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Vues: 9859 Created: 2007.07.29 Mis à jour: 2007.07.29

Le Mensonge de Cindy

Le Mensonge de Cindy

Elle savait qu'elle n'aurait pas dû faire semblant d'être malade afin d'éviter le contrôle mais elle ne pensait pas que sa maman appellerait le docteur réellement.

Maman avait été si gentille depuis qu'elle avait dit qu'elle ne se sentait pas bien et lui avait apporté le chocolat chaud au lit et lui avait donné une aspirine, elle avait amené la TÉLÉ portable dans sa chambre; elle avait commencé à se sentir très coupable de son mensonge. Elle était au lit dans son pyjama de flanelle bleu ciel, ses longs cheveux encadrant son visage essayant de prendre un air malade.

La doctoresse entra dans la chambre, portant une sacoche noire, elle devait avoir la trentaine et très élégante, elle était suivie de maman.

« Bien, bien Cindy, ta maman me dit que tu ne te sens pas bien », dit-elle en déposant sa sacoche sur la table de nuit. « Raconte moi ce qui se passe ».

Cindy répondit, « Eh bien Docteur, je n'ai pas mal à une place spécifique, euh, je ne me sens pas bien , c'est tout ».

« Ok, alors jeune fille, commençons en prenant ta température, dit la doctoresse chaleureusement. Veux tu te mettre sur le ventre et baisser ta culotte de pyjama ». Cindy est devenue rouge de honte, sûrement elle n'était pas sérieuse, elle avait dix-sept ans et beaucoup trop vieille pour que la doctoresse lui prenne sa température par voie rectale!

« Euh, Docteur, je suis assez grande que pour tenir un thermomètre dans la bouche », dit-elle avec un faible sourire, rempli d'espoir.

« Oh, j'en suis sure ma petite », a répondu la doctoresse tout en secouant le thermomètre qu'elle avait sorti de sa sacoche ainsi qu'un tube de vaseline. Cependant ta maman m'a dit qu'elle te prenait toujours la température de cette façon.

Maman qui été debout dans le coin admonesta Cindy, « Ne sois pas ridicule maintenant et fait ce que le docteur te demande ». La doctoresse appliqua un peu de vaseline sur le bout du thermomètre et Cindy regarda la pointe luisante avec horreur.

Jetant un regard sur sa mère elle avait la certitude qu'elle n'avait pas le choix et lentement elle se retourna sur le ventre, restant sous les couvertures, elle baissa sa culotte de pyjama juste sous la base de ses petites fesses. (Oh mon Dieu faites qu'elle laisse les couvertures ) pria t-elle silencieusement. Cependant, la doctoresse repoussa les couvertures au pied du lit puis prenant l'élastique de la culotte, l'abaissa jusqu'aux genoux exposant complètement son petit popotin. Cindy rougi encore plus et plongea sa figure dans l'oreiller.

Elle l'a sentie s'asseoir sur le bord du lit à côté d'elle, elle ferma ses yeux quand elle senti les doigts qui écartèrent ses fesses. Elle a sursauté quand un doigt, doucement, a mis un peu de vaseline sur son anus et a gémi quand le bout du doigt a essayé d'entrer à l'intérieur de son petit trou, la doctoresse a fait une pause.

« Calme, calme Cindy, je ne veux pas te faire du mal », dit la doctoresse. « Essaye de te relaxer ». Cindy émit un son inintelligible et essuya une larme ou deux d'humiliation dans l'oreiller quand la doctoresse enfonça le doigt (jusqu'à sa deuxième phalange) dans son petit trou bien lubrifié. Elle fut soulagée quand le doigt se retira, mais son soulagement fut temporaire car il fut remplacé par la pointe froide du thermomètre qu'elle glissa lentement et profondément.

Cindy a sentit la doctoresse se lever et celle-ci a commencé à discuter avec sa mère au sujet de potins locaux, pendant ce temps elle pensait à ce qu'elle présentait, ses petites fesses nues avec un thermomètre qui ressortait, pendant qu'elles continuaient leur conversation.

