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Vues: 4504 Created: 2007.09.25 Mis à jour: 2007.09.25

Les lavements de Pierre

Les lavements de Pierre

En ce qui me concerne mes parents m'apprirent, que jusqu'à l'âge de 2 ans, j'étais très souvent sujet à des constipations et ma mère, qui surveillait de près m'introduisait journellement un long suppositoire à la glycérine. C'est probablement le chipotage régulier de mon anus qui a fait naître ce goût : renforcé encore par la suite du plaisir que m'a toujours donné la contemplation d'une belle paire de fesses.

Le premier clystère que je me souviens est celui que j'ai reçu à l'age de cinq ans. J'étais en visite chez ma grand-mère et un soir que j'étais malade j'ai bénéficié d'un grand lavement émollient ; elle préconisait toujours ce traitement, non seulement en cas de constipation mais aussi en cas de fièvre…

Les générations 1900 semblaient faire un usage très fréquent de ce bouillon pointu à des fins soi-disant hygiéniques, semble t'il ! Encore que, sans vouloir l'avouer, cela n'était-il que prétexte.

Je revois encore les préparatifs que je contemplais avec crainte ; la graine de lin qui bouillait dans le grand poêlon, le bock émaillé sur la table avec son grand tuyau rouge et l'œil menaçant de la canule noire luisante de vaseline, mais je n'ai plus souvenir précis de l'effet produit. Par contre l'effet produit, vers huit ans, par les fesses d'une fille ou d'un garçon, est toujours resté profondément gravé dans ma mémoire.

Ma proche voisine un peu plus âgée que moi et fort délurée venait parfois partager mes jeux. Nous jouions très souvent au " papa et à la maman "

Un bel après midi de juin, après un soi-disant souper, Lucy estima que nous devions aller coucher ; nous nous étendîmes sur l'herbe et fîmes semblant de dormir ; quelques instants plus tard elle me demanda si je savais ce qu'un papa et une maman faisaient le soir dans leur lit.

Je ne connaissais que le repos pour usage de ce meuble mais Lucy m'appris qu'ils jouaient à des jeux fort agréables au cours desquels les organes

" par où on faisait pipi " participaient activement.

Elle me pressa de lui montrer mon " petit machin " que je sortis tout fripé par le coté de la jambe de ma culotte courte ; en échange, toujours couchée, elle fit glisser sa petite culotte blanche et à mes yeux se révéla une petite fente rose qu'elle écarta de ses doigts pour me montrer à ce qui ressemblait à des pétales de roses gracieusement chiffonnées ; étant fils unique je n'avais pas encore eu le temps d'inspecter le sexe d'une fillette.

La sensation que j'en retirai était fort agréable ; je fus conquis et, régulièrement, couchés dans l'herbe, nous mettions nos jeunes sexes au grand jour et les amenions simplement en contact pour faire comme " papa et maman " Un jour de pluie nous avions trouvé refuge dans une cabane où étaient disposés les outils de jardin ; comme il y avait peu de place pour nous livrer à notre jeu favori, mon amie qui était debout releva brusquement sa jupe et abaissa sa culotte pour exposer son derrière à ma vue???

Ce fut un éblouissement ! Le tableau de ces jeunes fesses, à la fois fermes et remplies, soulignées d'affriolantes fossettes, séparées par un sillon plus profond et plus sombre produisirent des sensations d'une rare volupté que je n'oublierai jamais (ainsi d'ailleurs qu'un durcissement appréciable et agréable de la verge)

C'est d'alors que date mon immense intérêt pour la vue et le chipotage des fesses.

Malheureusement, mes parents déménagèrent et je ne revus plus ma voluptueuse partenaire alors que j'aurai tant voulu revoir et palper son adorable derrière. Mais régulièrement, je caressais et pétrissais le mien et bientôt j'insinuais dans mon anus un vieux tuyau de pipe ce qui me procurait d'étranges frissons et des érections immédiates et continues.

Le membre tendu au maximum de sa puissance, je n'en finissais plus de me caresser doucement et avec volupté le pénis jusqu'au jour où horrifié et divinement heureux je me sentis parcourus de spasmes et où un liquide visqueux s'échappa du gland et m'inonda la poitrine.

Peu après j'entendis ma mère qui parlait d'une jeune tante récemment accouchée et qui disait qu'on lui avait fait un lavement. J'enregistrais ce mot qui me paru plein de promesses et les joues en feu, je me plongeai dans le grand Larousse de mon père qui m'apprit que c'était une injection de liquide dans le gros intestin pratiqué par l'anus en utilisant soit la poire, la seringue, le clysopompe ou le bock.

