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Vues: 5234 Created: 2007.10.20 Mis à jour: 2007.10.20

Le Lavement Anglais

Le Lavement Anglais

Cette année là, je partis en Angleterre pour une année avec l’espoir d’apprendre l’anglais, j’avais 18 ans. Après quelques recherches, je trouvais une place de baby-sitter dans une famille londonienne de haut rang. Le père étant récemment décédé, la mère une femme d’affaire très active, qui parlait plusieurs langues, dont le français) n’était plus en mesure de s’occuper de sa petite dernière qui avait tout juste 6 ans. L’aînée, âgée de 16 ans, était passablement autonome, mais ses études lui prenaient tout son temps. Neuf ans séparaient les deux sœurs, la plus âgée était venue au monde alors que sa mère n’avait que 18 ans, mon âge en somme. La mère ne semblait pas être particulièrement affectée par le décès prématuré de son époux, je pense qu’ils ne devaient pas s’entendre, mais je ne saurais jamais la vérité. La plus âgée des deux filles s’appelait Sonia, elle était très jolie. Son visage était angélique mais son comportement était celui d’une adolescente tout à fait normale. Un jour que les deux filles étaient à la maison, je reçus un coup de fils de leur mère.

- Rachel, ma fille Sonia m’a téléphoné tout à l’heure en se plaignant d’un douloureux mal d’estomac, apparemment, elle n’est pas allée à selle depuis hier. Je pensais passer à la pharmacie en rentrant du bureau, pour y acheter des suppositoires à la glycérine. Le problème, c’est que je dois impérativement rester ici jusqu’au retour d’un de mes collègues, et je ne sais pas quand je vais rentrer.

Alors voilà ce que vous aller faire: montez au grenier, à votre droite, il y a une armoire blanche. A l’intérieur s’y trouve une grande boite en carton, dedans, vous y trouverez tout le nécessaire pour administrer un lavement à ma fille. Faite bouillir de l’eau, et remplissez le bock quand l’eau sera redescendue à une température de quarante degrés, vous pourrez la contrôler avec le thermomètre. Ensuite, il faudra lui enduire l’anus avec un peu de vaseline, vous trouverez le thermomètre et la vaseline dans la pharmacie de la salle de bain. Vous n’aurez plus qu’à lui rentrer la canule dans le derrière et ouvrir le robinet. Veillez à ce qu’elle garde l’eau un petit moment, pour qu’elle fasse son effet. Profitez de l’occasion pour lui prendre la température dans son petit derrière, elle y est habituée, elle a peut-être de la fièvre.

- Je m’en occupe, lui répondis-je sans réfléchir.

Mais après avoir raccroché le combiné, un trouble profond m’envahis, j’allais devoir enfoncer un «machin» dans le cul de Sonia et la remplir de flotte. Je n’avais jamais reçu de lavement de ma vie, mais je savais que c’est douloureux et désagréable. Je me mis à me demander quelle serait la réaction de la jeune fille, plus jeune que moi de deux ans, à l’idée que je lui tripote son derrière. «Elle ne va pas être contente», me dis-je, et je dois reconnaître que j’ai souhaité une vive désapprobation de sa part, afin d’être obligée de la contraindre un peu.

Je me précipitais au grenier pour chercher le matériel, je voulais absolument mener à bien cette tâche avant que la mère revienne. J’étais de plus en plus excitée. Je mis de l’eau à bouillir à la cuisine et rinçais le bock et le tuyau qui n’avaient, apparemment, pas servis depuis longtemps. Il fallait que tout soit prêt avant d’avertir Sonia, de façon à que je n’aie pas à lui donner d’explications trop précises avec mon anglais rudimentaire. Elle ne parlait pas le français comme sa mère. Quand j’eus fini les préparatifs, j’appelais Sonia qui jouait avec sa petite sœur dans le somptueux jardin de la propriété. Elles rentrèrent toutes les deux dans la cuisine et comme je l’avais espéré, je n’eus pas à lui donner de longues explications sur ce qui l’attendait. A la vue du bock, elle comprit que j’allais lui administrer un lavement, je n’eus qu’à lui préciser que c’était sa mère qui l’avait proposé.