Finalement, la doctoresse s'est réinstallée sur le lit et a dit, « Bien, voyons ce que nous avons ici ». Cindy a senti qu'on écartait son joufflu et que le thermomètre sortait rapidement. Elle remonta rapidement sa culotte et se retourna sur le dos, elle détestait la sensation poisseuse de la vaseline dans son anus. « Bien tu n'as pas de température, c'est normal » dit la doctoresse. « Vérifions le reste Cindy ».

Cindy pensait qu'il n'y avait rien qui pouvait se passer de pire que d'avoir sa température prise mais elle était loin de s'imaginer ce qui allait se passer.

La doctoresse fit asseoir Cindy et regarda dans ses oreilles et dans la gorge. « Hmmm, Cindy, ta gorge et tes amygdales me paraissent normales, « où as-tu dis que tu avais mal ? » demanda-t- elle.

Cindy commençait à s'inquiéter. Qu'est-ce que maman ferait si elle se rendait compte qu'elle n'était pas vraiment malade?. « heu, je ne sais pas Docteur, je me sens un peu fatiguée et je commence à tousser. » Elle mentait, essayant désespérément de sembler pâle en raclant sa gorge pitoyablement.

« Hmmm, on va contrôler les bronches et les poumons alors », a dit la doctoresse en prenant un stéthoscope de son sac et le plaçant autour du cou. Commençant à déboutonner le pyjama en disant « J'aurai besoin de déboutonner ta veste, ce tissus est un peu trop épais pour moi pour entendre clairement à travers ».

Le rouge de la honte était revenu, Cindy été mortifiée quand la doctoresse enleva la veste de pyjama laissant apparaître sa jeune poitrine blanche. La doctoresse souleva le sein gauche et plaça le stéthoscope froid sur le côté, ses tétons roses répondant en grossissant directement. « Inspire profondément et expire doucement Cindy », a dit la doctoresse. La poitrine de Cindy tremblait quand elle fit ce que demandait la doctoresse, celle-ci a écouté plusieurs fois devant puis est passée au dos pendant ce temps, la maman regardait.

« Bien, les bronches ne semblent pas chargées et les poumons sont clairs ! » a dit la doctoresse en rangeant son stéthoscope.

Cindy essayait de récupérer sa veste de pyjama quand elle a entendu la doctoresse dire, « reste comme tu es et couche toi sur le dos , les bras au-dessus de la tête » passant ses mains sur le cou, puis sous les aisselles palpant la poitrine tout en marmonnant pendant ce temps « tout est normal ».

Cindy pensait qu'il aurait mieux valu aller à l'école ce jour là et commença à se sentir vraiment malade quand elle aperçu le regard noir de sa maman, elle savait qu'elle commençait à suspecter qu'elle n'était pas malade du tout. Ces pensées se sont envolées quand elle a entendu la doctoresse lui demander de se soulever un peu afin de lui baisser sa culotte! Qu'allait-il encore se passer se demanda t-elle nerveusement, elle souleva le bassin et la doctoresse lui baissa sa culotte jusqu'aux genoux exposant aux yeux de tous, sa petite touffe de poils bruns. Elle était nue de la pointe de son nez à ses genoux maintenant, maman et la doctoresse voyaient son buisson et sa poitrine, elle voulait mourir! La doctoresse a commencé à appuyer sur le bas ventre et Cindy a fermé les yeux et gardé ses jambes hermétiquement serrées en espérant que cela allait bientôt se terminer.

Finalement elle a arrêté et a dit « Bien, bien jeune fille, j'ai besoin de parler à ta mère à l'extérieur, Nous en avons pour deux minutes et les deux femmes sont sorties dans le couloir et ont fermé la porte. Soulagée, Cindy a remonté sa culotte de pyjama s'est assise et a remit sa veste. Elle était curieuse de savoir ce que la doctoresse disait à sa mère, elle espérait qu'elle dise qu'elle avait une forme de maladie rare qui se clarifierait dans un jour ou deux. Elle s'est demandée aussi ce que sa maman ferait si elle était déclarée bien portante.

