Anonymous


Vues: 4909 Created: 2007.11.10 Mis à jour: 2007.11.10

Les lavements quels délices

Les lavements quels délices

(un tourment follement érotique)

Quand je veux punir ou émoustiller ma femme, je lui propose de lui administrer un « petit » lavement, une injection dans le cul si vous préférez… Elle se sert déjà peureusement les fesses et fait semblant de ne pas consentir au traitement suggéré.

Je lui ordonne le coucher sur le lit pour recevoir une fessée préliminaire qui lui inspirera de meilleurs sentiments. Elle se déshabille lentement ; je la gronde :

- dépêche-toi de me montrer ton fondement qui recevra un délicieux lavement ; puisque tu n'as pas l'air convaincue, je vais te faire pan pan cul cul.

Elle se couche docilement à plat ventre ; elle a gardé seulement sa culotte, comme un dernier rempart entre la peau de son cul et les tourments délicieux que je m'apprête à lui faire subir.

Je baisse lentement sa culotte et je la rassure :

- Ça ne sera rien ! Tu souffriras un peu, mais je serai très doux… Tu recevras un lavement amoureux.

Elle se détend quelque peu ; je prends une palette de cuir achetée dans un sex-shop et je lui frappe fort les fesses. Elle gigote, mais je la tance vertement :

- si tu bouges encore, je te pique le cul avec des épingles, je te fustige avec des orties, je te rase le cul et je te mords le clitoris.

La menace produit son petit effet ; elle déclenche chez ma femme une peur salutaire ; ses jambes ne remuent plus, le cul superbe est offert au supplice, résignée tranquille, complice en quelque sorte.

Je frappe assez fort,

-quand tes fesses seront bien rouges, j'arrêterai la séance.

Je la chatouille entre les cuisses, elle mouille beaucoup. Mon traitement n'est donc pas si désagréable. Son cul est devenu très rouge, cramoisi, écarlate, vermillon, tel un soleil levant, un grand soleil lavement.

Ma femme gémit ; son pétard est en feu, mais la sensation la réjouit. Elle jouit, la garce !

- chérie, comme je t’ai fessée énergiquement, je vais adoucir tes élancements.

Je lui talque le fondement, comme on le ferait pour une enfant. Elle est calmée, rassurée, cajolée. Son derrière devient blanc, neigeux, heureux.

- Chéri je t'aime fort.

Après la fessée, je vais jouer un peu au docteur.

- je veux, avant de t’ administrer le lavement, prendre ta température rectale.

Je la couche sur le côté, lui fais plier les genoux. J'essuie doucement le talc qui blanchi son arrière-train ;

mon gant de toilette pénètre dans tous les coins, humecte la raie du cul, l'anus, le con.

Voilà la place nette, prête au sacrifice solennel. Ma femme offre son cul au thermomètre. Je sors délicatement l'instrument de son étui, je le lèche pour l'humidifier ; sans autre forme de procès, j'ouvre tout grand l’oeillet du cul qui se rapproche, se prêtant de bonne grâce à l’intromission. J'enfonce le thermomètre ; je le plante bien profondément,

- serre le bien dans ton cul, surtout le relâche pas, sinon…

Ma femme reste fort sage ; je maintiens avec ma main le thermomètre dans le rectum. Je le tourne un peu parfois avec joie et espièglerie,

- doucement dans ma petite croupe.

Tout en enfonçant encore un peu plus l'objet inquisiteur, j’annonce fièrement la suite du menu :

- je vais te mettre de l'eau dans le cul, tout au fond ; ton ventre se remplira, mais tu en redemandera, du bon lavement qui va couler bientôt dans ton petit fondement.

À l'annonce de ces réjouissances, ma femme serre à nouveau ses fesses, heureusement timidement ne sachant plus comment se dérober à mes soins empressés. Elle l’aura son bain dans le cul, son liquide parfumé, subtil et vicieux. La chère coquine mouille, abondamment, copieusement ; pourtant, son cul se contracte, réfractaire au clystère peut-être…

- voilà qui ne va pas simplifier les opérations, comment vais-je te retirer le thermomètre du cul ? allons coopère ! Desserre maintenant ton étau, je vais te délivrer du thermomètre.

- mais après ce sera pire,

- bien sûr, mais tu vas jouir.

Ma femme rit ; elle se détend. Je retire l'instrument du rectum craintif, d'un petit geste plein de gentillesse de malice.

- voilà c'est fini.

La fièvre de ma chère épouse n'intéresse guère, je me consulte même par l'échelle des degrés. Le brave cul est à nouveau libre. Du reste, c'est moi qui la fièvre, excités à l'idée de ce qui se prépare, de ce qui attend le cul un mignon de ma chère suppliciée.

- ton trou du cul est bien préparé, cela ira tout seul, ce Ça glissera comme dans du beurre.

- c'est toi qui le dis, c'est moi qui dégusterai.

- pendant que je vais préparer le matériel nécessaire, tu reste dans cette position humiliante et bien commode pour l'opérateur. Tu attendras sans peur la venue du Dr clystère. Tu ne pensera sérieusement qu'à ce qui t'attend.

Je le prépare un long tuyau souple, un bock, de la vaseline. Je le remplis le bock d'eau tiède que je parfume de lavande et de romarin. Ca va barder ! Je reviens ! Prépare ton cul ! Est-tu prête pour l'embarquement pour Clystère ?