Comme prévu, elle émit de vives protestations, si fortes que je crus ne pas pouvoir rattraper la situation. Heureusement, et à ma grande surprise, elle revint dans la cuisine deux minutes après l’avoir quittée. Je ne saurais jamais si c’est la peur de la réaction de sa mère ou une soudaine envie de se faire tripoter qui l’a fait revenir, mais moi, je jubilais. A cette époque, je ne savais pas trop comment m’y prendre, alors je la fit se coucher à plat ventre sur la table de la cuisine. Sa petite sœur était trop jeune pour rester toute seule dans le jardin, alors je l’assis sur une chaise où elle resta toute au long de l’opération. Sonia, qui avait quitté son pantalon, m’offrait son joli derrière. Il était petit, rond et recouvert par une superbe petite culotte d’un blanc transparent. Les mains moites, je descendis sa culotte jusqu’à ses genoux, j’enduis mon index avec la vaseline et, sans même lui écarter les fesses, je rentrais mon doigt complètement dans son anus. Sonia eut un spasme violent, elle se cambra et sera très fort les fesses. Doucement, je mis mon autre main sur son derrière et l’obligeait à se remettre en position. Je ressortis mon doit pour l’enduire d’une nouvelle couche de vaseline, et sans ménagement, le rentrais à nouveau. Je fis quelques langoureux mouvements de va-et-vient à l’intérieur. Jusque là, pas une plainte de sa part. La lubrification terminée, je fis rentrer, dans son anus, la longue canule reliée au bock par un tuyau en caoutchouc. Le petit robinet était maintenant au raz de sa pastille.

Sans plus attendre, j’ouvris le robinet et l’eau se précipita dans la jeune fille. Le bock avait une capacité de deux litres, et comme sa mère m’avait simplement dit « remplissez le bock d’eau chaude » moi, je l’avais rempli entièrement. Je ne me rendais pas compte que deux litres, pour une fille de 16 ans, c’est beaucoup. Arrivé à un demi-litre à peine, elle se mit à geindre. Elle me dit qu’elle avait mal et je lui répondis que c’était normal, et tout en lui caressant les fesses, je lui rappelais que c’était pour son bien. Après un litre, elle me dit qu’elle n’en pouvait plus, que tout allait sortir, et instinctivement, elle se mit à genoux, les avant-bras plaqués sur la table. Je la laissais faire, car son ventre ressortait vraiment sous le poids de l’eau. Sa respiration était de plus en plus forte, elle se mit à masser son ventre pour faire passer les crampes, quand elle cessa, je pris la relève. Son dos se cambrait de plus en plus, son T-shirt avait glissé sur ses épaules, laissant apparaître ses petits seins. A peine passé le cap du litre et demi, elle se mit à pleurnicher, alors de peur que tout le liquide ressorte, je me mit a presser ses fesses contre la canule et lui dit:

- Allez allez, Sonia, un peu de courage, c’est bientôt fini, il ne reste plus qu’un demi-litre.

Son corps entier était prit de frissons, l’effort qu’elle faisait pour empêcher l’eau de sortir était tellement puissant, que ses jambes en tremblaient. Plus elle avait mal, et plus je voulais voir le bock vidé de sa dernière goutte. A ce moment là, j’étais tellement excitée, que j’aurais pu jurer que chaque larme qui coulait sur son visage, venait mouiller ma petite culotte. Si sa petite sœur n’avait pas été dans la pièce, j’aurais sûrement caressé ma chatte du bout de mes doigts. Le bock finit par se vider complètement, et je poussais le vice jusqu'à essorer le tuyau pour qu’elle n’en perde pas une goutte. Elle me supplia de la laisser aller aux toilettes mais je lui dis que sa mère m’avait recommandée de laisser l’eau faire son effet quelques minutes. Au bout de cinq minutes, je sentis qu’elle ne tiendrait plus longtemps et après avoir retiré la canule de son anus, je la laissais aller se vider.