A ces rubriques, je découvris d'autres termes techniques tels que canule et la représentation des engins en question. Je reconnus ainsi le bock que ma grand-mère avait utilisé lorsque j'étais tombé malade chez elle dans les premières années de mon existence.

Je détaillais alors à partir de ce moment les étalages des pharmacies et des drogueries pour approfondir la connaissance de cet outillage. Ces appareils figuraient parfois dans la vitrine dont que la simple contemplation et l'aspect suffisaient à me provoquer une immédiate et formidable érection.

Vers treize ans, j'eus une forte grippe qui se termina par une forte et tenace constipation. Ma mère, d'un air détaché décréta un matin qu'elle allait me faire un lavement ; mon cœur bondit dans ma poitrine mais je fis l'ignorant ; ma mère m'expliqua que cela consistait en un rinçage de l'intestin avec de l'eau qu'elle allait introduire avec un appareil spécialement conçu pour cette opération (donc il y en avait un à la maison) et que cela ne faisait pas mal.

Elle fit bouillir de l'eau tandis qu'elle se rendit à l'étage chercher l'instrument (donc il était en haut) Puis elle m'enjoignit d'ôter la culotte de mon pyjama et de me coucher sur le coté. Honteux, j'hésitais à obtempérer car mon pénis manifestait son immense intérêt pour ce qu'il allait se passer et était au paroxysme de sa grosseur. Je me tournai vers le mur, fis glisser mon pantalon et pudiquement m'en cachai le pubis.

Tandis que je revenais vers le centre de la pièce pour prendre la pose prescrite, ma mère m'enjoignit d'abandonner mon pantalon pour ne pas le froisser et le mouiller. Rouge comme un coquelicot, mort de honte, je libérai ma virilité qui bondit au grand jour.

Ma mère fit semblant de ne rien voir, mais je ne fus pas dupe et surpris son regard accroché à ma glorieuse virilité tandis que je m'étendais.

Je sentis ses douces mains m'écarter les fesses, puis après avoir enduit la canule de vaseline, elle m'enfonça plusieurs fois son doigt recouvert de cette même pommade dans l'anus tandis que ma verge distillait abondamment entre mes cuisses.

Enfin, je sentis l'eau tiède se répandre en moi : c'était divin !

Quelques légers attouchements de mon pénis auraient suffit à déclencher un foudroyant orgasme, mais je dus attendre d'être sur le siège des toilettes pour provoquer l'éjaculation de mon membre poisseux.

Ce fut une expérience inoubliable et je me promis bien de trouver la cachette de l'injecteur. Le premier après midi où je fus seul, je me mis à fouiller toutes les armoires de l'étage et découvris l'objet de ma convoitise caché derrière une pile d'essuies mains.

Le cœur battant, je courus à la salle de bain, me déculottai et tandis que ma verge grandissait par d'énormes saccades, je m'enfonçai lentement la canule fraîche, préalablement enduite de salive faute de mieux, dans l'anus le plus loin que je pus et la fis jouer plusieurs fois. Enfin, installé dos au miroir qui me renvoyait la voluptueuse image de mes fesses d'où émergeait le petit robinet noir et le tuyau rouge, et après avoir remplis le serveur d'eau tiède du robinet, car j'avais peu de temps, j'administrai mon premier clystère qui me procura des sensations d'une rare volupté.

A peine avais-je une pinte d'eau dans le corps et fait jouer une dizaine de fois la peau du prépuce que, parcourus de frissons, une puissante et abondante éjaculation éclatait. J'absorbai encore un litre de liquide puis dû fermer le robinet et courir aux toilettes.

Dès que mes parents s'absentaient ensemble, ce qui était malheureusement rare, je me livrais sur le champs à mon plaisir érotique favori en variant les poses. Quand je trouvais dans les revues de mode de ma mère dans des poses que je jugeais possible pour administrer un clystère, je les reprenais à l'aide d'un papier carbone sur du papier blanc sans bikini bien sur et y ajoutais une dispensatrice nue et tout le matériel voulu pour recréer l'ambiance érotique que j'affectionnais.

Combien ai-je regretté de ne plus avoir Lucy, certain qu'avec l'enthousiasme, elle aurait applaudi à l'idée de nous passer mutuellement des clystères et, par la pensée, je me voyais écartant les fesses de son merveilleux derrière et introduisant profondément la canule jusqu'au petit robinet noir. Cela se terminait invariablement par une bonne masturbation, que j'essayais à grande peine de faire durer, sans vraiment y parvenir.