Vues: 2661 Created: 2009.09.24 Mis à jour: 2009.09.24

Les lavements, j’adore !

Les lavements, j’adore !

Trouvée dans "Spécial Lettre Magazine" d'octobre 1989

Je n’étais pas adepte du lavement, mais mon mari y est arrivé le jour où j’étais disposée à me faire sodomiser pour la première fois, après vingt ans de mariage.

- Ecoute, ma chérie, tu m’as dis que tu faisais un peu d’aérophagie. Je vais t’administrer bon lavement pour évacuer les gaz et le reste.

Je savais qu’il était très équipé de ce côté-là, car j’étais sa deuxième femme. Il avait divorcé et sa femme souffrait souvent de constipation. Il m’avait raconté les pratiques des différents instruments. Dans notre petite pharmacie, il y avait des poires à lavements, de 1OO, 250, 500 cl, voire même de un litre. Un bock à lavement, des canules de toutes sortes. Et le plus étonnant : une énorme seringue de un litre sur laquelle s’adapte une grande canule en caoutchouc souple qui se termine comme une canule rigide, trouée sur environ 5 cm. Après les préparatifs d’usages, 1e matériel sur une petite table, près du canapé, il m’a enlevé ma culotte, relevé le déshabillé, et m’a demandé de me mettre en levrette, les jambes écartées, la tête sur un coussin. C’est ma position préférée pour faire l’amour, et j’avoue que ce jour-là j’étais disposée à me laisser faire.

Je l’ai vu enfiler des gants de caoutchouc très fin, puis attraper un objet qu’il se mit à secouer ; un thermomètre ! ça non plus je n’avais jamais voulu…

- on commence par prendre ta température ; à partir de ce jour, je me chargerai de cette petite opération.

Le thermomètre transperça mon cratère et me pénétra très loin. Il y avait si longtemps que personne ne m’avait mis le thermomètre, maman sans doute vers mes quinze ans. Cette introduction en faisant ressurgir de lointains souvenirs, me procura un étrange plaisir.

Il me laissa fesses en l’air et je le vis graisser la canule d’une poire de 250 cl, remplie d’eau avec de la glycérine. Il avait pris soin de me graisser également l’anus pour prendre ma température.

Au bout de cinq minutes, le thermomètre me quitta et j’ai senti la canule me pénétrer jusqu’au fond.

- Je vais te faire un petit lavement pour que tu évacues un peu, et après ce sera un grand lavement.

J’ai senti l’eau chaude couler dans mes intestins, mais déjà il retirait la canule. J’ai évacué très vite ce premier lavement. Puis je me suis remise dans cette position pour connaître pour la première lois le lavement à la seringue.

Il commença par m’enduire l’anneau avec un gel clair et doux, et de temps en temps, son doigt s’introduisait dans mon trou. Puis, avec sa petite poire de 100 cl, il m’a Injecté de l’huile d’amande douce. C’est alors que commença l’introduction de cette énorme canule qu’il avait pris soin de bien graisser afin qu’elle glisse facilement dans mon fondement. Tenant d’une main la seringue, de l’autre la canule, il l’enfonça d’emblée de 15 cm, puis la retira un peu et réenfonça ce caoutchouc graissé qui, petit à petit s’enfila. Rapidement, j’en ai avalé 45 cm.

- Voilà, ma chérie, tu es prête ! Détends-toi, je vais appuyer sur le piston et t‘administrer un litre de lait chaud avec un flacon de glycérine. Tu verras, cela te fera du bien.

Je sentis Immédiatement le liquide chaud couler au fond de mon ventre, et lui ai demandé d’opérer doucement. Je commençais à pousser des soupirs puis de petites plaintes, car le litre avait été injecté en très peu de temps.

- Voila, ma chérie, je vais retirer la canule.

Et doucement, j’ai senti le caoutchouc glisser hors de moi. J’avais serré mes jambes, et me suis couchée sur le côté. Mais déjà mon mari, toujours de ses doigts gantés, me mettait son majeur dans l’anus. Il l’a conservé jusqu’au moment où, n’en pouvant plus, j’ai dû me précipiter aux toilettes, une serviette entre les jambes. A mon retour ,j’étais toute chose ; j’avais des envies de faire l’amour, certainement dues au lavement. Mon mari devait s’en douter, car il m’attendait nu, le membre gonflé et raide, et s’enfilait un préservatif.

- Cette fois, tu vas prendre mon lavement personnel !

A partir de ce jour, régulièrement, mon mari m’a administré des lavements ; j’ai expérimenté toutes le poires, le bock et toutes les canules. De plus, il multiplie les occasions de me prendre la température…

Depuis que je vis seule, j’ai continué de me livrer au lavement, seule ou avec quelques compagnons (voire amie) de rencontre. Et c’est avec la seringue que je préfère.

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clyso Il ya 10 ans  
clyso Il ya 15 ans