Conversation dans couloir :

Annie : Eh bien Docteur qu'as-t-elle ?

Doctoresse : Saine comme un cheval, Annie

Annie : Je le pensais bien! J'avais des doutes quand son école a appelé pour dire qu' elle manquait une interrogation aujourd'hui mais j'ai décidé de lui donner l'avantage du doute!

Doctoresse : Est-ce que nous allons passer au plan B comme nous en avons discuté plus tôt?

Annie : Oui, merci Monique, j'apprécie cela.

Doctoresse : Heureuse de t'aider Annie, Je suis sure que Cindy ne trichera plus jamais sur sa santé! Cindy avait juste reboutonné sa veste de pyjama quand la doctoresse est revenue dans la chambre. « Cindy, j'ai parlé avec ta mère, je crois que tu as un type de grippe nouvelle » dit-elle.

Youppie, pensa Cindy, très soulagée. Au moins je ne serai pas punie pour avoir menti! Il n'y avait eu que l'examen embarrassant.

La doctoresse n'avait pourtant pas fini de parler. « J'ai trouvé que la meilleure cure était un bon lavement, une piqûre de Vitamine B et un suppositoire toutes les quatre heures jusqu'à ce que la patiente se sente mieux » poursuivit la doctoresse.

Cindy a dévisagé stupéfaite la doctoresse, sûrement elle plaisantait! Dans quel bourbier s'était- elle embarquée? Elle a commencé à bégayer qu'elle ne se sentait pas vraiment trop mal maintenant et que si on pouvait attendre jusque demain, elle se sentirait sûrement beaucoup mieux - C'est alors que la mère est entrée avec un grand bock à lavement blanc. Cindy a regardé le récipient et a commencé à pleurer. Elle en avait déjà reçu quelques-uns et les détestait!

Sa mère donna le bock à la doctoresse qui entra dans la salle de bains attenante à la chambre, Cindy pouvait entendre l'eau couler. Sa mère s'est assise avec elle sur le lit et a essuyé ses larmes en lui disant qu'un lavement ne faisait pas mal et qu'elle ne devait pas pleurer.

M...Mais maman, je m…me sent beaucoup mieux vraiment, je ne veux pas de lavement et j'ai peur des piqûres, est-ce qu'elle ne sait pas me donner d'autres médicaments s'il te plaît? Sa mère l'a étreinte et a caressé ses cheveux, « Ecoute Cindy, Je suis sûr que la doctoresse sait ce qu'elle fait - elle a dit que cela te guérira très rapidement, tu ne veux plus te sentir malade n'es ce pas ?

Cindy savait qu'elle n'avait aucun choix il lui fallait littéralement « prendre sa médecine ». Si elle avait dit à sa mère qu'elle n'était pas vraiment malade elle était en danger aussi, sa mère l'avait menacée d'une fessée au martinet sur ses fesses nues si elle lui mentait et elle était sure qu'elle mettrait ses menaces à exécution. Elle avait reçu le martinet une fois et c'était une expérience qu'elle avait juré de ne plus revivre.

Un lavement?...et une piqûre? (elle détestait vraiment les piqûres)....et en plus des suppositoires?

« Maintenant Cindy, enlevons ta culotte pour qu'elle ne soit pas dans le chemin », dit sa mère en la poussant doucement en arrière et en lui ôtant sa culotte en lui maintenant les jambes en l'air. Cindy a de nouveau rougi. Maman la voyait de nouveau nue devant! Bien qu'elle s'était souvent retrouvée les fesses nues, mais toujours après avoir été positionnée sur les genoux de sa mère cachant à ses yeux sa foufoune (jusqu'à maintenant!). Elle a remonté les couvertures sur elle et sa mère lui a souri alors, la doctoresse est sortie de la salle de bains avec le récipient remplit à bord.

