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Vues: 4668 Created: 2007.07.19 Mis à jour: 2007.07.19

Les Lavements, J'Adore !

Les Lavements, J'Adore !

Je n'étais pas adepte du lavement. mais mon mari y est arrivé le jour où j'étais disposée à me faire sodomiser pour la première fois. après vingt ans de mariage. C'était un lendemain de Noël, et comme nous étions seuls à la maison. mon mari m'a demandé de me mettre à l'aise. Connaissant ses idées, je voyais déjà la suite. En déshabillé vaporeux noir, slip et soutien-gorge de même couleur, je me présentai à mon mari qui était occupé à mettre des coussins sur le canapé, et de grandes serviettes éponges. Je ne m'attendais pas à la suite.

- Ecoute, ma chérie, tu m'as dit que tu faisais un peu d'aéro-phagie. Je vais t'administrer un bon lavement pour évacuer les gaz et le reste.

Je savais qu'il était très équipé de ce côté-là car j'étais sa deuxième femme. Il avait divorcé, et sa femme souffrait souvent de constipation. il m'avait raconté les pratiques des différents instruments. Dans notre petite pharmacie, il y avait des poires à lavement de 100,250,500 cl, voire même de un litre, un bock à lavement, des canules de toutes sortes. Et le plus étonnant une énorme seringue de un litre sur laquelle s'adapte une grande canule en caoutchouc souple qui se termine comme une canule rigide, trouée sur environ 5 cm.

Après les préparatifs d'usages, le matériel sur une petite table, près du canapé, il m'a enlevé mon slip, relevé le déshabillé et m'a demandé de me mettre en levrette, les jambes écartées, la tête sur un coussin. C'est ma position préférée pour faire l'amour, et j'avoue que ce jour-là j'étais disposée à me laisser faire. Je l'ai vu enfiler des gants de caoutchouc très fin, graisser la canule d'une poire de 250 cl, remplie d'eau avec de la glycérine: Il avait pris soin de me graisser également l'anus. J'ai senti la canule me pénétrer jusqu'au fond.

Je vais te faire un petit lavement pour que tu évacues un peu, et après ce sera un bon lavement.

J'ai senti l'eau chaude couler dans mes intestins, mais déjà il retirait la canule. J'ai évacué très vite ce premier lavement. Puis je me suis remise dans cette position pour connaître pour la première fois le lavement à la seringue. Il commença par m'enduire l'anus avec un gel clair et doux. et de temps en temps. son doigt s'introduisait dans mon anus. Puis, avec sa petite poire de 100 cl, il m'a injecté de l'huile d'amande douce. C'est alors que commença l'introduction de cette énorme canule qu'il avait pris soin de bien graisser afin qu'elle glisse dans mes intestins. Tenant d'une main la seringue. de l'autre la canule, il l'enfonca d'emblée de 15 cm, puis il retira et réenfonca ce caoutchouc graissé qui. petit à petit s'enfila. Rapidement j'en ai avalé 45 cm. Voilà, ma chérie. tu es prête Détends-toi. je vais ap-puyer sur le piston et je vais t'administrer un litre de lait chaud avec un flacon de glycérine. Tu verras, cela te fera du bien.

Je sentis immédiatement le liquide chaud au fond de mon ventre et lui ai demandé d'opérer doucement. Je commençais à pousser des soupirs puis de petites plaintes, car le litre avait été injecté en très peu de temps. Voilà, ma chérie, je vais retirer la canule. Et doucement, j'ai senti le caoutchouc glisser hors de moi. J'avais serré mes jambes, et me suis couchée sur le côté. Mais déjà mon mari, toujours de ses doigts gantés, me mettait son majeur dans l'anus. Il l'a conservé jusqu'au moment où, n'en pouvant plus, j'ai dû me précipiter aux toilettes, une serviette entre les jambes.

A mon retour, j'étais toute chose j'avais des envies de faire l'amour, certainement dues au lavement. Mon mari devait s'en douter, car il m'attendait nu, le membre gonflé et raide, et s'enfi- lait un préservatif.

- Viens, me dit-il, remets-toi en levrette, on va essayer quelque chose, maintenant que tu es propre.

J'ai répondu " Non ", mais j'étais déjà sur le canapé, les jambes bien écartées, et il me graissait l'anus. J'ai senti son membre contre mes fesses, ses doigts ont écarté mon anus, et il a appuyé fortement. J'ai poussé un cri, trop tard, il m'avait déjà pénétrée de trois cm. Il me tenait très fort aux hanches, m'a obligée à reposer ma tête sur le coussin et a continué la pénétration. Je lui dis que le caoutchouc me faisait mal,

Il s'agitait doucement puis plus fort, et je poussais des plaintes.

- Non, pas par là lui dis-je, j'ai mal Il s'est retiré, a enlevé la ca-pote, m'a repris aux hanches et il s'est remis en position pour m'enculer, il m'a pénétrée doucement et à fond, puis il m'a dit :

- Cette fois, tu vas prendre mon lavement personnel Il m'a limée fortement, je sen-tais son membre long et fin me pénétrer les intestins et quelque chose de chaud qui giclait dans mon ventre. C'est à ce moment que j'ai joui, en me frottant moi-même le clitoris et en enfonçant deux doigts dans ma fente. Je sentais le membre de mon mari à tra-vers la fine paroi, j 'étais mouillée totalement.

Mon mari n'avait pas débandé.

Il a recommencé sans sortir de mon petit trou, et m'a refait un se-cond lavement, puis il s'est vidé totalement dans mon anus qui me brûlait. Depuis que je vis seule, il m'arrive fréquemment de me livrer au lavement, et c'est avec la seringue que je préfère. J'arrive à conserver le lavement d'un demi-litre en conservant la canule enfoncée de 40 à 45 cm, et me masturbe avec une énorme carotte que j'ai enveloppée d'un préservatif. Après avoir joui, j'appuie sur la pompe de la seringue. C'est divin. Voilà comment j'ai été enculée pour la première fois après un lavement.