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Vues: 9770 Created: 2007.10.16 Mis à jour: 2007.10.16

Le Cul de Ma Voisine

Le Cul de Ma Voisine

Depuis quelques mois, je m'efforce de restaurer la maison que j'ai acquise en Val-de-Meuse. J'y passe le plus clair de mes loisirs. Le premier mai, ma voisine fit irruption chez moi. Elle m'appelait au secours pour une panne de courant dans sa salle de bain. Un court-circuit dans une prise de courant incrustée dans le meuble qui entoure le lavabo fut vite détecté. Pour y remédier, je devais vider partiellement ce meuble. En sortant son contenu, j'y trouvai une poire et un broc à lavement. Rien de surprenant sinon que les deux canules étaient remplacées par des godemichés ultra-réalistes de longueur et surtout de grosseur considérables. Je souriais en imaginant ma très bourgeoise voisine, d'aspect très chic, s'enfonçant un tel bidule dans le sexe pour effectuer sa toilette vaginale.

La réparation effectuée, ma voisine me donna un coup de main pour ranger les objets sortis de l'armoire: je les lui passais un à un. Sans broncher ni montrer la moindre gène, elle prit de mes mains le broc et la poire et les remit à leur place sur l'étagère.

Elle m'offrit le café et nous en profitâmes pour bavarder gentiment. Elle m'inonda de renseignements très utiles sur le village après m'avoir expliqué qu'elle s'appelait Nikky, qu'elle avait 44 ans et qu'elle était veuve depuis trois ans. Elle vivait seule mais possédait deux excellentes amies; Madame T., une autre voisine, et Mademoiselle V., l'institutrice.

Je rentrai chez moi, satisfait d'avoir rendu service et surtout d'avoir établi ainsi de bons rapports de voisinage.

Une bonne semaine après, occupé à peindre la corniche de ma maison, perché sur une échelle, mon attention fut attirée par des éclats de rire venant de la maison voisine.

De ma position élevée, j'apercevais, dans la cuisine, Nikky et Madame T. très enjouées. Bien sûr, il est mal élevé d'épier les gens dans leur maison, mais avouez qu'il m'était difficile de détourner le regard lorsque Madame T. enleva sa jupe et son slip, tournant son volumineux postérieur nu dans ma direction. Une solide claque appliquée par Nikky la décida à se pencher et s'accouder au bord de la table de cuisine. Nikky lui sépara les fesses et lui enfonça le gode de la poire à lavement dans l'anus. Elle devait le retirer et recommencer pour vider complète-ment la poire dans les intestins de son amie qu'elle envoya à la toilette avec une autre claque sonore sur les fesses. Je remarquai que Nikki remplissait le broc et vaselinait généreusement le gros gode.

Je continuais à faire semblant de peindre ce bout de corniche, surtout pour ne rien perdre du spectacle. Madame T. revenait dans la cuisine, toujours hilare et nue en dessous de la ceinture. Elle reprenait sa position courbée et le moment après je pouvais admirer l'affolant spectacle de l'imposant godemiché planté dans sa grosse lune. Les deux amies semblaient bien s'amuser: elles riaient et plaisantaient pendant que le broc se vidait lentement. A la fin, la croupe de Madame T. ondula et dès que Nikki lui eut retiré le gode, elle se précipita à la toilette, se pressant l'arrière-train des deux mains.

Je dois confesser que j'ai remonté trois fois cette échelle pour guetter le retour de Madame T. Finalement, je fus récompensé. Cette grande rousse, un peu dodue, ne manquait pas d'allure en soutien-gorge et petite culotte. Nikki présenta une magnifique paire de fesses galbées et joufflues aux petits soins de Madame T. Quel spectacle! Mais impossible de repeindre chaque semaine ma corniche...