Je restais songeuse. Je pensais à ce corps dénudé, à cette croupe si majestueusement offerte où trônait la canule du lavement, à ce joli sexe, que la position inattendue de la jeune fille me permettait d’entrevoir. Et ses gémissements dont on aurait su dire s’ils étaient de douleur ou de… plaisir.

Pendant que Sonia était à la salle de bain, j’eus le temps de préparer le repas pour sa petite sœur et de la faire manger.

Après s’être vidée et lavée, Sonia revint dans la cuisine pour me dire merci, qu’elle allait mieux et qu’elle avait même faim. D’un air épanoui, elle m’embrassa sur la joue et se précipita sur le frigo. J’en fus ravie.

Pourtant, l’attitude joyeuse de la jeune fille me troubla, alors que je venais de lui infliger un sévère traitement, elle semblait heureuse et satisfaite. Je me souvins alors que sa mère m’avait demandée de contrôler sa température.

J’en informais Sonia et sans que je lui demande quoi que ce soit, elle se recoucha sur la table, les fesses en l’air. Elle avait revêtu son bas de pyjama, sans culotte en dessous. Je le descendis juste en dessous des fesses. Et après m’être enduis le doit de vaseline, je ne pus m’empêcher de le lui enfoncer une nouvelle fois profondément dans son petit trou dilaté par le lavement. Le thermomètre rentra comme dans du beurre, presque jusqu'au bout. Je laissais la jeune fille, le thermomètre planté dans son derrière, le temps de coucher sa sœur. Puis, je revins dans la cuisine, me saisissant du thermomètre, je ne pu m'empêcher de lui imprimer un lent va et vient, puis je ressortis l’objet avec une douceur infinie tout en caressant ses petites fesses. Elle n’avait pas de fièvre. Elle descendit de la table sans avoir remonté son pyjama, sans doute pour me montrer le petit triangle de poils blonds de son bas ventre. Profitant de la situation, je lui demandais de rester ainsi, le temps d’aller chercher un peu de papier toilette, juste pour lui enlever le surplus de vaseline autour de son anus. Le papier en main, je m’accroupis et, tout en plaçant ma main gauche sur son pubis, je frottais son petit trou avec le papier WC de ma main droite. Après lui avoir donné une petite tape sur les fesses, je remontais, à regret, son pyjama. J’aurais tant voulu avoir l’audace de vérifier si son sexe était humide…

Bien qu’elle aille mieux, elle insista pour aller se coucher, peut-être pour repenser à ces évènements dans l’intimité. Mon imagination allait bon train, à tel point que j’eus envie d’essayer de me faire administrer un lavement à mon tour. La maîtresse de maison allait sûrement bientôt rentrer, il était donc or de question de demander à Sonia d’assouvir ce nouveau phantasme dans l’immédiat. Alors que je réfléchissais à un stratagème pour arriver à mes fins, la mère de Sonia renta dans la maison, directement par la porte de la cuisine. Voyant que je nettoyais le nécessaire à lavement, elle me demanda si tout s’était bien passé. Je lui répondis que oui, et que sa fille venait d’aller se coucher. Sans même enlever son pardessus, elle monta prendre de ses nouvelles.

Après quelques minutes, elle me rejoignit dans la cuisine et me remercia pour mes bons soins envers sa fille. Elle me dit alors que j’avais bien fait de ne pas attendre, parce qu’elle n’avait eu le temps de passer à la pharmacie avant qu’elle ne ferme. En une fraction de seconde, le scénario tant espéré m’apparu.

- Vous n’avez donc pas pu acheter de suppositoires, lui dis-je, c’est dommage, je suis moi- même un peu barbouillée, et j’aurais pu en profiter...