Hélas, ma femme s'est reculottée, elle aura eu peur. Elle est pourtant toujours couchée sur le côté, les fesses exposées à toutes sortes de tourments, à toutes mes spécialités de lavements, des grands, des brûlants. Allons, ôte bien vite sa culotte, montre-moi ton anus minuscule, que je puisse enfin officier dans ton séant.

Je la prends dans mes bras, je la caresse pour l'encourager à recevoir son lavement si suave, si calmant. En voyant que rien n'empêchera d'accomplir mon forfait, elle consent enfin recevoir son tendre supplice, son bouillon pointu entre les fesses. Elle baisse sa culotte, pleure un peu pour la forme et me tend gentiment son cul adoré. Je lui lèche pour la remercier de son obéissance. Je lui plante ma langue dans le trou du cul frémissant son fondement libre appréhension, pourquoi ?

- allons ! Je ferais bien attention, je te ferai aucun bobo laisse-toi aller comme une fillette bien sage.

Elle attend le fameux lavement qui va inonder son postérieur, son intérieur, son trou du cul timide et humble. Je lui vaseline l'anus, sur les bords et en dedans. Elle rigole, je la chatouille et elle mouille.

- je vais introduire l'extrémité du tuyau pour te remplir le cul, injecter de l'eau dans tes boyaux mystérieux.

Elle tend son cul ; elle a l'air de réclamer son du ; elle n'en peut plus.

- patiente un peu chérie, desserre tes fesses.

Soudain, elle met ses doigts dans son cul elle ouvre largement. Ne peut résister à l'invitation anale. J'introduit lentement le tuyau ; elle se débat… J'ouvre le robinet, l'eau coule et la pénètre.

- aïe aïe ! Que je souffre, mon cul me brûle.

Je ne prend par pitié, ce sont là des simagrées. Pour toute réponse, j'enfonce davantage le tuyau en le faisant tourner un peu, comme j'avais fait auparavant pour le thermomètre.

- as-tu bientôt fini chéri ? tu me fait mal, j'ai envie de faire pipi, de faire caca, de tout envoyer.

- mais non je commence à peine.

Elle est folle de plaisir ; elle réclame supplément, elle en veut

- encore chéri, poursuit ton lavement, n'arrête pas !

Je verse calmement de l'eau tiède dans le bock. Elle pleure, sanglote, gémit. Son ventre torturé se gonfle. Je la masse entre les cuisses, je la chatouille tout en lui effleurant la peau du ventre. Millimètres par millimètres, je pousse encore le tuyau, comme un train il y entrerait dans un tunnel.

- que ton postérieur avait soif.

Ma femme chérie s'est comportée comme un ange ; elle pleure maintenant, elle souffre dignement, son ventre est distendu ; elle a bobo au cul.

- voilà chérie, c'est fini, assez d'eau pour aujourd'hui.

Je retire le tuyau inquisiteur ; je lui mets un doigt dans le cul pour qu'elle ne rejette pas trop vite le liquide tant attendu, pour qu'elle conserve longtemps cet élixir démoniaque. Je la fais de nouveau attendre, elle doit encore patienter. Elle me supplie de la laisser partir se soulager ; je la chatouille, je lui promets de nouvelles tortures plus raffinées, je lui tortille les poils du cul humides comme après la rosée puis je l'autorise à aller vider son pétard avant qu'il ne soit trop tard.

- reviens vite, chérie, je prendrais à nouveau ta température rectale pour voir si tu as toujours aussi chaud.

La prochaine fois, c'est moi qui recevrais un lavement ; oeil pour oeil dent pour dent, fondement pour fondement, lavement pour lavement.

Je me prépare déjà à être clystérisé par ma femme. J'ai rasé les poils de mon cul. Je sais que je vais souffrir atrocement, mais je me réjouis.

Si nous n'avons pas le temps de recourir au lavement, je me contente de perforer sa petite pastille avec le thermomètre.

- je te trouve fébrile, viens t'allonger sur mes genoux, je vais te prendre la température.

Docilement elle se place sur mes genoux, je relève sa jupe, baisse sa culotte juste sous les fesses ; je sépare les grosses joues, déplisse le petit trou avec mon doigt mouillé de salive que je rentre profondément dans le tunnel culier, puis le thermomètre suit.

Je le plante doucement à moitié et, au bout d'une minute, je l'agite d'avant en arrière le rentrant chaque fois un peu plus ; lorsqu'il ne dépasse plus qu'un petit bout de verre et que Jeannine ai gémis,

- tu l'enfonces trop !

Je laisse l'instrument planté dans la cible ;

- tu le garde un quart d'heure.

De temps à autre, je retire le thermomètre pour lire la température, puis le replonge aussi loin.

A la fin je retire le thermomètre et annonce la température ; si elle dépasse 37°8, elle à droit à un gros suppositoire contre la fièvre que mon doigt pousse tout au fond de son gros derrière ; il y reste cinq minutes pour être sur que le suppo ne ressort pas.

Elle n'est pas en reste et n'hésite pas à me trouver fiévreux ; et j'ai droit moi aussi au thermomètre aussi profondément qu'elle.

Pour la prochaine séance de température, j'aurais une surprise : dans une brocante, j'ai trouvé deux gros thermomètres anciens ainsi que quelques canules longues et volumineuses…