« Bien, je pense que j'aurai besoin de ton assistance Annie, est-ce que tu voudrais tenir ceci? »

Certainement, répondit Annie en se levant et en prenant le bock. La doctoresse prit le tube de vaseline et lubrifia la longue canule noire sous le regard horrifié de Cindy. « OK maintenant Cindy, repousse les couvertures et tourne toi sur le côté et plie ta jambe sur la poitrine ».

Cindy a soupiré et a obéi en disant, tout en prenant position, « je ne pense pas que vous avez besoin d'utiliser la totalité du bock docteur. Vraiment, vous ne trouvez pas qu'il y a trop d'eau? »

Sèchement sa mère lui dit « maintenant jeune fille je pense que la doctoresse sait ce qu'elle fait, tu fais juste ce qu'elle te demande ». Cindy a senti qu'on remontait sa jambe plus loin lui écartant ses fesses, alors la pointe noire graisseuse s'est posée sur son ouverture étroite, elle s'est crispée et a poussé des gémissement quand la doctoresse à entré la canule. Elle a sursauté quand l'eau savonneuse chaude a commencé à inonder ses intestins, elle a commencé à protester, « Oh, s'il vous plaît Docteur, s'il vous plaît c'est assez je ne peux plus me retenir ». La doctoresse a placé sa main sur la hanche et a dit simplement « OK, maintenant, c'est presque fini », puis elle a réajusté la canule et a demandé à Annie de tenir le bock plus haut. L'eau s'est précipitée et Cindy à commencé à se tortiller et demander la permission d'aller à la toilette.

« Maintenant Cindy que tu as pris la dose complète, je veux que tu gardes cette eau pendant 5 minutes pour s'assurer que tous les microbes seront expulsés de ton corps ». Malgré ses larmes et gémissements et le fait qu'elle croyait éclater d'un moment à l'autre, elles l'ont obligée à attendre les 5 minutes, sa mère est venue presser ses petites fesses (avec la canule toujours à l'intérieur). Ce fut un soulagement quand on lui a permis de se ruer à la salle de bains. Elle est sortie complètement humiliée de la salle de bains, elle a bientôt oublié sa honte en voyant l'aiguille que la doctoresse avait sorti de son sac. " Oh non " dit-elle en reculant vers la porte voulant s'échapper jusqu'au moment où sa mère a attrapé son bras.

« Non, je ne veux pas de piqûre, je déteste les piqûres ». pleura Cindy qui essayait de se libérer de la prise.

Sa mère s'est fâchée, « Cindy arrête cette comédie, tu agis comme un enfant! Couche toi sur le ventre sur ton lit ou je vais te fesser sur le champs! »

Cindy n'écoutait pas ce que sa mère disait, tout ce qu'elle voyait était cette aiguille - elle détestait recevoir une piqûre, surtout dans sa fesse! Elle a continué d'essayer de s'échapper mais avant qu'elle ne se rende compte de ce qui se passait elle s'est trouvée en travers des cuisses de sa mère tenue fermement en place. Si affolée qu'elle était par l'aiguille qui cherchait sa cible potentielle, elle ne s'est pas rendue compte qu'elle allait recevoir une fessée jusqu'au moment où le premier coup s'abattit en travers de son popotin.

Aie, s'est-elle écriée puis ouille, non oh ouille! Pendant que sa mère lui administré des claques rapides sur son popotin. « Si tu agis comme une enfant, je te traiterai comme une enfant. » dit- elle en lui allouant encore une quinzaine de coups, elle se tordait sur les genoux de sa mère sanglotant et demandant d'arrêter, elle s'est arrêtée quand Cindy a promis de ne plus faire le bébé. Sa mère l'a laissée se redresser alors, elle l'a tenue sur ses genoux et à essuyé ses larmes.

OK est-ce que tu vas être sage et prendre ta piqûre comme une grande fille maintenant? Cindy a fait un signe de la tête. Elle a regardé en silence assise sur les genoux de sa maman, la doctoresse sortir la seringue de son emballage. Quand elle a enlevé la protection en plastique Cindy a vu la grandeur réelle de l'aiguille et s'est remise à pleurer et la doctoresse a dit, « OK Annie retourne la », tout en remplissant la seringue avec la vitamine liquide.