Elle répondit qu’elle était désolée, mais que, si ça pouvait me soulager, elle était disposée à me faire un lavement. Je dus faire un effort indescriptible pour ne ma lui montrer ma joie, et j’acceptais timidement. Elle me demanda de préparer le nécessaire, comme pour sa fille, et après avoir déposé son pardessus dans le vestibule, monta dans sa chambre pour se changer. Quand elle revint, l’eau était encore très chaude, elle me dit d’aller chercher un linge propre dans l’armoire de la salle de bain, et qu’elle terminerait, elle-même, les préparatifs. A mon retour, elle prit le linge, le posa sur la table, et m’enjoint d’enlever mon pantalon. Puis, elle me dit de me coucher à plat ventre, elle baissa ma petite culotte encore mouillée et me releva légèrement la jambe droite.

C’était une très belle femme, et pour ne rien arranger, elle n’était vêtue que d’une chemise de nuit quasi transparente. Mon sexe se mit à frétiller sans que je puisse le contrôler. Je distinguais ses dessous brodés à travers le tissu de sa nuisette.

Après un dernier contrôle de la température de l’eau, elle se plaça derrière moi, enduit son doit de vaseline, et me l’enfonça doucement dans l’anus. Comme je l’avais fais à sa fille, elle fit un mouvement de va-et-vient à l’intérieur. Je mouillais tellement que j’eus peur qu’elle le remarque. Elle remplaça son doit par la canule et ouvrit le robinet. Je sentis l’eau rentrer en moi, et elle me demanda si je sentais l’eau rentrer. Je répondis que oui. Quand les premières crampes se firent sentir, elle me massa le ventre. Comme Sonia, je me mis à gémir au bout d’un demi-litre, mais je dus prendre les deux litres que la maîtresse de maison avait préparés. Elle sut me convaincre de tenir jusqu’au bout en me caressant les fesses. Pour le dernier demi-litre, elle leva le bock plus haut et la douleur fut encore plus violente. Le bock finit par se vider, mais elle me laissa toute seule dans la cuisine, la canule toujours en moi, bien cinq minutes. Elle revint avec une bassine et après avoir retiré la canule de mon trou, elle m’aida à me placer au-dessus de mon pot de fortune.

A peine positionnée, je relâchais mon sphincter et l’eau jaillit en force, tel un robinet ouvert au maximum. Quand j’eus terminé, elle m’invita à la suivre à la salle de bain. Sur place, elle me demanda de me pencher en avant, elle me rinça vigoureusement le derrière, et contre toute attente, elle fit une toilette à mon intimité. Elle n’hésita pas à écarter mes lèvres gonflées pour passer le gant de toilette humide sur mon vagin, un peu comme pour me dire: « J’ai vu que tu es toute mouillée, petite cochonne » et après m’avoir séchée, elle sortit le thermomètre de sa poche, et me le plaça dans le cul sans vaseline et assez loin. Me laissant ainsi, elle retourna dans la cuisine pour prendre ma culotte et mon pantalon. A son retour, elle enleva le thermomètre, me dit que je n’avais pas de fièvre et me rhabilla.

- Tu vas mieux ?

- Oui, merci beaucoup Madame.

- Et bien tu auras droit à un lavement chaque fois que tu en ressentiras le besoin.

Mes connaissances en anglais sont restées très faibles, mais en ce qui concerne le lavement et le thermomètre, j’en ai tant donné et reçu cette année là, que je suis devenue une experte.

Effectivement, chaque fois que j'en ai ressenti le besoin, j'ai eu droit à un lavement, précédé toujours d'une prise de température.

D'ailleurs ce n'était pas les seules occasions pour moi de recevoir le thermomètre, chaque fois qu'elle me trouvait trop pâle ou trop rouge,elle posait sa main sur mon front

- Rachel mon petit, vous avez peut-être de la fièvre...