Anonyme


Vues: 4707 Created: 2007.08.30 Mis à jour: 2007.08.30

Les Grands Chênes

Chapitre 1

Je venais d'avoir quinze ans. J'étais déjà très agréable à regarder, les cheveux châtains clairs, les yeux bleus avec de longs cils, un nez petit et légèrement retroussé. Une jupe plissée marquait ma taille fine et dévoilait de très jolies jambes jusqu'à mi cuisses. J'avais bien un petit ami mais nous n'allions guère au-delà de charmantes caresses accompagnées de profonds baisers dans lesquels nos langues se menaient un charmant combat qui pouvait durer des heures.

Mes parents, qui étaient en déplacement à l'étranger, pour les besoins de l'entreprise de mon père, m'avaient confié aux bons soins d'une grande amie de ma mère. Je pense que si elle avait connu la suite de cette histoire elle aurait choisi quelqu'un d'autre, mais j'y aurais perdu une expérience fort enrichissante. J'étais assez insouciante et pas spécialement ordonnée. Aussi Edith, l'amie de ma mère, finit par être de plus en plus courroucée à cause de mon comportement qui lui apportait de nombreux soucis et un surcroît de travail. Bien qu'elle m'eut déjà menacé d'un sévère châtiment je ne l'avais pas vraiment pris au sérieux.

Mais, un jour qu'elle arrivait de son travail plutôt énervée par sa journée, lorsqu'elle vit le désordre de ma chambre, elle se mit vraiment en colère. Elle me saisit par le poignet, s'assit sur mon lit et me coucha en travers de ses genoux. Je commençais à avoir vraiment peur en me retrouvant dans cette position vraiment très humiliante. Je sentis une boule se former instantanément au creux de mon ventre, mais je n'eus pas le temps de me poser beaucoup de questions.

D'une main, Edith remonta ma jupe sur mes reins, puis elle tira violemment ma petite culotte vers le haut, la faisant pénétrer profondément entre mes fesses et dans ma tendre petite barquette. Ce faisant, ma tête se retrouva plus bas que mon postérieur et mes pieds touchants à peine le sol.

- Alors tu as l'air maline dans cette position, ton petit derrière ainsi exposé, tu es beaucoup mois fière. Te voilà parfaitement disposée pour recevoir la bonne fessée que je te promets depuis si longtemps. Et clac! clac! clac! Une avalanche de claques commença à me chauffer les fesses. Je commençais à agiter les jambes dans tous les sens et mes chaussures heurtaient violemment le plancher.

Alors que je criais de plus en plus fort, Edith arrêta tout d'un coup de me fesser. J'avais les fesses en feu et je pensais que l'orage était terminé. Mais non, Edith me souleva les pieds l'un après l'autre pour ôter mes chaussures. Elle prit pour prétexte que j'abîmais son plancher. Après cela elle passa les doigts sous l'élastique de mon slip et le fit doucement glisser le long de mes cuisses.

Un petit coup sec libéra l'entre-jambes. Elle passa les genoux puis, soulevant les mollets vers le haut, elle me débarrassa complètement de ma petite culotte. Ma position devenait encore plus humiliante et je ressentis un grand trouble avec mon sexe à l'air libre, entièrement livré à la vue de ma tourmenteuse. Edith était maintenant plus calme et caressait doucement mon petit cul, semblant prendre la dimension de celui-ci.

Au fur et à mesures des passages de sa main sur mes fesses, elle les repoussait, soit vers la droite, soit vers la gauche, pour faire apparaître mon petit trou. La chaleur de mes fesses commençait à se communiquer à ma petite fente et je sentais de drôles de picotements dans celle-ci.

- Ma petite Annie ton insouciance va t'amener encore bien des tourments et je crois que ton petit cul va en faire les frais. Ce petit échauffement n'était que le prélude à la véritable fessée que ton gros joufflu va recevoir. Je serrais les jambes et mon cul palpitait de frousse mais, levant la jambe, elle le remonta encore un peu plus haut.

Et paf! Une claque, puis une autre, la main s'y abattait maintenant régulièrement et mes jambes recommençaient à s'agiter dans tous les sens. Je dévoilais largement les secrets de ma petite fente qui s'ouvrait sporadiquement au rythme imposé par la main de ma fesseuse. Peu poilue je devais offrir un fameux spectacle. Elle cessa enfin. Je cessai également de crier mais continuais à sangloter doucement, le ventre agité de convulsions, sur les genoux d'Edith. Elle me releva doucement et me demanda de me mettre à genoux devant elle.

- Ma petite Annie j'ai décidé, puisque ton comportement m'y oblige, de te confier à un établissement spécialisé qui se chargera pendant quelque temps de ton éducation. La discipline y est sévère et cela te fera le plus grand bien. Elle se leva et sorti de ma chambre me laissant à genoux devant mon lit. Je profitais de son départ pour m'y allonger à plat ventre. Je me frottais les fesses pour essayer de calmer l'embrasement qui les dévorait mais, au bout de quelques minutes, je ressentis une certaine excitation. J'amenais alors doucement la main droite au niveau de mon jeune sexe. Je constatais une certaine humidité en approchant. Je passais doucement l' index dans ma fente. Ressentant une excitation croissante je frottais de plus en plus vite. Mon bouton était devenu tout dur et ma respiration devenait de plus en plus haletante. Je sentais mon pouls qui battait de plus en plus fort.

Ma tête s'agitait dans tous les sens. Je poussais des petits gémissements de plaisirs. Quand, tout à coup, je sentis comme une énorme secousse qui me traversa depuis la pointe des pieds jusqu'au sommet du crâne. Un plaisir énorme m' envahie. Des gouttes sueur perlèrent sur mon front et je ressentis un violent tremblement dans tout le corps. Après cela je me sentis soudain très détendue, comme portée par un petit nuage. Je venais, sans le savoir encore, d'avoir mon premier orgasme.