresse toute ma vulve béante du plat de la main jusqu'à ce que je me calme.

Josiane est passée au niveau de ma tête, la soutenue d'une main tandis que de l'autre elle défaisait le lien qui emprisonnait mon sein à la barre qui maintenait mes jambes repliées. J'ai émis un long soupir de soulagement quand la traction sur ma mamelle s'est relâchée, que j'ai pu, aidée du soutien de ses bras, détendre et abaisser mes jambes.

Elle m'a ensuite longuement câlinée, le temps que je reprenne des forces. Quand ma respiration fût régulière, elle m'a aidé à me redresser, et poser mes pieds à terre. Sans me défaire des bâtons qui me maintenaient bras et jambes écartés, elle m'a conduite jusque sur le tapis du salon. Ma démarche était difficile, un pied après l'autre pour avancer les jambes écartées. Les colliers me sciaient les chevilles. Elle m'a d'abord supportée quand mes genoux fléchissaient, et a accompagné mon buste quand je me laissais aller à plat ventre sur le sol.

Je me suis allongée sur le ventre, un bâton maintenant mes mains écartées sous l'estomac et un autre m'empêchant de serrer les jambes. J'avais la sensation que mon anus était resté ouvert et que mes matières fécales pouvaient en sortirent sans que je ne puisse rien faire.

Elle m'a abandonnée dans cette position, je crois que je me suis assoupie.

Le réveil fût brutal, une brûlure sur la fesse m'a sortie de ma torpeur.

- Allez ! On se redresse ! Le repas est servi !

En tournant la tête je découvrais Josiane, une vrai cravache à la main, assise penchée sur mon dos, assise dans un fauteuil. Pas le temps de m'ébrouer, un second coup de cravache stimule mon ardeur. En trois secondes, je suis à genoux. Me tirant par les cheveux elle m'oblige à crapahuter à genoux jusqu'au bord le la grande table à manger. Mes seins pressés contre le plateau, j'ai une assiette sous le menton. Josiane pose sa cravache bien en évidence entre nos deux assiettes. Mon regard est fixé sur le plateau de fromage et le pain frais. Une bouteille de rosé est débouchée et les verres remplis. Une main de m'agrippe les cheveux et force ma tête à se rejeter en arrière. L'autre main porte le bord du récipient sur mes lèvres. J'ingurgite l'alcool sans me faire prier, j'ai une véritable soif.

Satisfaite, Josiane relâche ma tignasse et commence son repas. Je la regarde manger sans comprendre pourquoi elle ne me donne rien. Mes genoux me font mal et je salive abondamment, j'ai vraiment faim.

La torture dure tout le temps de son repas.

Nue sur sa chaise, elle la fait pivoter, avance ses fesses sur le bord de la chaise et écarte ses jambes. Deux doigts de sa main droite plonge dans un pot de fromage crémeux, en extraient une grosse noix qu'elle s'étale sur le sexe.

- Allez ma petite chienne viens manger !

Toujours à quatre pattes je contourne difficilement le coin de la table pour m'approcher de son entre jambe, me pencher et lape avidement la pâte étalée sur le sexe de ma maîtresse.

Elle s'est re-barbouillé le sexe et me la fait nettoyer, jusqu'à ce que je n'en puisse plus, alternant avec les verres qu'elle posait sur mes lèvres et m'obligeait a vider.

Le repas terminé, j'ai été contrainte de la faire jouir de ma bouche, elle a résisté longtemps, avec l'alcool qu'elle avait ingurgité. J'en souffrais de la mâchoire à force de lui dévorer le sexe.

Me laissant en l'état, elle a quitté la pièce, a éteint la lumière et est montée à l'étage pour se coucher.

J'ai bien essayé de m'endormir sur le tapis moelleux mais je grelottais de froid. Au prix d'efforts surhumains, entravée, j'ai réussi à monter à l'étage en silence, j'ai trouver la couche de ma maîtresse et me suis trouvé un petit bout de lit à ses côtés pour bénéficier d'un peu de chaleur.

Mon manège la forcément réveillée. En grommelant, elle m'a délivrée de mes entraves et m'a renvoyée dans mon petit lit de la chambre d'à côté.

f.roxane_new.fr@excite.fr