Paul.


Vues: 5126 Created: 2007.08.14 Mis à jour: 2007.08.14

Les Lavements Chez Ma Nourrice

Les Lavements Chez Ma Nourrice

Author: Paul.

Les lavements, je les ais découverts chez ma grand mère. A la maison je n’en ais jamais reçu pour la simple raison qu’il n’y avait pas de matériel permettant d’en donner. Ma douce grand Maman, avait eu le bon goût de me les présenter non pas comme une sanction ou une punition parce que je n’allais pas aux toilettes, mais comme un jeu… Un jeu qui fait du bien ! Chaque fois que je passais quelques jours chez elle, je me trouvais barbouillé, un peu constipé, ou le ventre douloureux et je recevais un ou deux gentils lavements qui remettaient tout en ordre. D’abord je les recevais à la poire, puis vers une dizaine d’années, je découvris les bienfaits du bock, et la douce ivresse d’un ventre bien remplis.

C’est aussi vers dix ans que Maman dût me placer chez une nourrice le soir en rentrant de l’école parce que son travail la faisait rentrer le soir après dîné. Cette gentille dame avait une fille de mon âge : Isabelle. Nous étions dans la même classe, nous prenions le car de ramassage ensemble, nous faisions nos devoirs ensemble, nous dînions ensemble et heureusement nous nous entendions très bien.

Un jeudi après midi, alors que nous n’avions rien d’autre à faire que de profiter de notre jour de congé, Isabelle fut appelée par sa mère dans sa chambre, moi je jouais dans la coure, et rien n’aurait put me déranger. Pourtant un peu plus tard, je du me résoudre à battre en retraite vers la maison pour aller pisser. C’est en voyant un bock encore humide dans la salle de bain que je compris qu’Isabelle venait de recevoir un lavement, mais surtout qu’il y avait de quoi faire un lavement dans cette maison.

Sans en être nullement conscient, rapidement mon ventre devint douloureux, et je pris un air pitoyable. A tel point que ma nourrice s’en alarma :

« Que t’arrive-t-il ? Tu en as une drôle de tête tout d’un coup ?

- C’est que j’ai très mal au ventre…

- Ça t’est déjà arrivé ? Que te fait ta maman quand ça t’arrive ?

- Ça ne m’est arrivé que chez ma grand mère, elle me soigne avec un lavement… »

Elle eu l’air un peu surprise, et retourna vers la maison. Un moment plus tard elle revint avec un panier à la main et envoya Isabelle au jardin ramasser des fraises. Puis elle m’emmena vers la maison en m’expliquant :

« Je viens de téléphoner à ta maman, elle est d’accord pour que je te fasse un lavement, vient dans la chambre d’Isabelle, nous allons te soigner ça tout de suite. »

Dans la chambre le bock était prêt, et je n’eu qu’a me mettre en place. Elle m’installât confortablement, et plaça délicatement la canule entre mes fesses. Puis le lavement me remplit le ventre délicieusement, et si je poussais quelques gémissement ce n’était sûrement pas de souffrance. Elle fut surprise de me voir prendre une telle quantité, sans protester, et m’encouragea à le conserver quelques minutes avant d’aller aux toilettes. Je suivis ce conseil avec bonheur, j’adorais vraiment avoir le ventre gargouillant et ainsi distendu… Et quand je revins des cabinets, j’avais retrouvé ma forme, et je flottais un peu sur un petit nuage.

Ce lavement inconsciemment resquillé, m’avait calmé. Ce n’est que deux ou trois semaines plus tard, en rentant de l’école que je me rendis compte, alors que je marchais quelques mètres derrière Isabelle, que son pantalon bien ajusté mettait bien ses fesses en valeur, et qu’elle avait un bien joli cul ! Il se balançait au rythme de ses pas : à droite, à gauche, à droite, à gauche… Doucement, progressivement je le déshabillais du regard, je voyais maintenant ses jolies petites fesses suivre le mouvement de sa marche. En insistant encore, je parvins bientôt à voir le tube du lavement planté entre elles deux, j’étais véritablement fasciné, ma vision était splendide, je ne pouvais plus décoller mon regard de sa croupe, tellement, qu’a quelques pas de sa maison, j’ai embouti un poteau de signalisation et me suis retrouvé les quatre fers en l’air…

Aussitôt ceux qui étaient présent se précipitent pour me ramasser. On me demande ce qui m’est arrivé : J’explique que je viens de rentrer dans le panneau… Oui, mais pourquoi ? Me demande la mère d’Isabelle qui vient de nous rejoindre et s’inquiète de l’énorme bosse qui orne mon front. Bien sûr, pas question de lui expliquer que j’étais distrais par le si joli cul de sa fille… Alors, je raconte n’importe quoi, que je n’ais pas digéré le poisson de la cantine à midi et que je me suis senti tout bizarre… Isabelle vient à ma rescousse en disant que la sauce était toute drôle. Alors ma gentille nourrice en a déduit que je faisais une indigestion, et qu’elle allait me donner un lavement pour faire passer ça.

C’est ainsi que je me retrouve dans la chambre d’Isabelle, non pour faire mes devoirs, mais pour recevoir un nouveau lavement. Je me retrouve fesses à l’air, devant Isabelle qui fait comme si elle était plongée dans son travail, avec le tuyau dans le derrière comme je l’imaginais, elle, un moment plus tôt. Ironie du destin, c’est moi qui me tortille devant elle… Je prends ainsi, bravement (et agréablement) mon lavement, et je suis invité à le garder le quart d’heure réglementaire. Deux ou trois minutes plus tard, elle revient avec le bock plein et le remet en place au dessus du lit :

« Allez, Isabelle, à ton tour !

- Mais je vais bien, moi…

- Oui, mais tu as mangé la même chose, et je ne veux pas que tu me déclenche une indigestion cette nuit, allez hop ! En place ! »

Isabelle prit ma place sur le lit, et je la remplaçais au bureau où l’endroit était vraiment choisi pour assister au spectacle. Et quel spectacle : se fesses étaient encore plus belles que je n’avait oser les imaginer, et avec le tuyau du lavement bien enfoncé en leur centre. Comme pour me faire plaisir, elle se trémoussait à mesure que le liquide se frayait un chemin dans ses entrailles. C’était tellement beau que j’en oubliais mon ventre ballonné et mes coliques. Sa mère finit par retirer la canule, Isabelle faisait assez la grimace.

« Allez, Paul, Va vite te vider ! Isabelle va bientôt avoir besoin de la place… »

Je ne me le fis pas répéter, et évacuais rapidement le contenu de mon intestin, promptement suivi par la fille de la maison.

La maman d’Isabelle me fit remarquer, alors que nous étions seule :

« Je ne pense pas qu’isabelle en avait réellement besoin, mais comme ça, elle ne risquera pas de se moquer de toi demain, à l’école… »

Charmante attention de ma nourrice, qui venait en outre, sans s’en douter de concrétiser mon rêve.