Sa mère s'est assise sur le lit obliquement et l'a mise sur son genou avec une jambe qui couvre ses cuisses empêchant tout mouvement. Donc elle ne pourrait pas se déplacer, sa tête et sa poitrine étaient sur le lit, ses mains tenues fermement dans le dos. Elle sanglotait doucement sachant qu'elle ne pourrait plus l'éviter.

« OK Cindy, ce sera terminé avant que tu t'en aperçoive », dit la doctoresse. Cindy a entendu la déchirure du papier quand la doctoresse a pris l'ouate l'imbibant d'alcool et alors une fraîcheur s'est posée en travers de la partie la plus dodue de sa fesse. Ne tenant plus compte de sa résolution elle a commencé à lutter, oh c'était trop affreux d'être ici avec son derrière offert et en sachant que d'un instant à l'autre la doctoresse allait lui donner le coup fatal.

«Cindy », dit sa mère sévèrement et la tenant fermement et Cindy a commencé à sangloter de nouveau définitivement vaincue. Elle a gémi sans espoir, puis a hurlé quand l'aiguille a plongé dans sa joue fessière.

Nooooooooon hurla t-elle mais c'était trop tard, l'aiguille était enfoncée et elle recevait son injection. Même quand l'aiguille fut enlevée elle continuait à crier, sa mère a caressé son derrière en la consolant jusqu'au moment où ses pleurs se sont calmés.

Elle avait presque oublié le suppositoire, jusqu'à ce qu'elle ait entendu la doctoresse marmonner. « où est-ce que je les ai mis? » Elle ne savait pas encore ce que c'était mais le fait que sa mère la tenait toujours sur ses genoux, elle était sure que cela n'allait pas être agréable. Elle a entendu la doctoresse aller dans son sac (son sac de tortures se dit-elle sinistrement) « Ah, ils sont ici! Annie, tu devras lui en mettre un toutes les quatre heures pendant les prochaines 24 heures.

Cindy a tourné la tête et a vu la doctoresse qui enlevait un suppositoire gélatineux d'une boite.

« C'est pourquoi? » a demandé Cindy d'une voix tremblante.

« Oh, c'est un médicament Cindy, il est administré en l'insérant dans ton rectum où il fondra. » dit la doctoresse.

«Oh, je ne pense pas que j'ai besoin de cela docteur. » dit Cindy

Maintenant, c'est presque fini dit la doctoresse se penchant sur elle. Elle a écarté ses fesses et Cindy a senti la capsule froide pousser sur son ouverture. Elle s'est tortillée un peu et a sursauté en disant. « Oh non, s'il vous plaît, je n'aime pas cela, sortez-le, s'il vous plaît...s'il vous plaît...oh non! oh non, il brûle - sortez-le!! » Elle le sentait remonter son rectum et sa mère lui caresser le haut des cuisses . Ok, ok c'est presque fini. Elle s'est tortillée et a gémi quand la doctoresse a poussé à l'aide de son majeur, poussant le suppositoire le plus loin possible.

« Bien Cindy, je pense que tu as reçu tous tes médicaments pour l'instant » dit la doctoresse en faisant un clin d'œil à Annie. « Tu lui feras un autre lavement demain matin et n'oublies pas les suppositoires. Laisse-moi savoir si il y a du mieux.

Elles ont quitté la chambre, la doctoresse lui caressa la tête et sa mère l'embrassant sur le front et elles éteignirent la lumière en sortant. Cindy a caressé son popotin, encore chaud et douloureux de la fessée, sa fesse était vraiment douloureuse de la piqûre, le suppositoire fondu lui laissait une brûlure et son anus était encore poisseux! (et elle en recevrait un autre dans quatre heure! et probablement un autre lavement demain! )

Elle jura mais un peu tard, qu'elle ne raterait plus jamais aucun de ses examens scolaires à l'avenir.

© Cindy - cindydum@hotmail.com